DIVINES ET LIBERTINES.

Oh, Sweet Piper, Scene #01

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Oh, Sweet Piper, Scene #01

 

Cette superbe blonde aux longs cheveux de siréne, aux yeux noisettes, au corps de rêve, s'envoie en l'air sans scrupule avec un superbe mâle alors que son mari est absent... Alors elle en profite jusqu'au bout ICI...

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Oh, Sweet Piper, Scene #01

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Lun 8 mar 2021 1 commentaire
Marocaine mariée à « lailatvx » et baisée par un jeune noir de 18 ans.

Jamais je n’avais pu imaginer que j’allais être troublée à ce point par ce jeune homme noir âgé de 16 ou 18 ans au maximum. De carrure parfaite, ce costaud d’environs 1,85m était en train de se frotter le torse tranquillement dans la douche commune de la plage et ne se souciait pas du volcan de feu qu’il avait allumé en moi, l’espace de quelques minutes d’enfer…

Il était là, debout, touchant ses parties intimes avec le gel douche qu’il s’est versé dans le creux de sa main, et moi, sous mon parasol, je le scrutais derrière la porte entrouverte et l’imaginais tout de suite en train de gicler son sperme dans la mienne et ailleurs sur moi. J’ai eu un peu honte au début, mais après, tout me dépassait…
C’était plus fort que moi, comme à chaque fois qu’il s’agissait d’histoire de cul.
Accros comme je suis, je ne reculais devant rien, sauf lorsqu’il y a une belle bite derrière moi…

Mon mari Karim (lailatvx sur le net) n’était pas avec moi ce jour-là. J’étais avec ma sœur et une copine et leurs enfants étaient occupés à faire les idiots dans l’eau. Leurs cris et rires nous rassuraient et ça me permettait de me concentrer sur ce bel étalon noir, dont le corps reflétait les lueurs de soleil de ce mois de juillet ensoleillé. Je voulais qu’il reste une heure sous la douche pour le «rôtir» de mes yeux et le dévorer tout chaud à la fin. Je priais pour qu’il s’adonne encore à ce petit jeu que je soupçonnais un peu m’être adressé indirectement. Car j’imagine que chacune des autres femmes, ma sœur y compris, mataient le beau jeune homme en cachette.

Mais je n’avais aucune certitude tellement le beau gosse noir ne regardait que furtivement dans ma direction, à l’inverse de moi qui avais maintenant, carrément braqué mon projecteur visuel sur son corps en général et son maillot en particulier.
Derrière mes grandes lunettes de soleil noires, je regardais avec désir ses belles fesses bien garnies et fermes et, quand il se mettait en face, évidemment, cette belle et grande bosse qui se dressait fièrement sous son maillot. Visiblement, il a du être chauffé par les filles déambulant sur la plage.

Au fil des secondes, le trouble s’emparait de moi et je sentais des frissons de désir parcourir mon corps de haut en bas. Notamment mes seins et ma chatte qui réclamaient les mains et le sexe de ce black féroce et visiblement, plein de vigueur. Je l’imaginais très robuste et très ferme. Un vrai athlète, capable de me porter avec ses mains sans problème, tellement il paraissait fort.

Mais qu’a-t-il de mieux que mon mari pour lequel j’ai toujours eu les meilleurs sentiments et un grand désir ? Peut-être cette couleur noire, sur une peau bronzée et lisse qui ressemble plus à un être situé entre l’humain et l’être sauvage. Oui, c’est sans doute ce cliché qu’on a, nous les blancs, de voir les noirs, plus dans la jungle africaine, et qui nous promet du sexe foudroyant, à vous envoyer toutes les femmes au septième ciel. Plus je le regardais et plus j’avais envie de tout oublier pour aller le rejoindre sous la douche. Je ne pouvais pas m’empêcher de fantasmer sur lui. J’avais envie d’être baisée sur place par ce jeune homme idéalement bien fait. Me donner à lui entièrement, sans me soucier du regard des autres, le laisser réaliser tous ses désirs d’adolescent, tous mes vices de femme mariée surtout et qui veut fuir la routine sexuelle d’un seul homme. On se lasse de manger la même banane toute l’année…

Je voulais donc m’installer sur lui, en lui, le temps d’un long plaisir interdit.
M’offrir totalement à ce jeune homme plein de sperme, de muscles et de promesses érotiques.

Je ne sais pas comment je m’étais retrouvée à côté de lui, à quelques centimètres de ce corps qui me rendait si folle, si fragile… En un éclair, j’ai fait semblant d’aller faire trompette dans l’eau, au milieu des enfants et j’ai couru ensuite rapidement vers la douche, prétextant que l’eau était trop glacée. Je n’avais pas menti à vrai
dire, car mon corps était trop bouillonnant de désir.

Le fils de ma sœur m’a suivi naturellement et insistait pour que je retourne m’amuser avec lui, en vain. Ma tête n’avait plus qu’un seul objectif : la douche, avant que «mon» étalon noir ne s’envole. Et par chance, le jeune Apollon noir n’avait pas bougé. Il était en train de laver son t-shirt et nettoyer ses baskets.

«Vous voulez que je vous laisse la place madame ? », a-t-il dit dans ma direction.

«Non, merci, je me débrouillerai, il y a une deuxième douche, merci jeune homme », lui ai-je rétorqué avec un sourire plein de confusion.

Je suis restée donc là, à quelques centimètres de ce jeune qui me faisait fondre de désir.

Il s’était penché pour nettoyer ses chaussures et je pouvais entrevoir le début de ses fesses qui me donnaient tant envie de les caresser. Je m’imaginais aussitôt derrière lui, debout, avec l’eau qui coulait entre nous, et je me mets à lui caresser le dos avec ma poitrine. Puis, le fantasme devint comme une réalité et je me suis retrouvée
dans un engrenage qui m’a dicté de laisser tomber le haut de mon maillot deux pièces pour coller mes seins sur sa peau noire. Il était surpris de me voir si proche, si audacieuse. «Madame… »

«Chut, lui dis-je, j’ai trop envie de toi mon grand, tu es irrésistible. Laisse-toi faire, ne t’inquiète pas !”…

Je mis mes tétons dressés vers lui, et je les ai écrasés sur sa belle peau, de haut en bas, en descendant jusqu’aux fameuses fesses durs qu’il me présenta aussitôt. Je sentais les frissons le parcourir intégralement, à chacun de mes mouvements. Il ne savait plus quoi faire. Il avait peur qu’on nous surprenne dans cette position. J’ai donc poussé la porte de ma jambe pour le rassurer un peu. Le voyant d’accord pour partager le risque, j’ai décidé de lui enlever le short rapidement et j’ai découvert un cul très ferme et jeune d’une couleur très désirable. J’approche alors ma bouche et, de ma langue chaude, je commence à lui lécher les fesses doucement, puis goulûment, fougueusement, comme une sauvage. Je lui mets ensuite la langue tendue et dure sur son anus qu’il me présente et m’offre totalement, comme une femme. Je le prends par la taille pour lui fouiller le cul de ma langue endiablée. Je la fais rentrer aussi loin que possible, atteignant des endroits insoupçonnés qui me font rappeler mon penchant lesbien. Mon jeune noir se cambre et pousse son cul vers ma bouche, pour me dire que
ça lui plait beaucoup. Mieux encore, il tendit sa main pour l’appuyer contre ma nuque, caressant au passage mes cheveux, pour me plaquer le visage fermement entre ses fesses. Manifestement, il aimait beaucoup ce que je lui faisais et le plaisir que ça lui procurait.

Ma main droite fouille devant et se pose sur une paire de couilles incroyablement grosses. Je n’avais pas encore touché son zob que je devine déjà de taille bien au dessus de la normale. Impressionnant ! Incroyable même ! C’était mieux que ce que j’avais imaginé quand il était caché. Moi qui rêvais d’un sexe de belle taille, me voilà en train de masser un engin «poids lourd». Ce jeune ferait le plaisir de toutes les femmes du monde. Je commence donc à le caresser, sentant dans mes doigts que ça lui plaisait beaucoup. L’érection avait atteint sa forme maximale en quelques secondes de massage expert de ma main droite. Le pauvre ne savait pas s’il devait pousser vers l’avant où ma main le réclamait, ou alors coller un peu plus son anus à ma langue qui lui faisait pratiquement le même effet en entrant et en ressortant très vite entre ses fesses comme une bite d’enfant. C’est moi qui, devant la beauté cachée de ce zob noir en érection, ai décidé de le faire tourner vers mon visage pour avaler son sexe comme une fille gourmande devant un bon cornet de glace. Je l’ai pris par la taille de ma main gauche pour enfoncer son immense sexe dans ma bouche ouverte. Je ne l’ai pas supplié pour qu’il me l’enfonce dedans, profondément, à m’en briser la mâchoire. Le coquin ne se gênait pas pour tenter de me la mettre le plus loin possible dans la gorge. Je le retenais difficilement par la taille, même si je voulais le laisser atteindre mon cœur s’il le pouvait. Mes yeux se remplissaient de larmes, au point de me faire mal à la tête. Mais j’aime tellement ce qu’il me fait que je remettais aussitôt son zob dedans et le laissais me bourrer la gueule. Je suçais ce zob de toutes mes forces, en m’arrêtant quand il me le permettait, pour apprécier sa belle taille et son incroyable grosseur. Je sentais dans ma langue toutes les veines remplies de sang qui voulaient exploser de désir. Jamais je n’aurais pu imaginer qu’un pénis pouvait être aussi dur, aussi attirant, aussi désirable. Je me sentais totalement offerte, comme une pute en chaleur, devant ce sexe noir dans ma bouche. Je ne m’étais pas trompée sur ce mec. Mieux encore, sa bite avait la taille d’un gourdin qu’on aurait cru avoir été créé spécialement pour baiser les femmes chaudes comme moi. Le top des tops ! Je léchais ce jeune homme sans m’arrêter et je sentais à chaque caresse de ma langue, son envie de m’en demander la suivante. Il me laissait
faire comme je le sentais. Comme j’avais envie de lécher mon petit bonhomme au sexe de géant noir ! Ma chatte ruisselait de plaisir et réclamait à son tour qu’on s’occupe
lailatvx - le 16/10/2014 à 09h33