La perversion de l'Ange.

Jeudi 22 décembre 4 22 /12 /Déc 06:05

51.jpgSuite des aventures d’une hétéro trop sage et naïve qui se laisse piéger par deux lesbiennes perverses.

La tentation de l'Ange. dans La tentation de l'ange photos-2012_17-1024x524

Mélanie est dépassée par les événements, trop abasourdie et faible pour repousser les assauts effrénés des deux lesbiennes voraces… Surtout que Laure lui maintient les poignées, l’emprisonnant ainsi sous elle, l’affolant de baisers enfiévrés…

La perversion de l'Ange 2. dans La tentation de l'ange 99-300x166

 Sa morale lui dicte de tout arrêter, alors qu’elle est une hétéro convaincue, prête à se marier bientôt, mais les deux femmes usent d’une débauche de sensualité pour lui faire perdre la tête, brisant ses défenses et toute volonté… Et ne tiennent pas compte de ses protestations alors qu’elle lui ôte sa culotte, reniant leur promesse de ne pas la déshabiller.

Leur jeu pervers est allé trop loin, avec aucune envie de faire marche-arrière, surtout que Mélanie, malgré ses réticences, perd tout contrôle, trahie par son propre corps qui brûle d’une passion secréte, s’enflammant comme jamais aux caresses féminines qui descendent entre ses cuisses, où les deux femmes allient leur force pour l’amener ensemble sur des plaisirs interdits.

5938-300x166 dans La tentation de l'ange

05-300x166

Elles restent sourdes à ses suppliques lorsqu’elles finissent de la déshabiller, certaines d’arriver à leurs fins, sûres de leur victoire, détectant chez leur jeune proie des pulsions inavouables et des appétits démesurés qu’elles tentent bien exploiter jusqu’à l’excés…

88-300x166

64-300x166

 Comment résister aux assauts lubriques de ces femmes expertes et volcaniques qui ne lui laissent aucune chance. Ardentes, impitoyables, elles s’acharnent comme des goûles affamées…

57-2-300x166

Et Mélanie, malgré sa volonté de ne pas perdre, va comprendre à ses dépens que l’on ne peut lutter contre sa vraie nature, des désirs trop intenses pour les refouler.

C’est avec ces deux femmes qu’elle va connaitre l’orgasme le plus violent et dévastateur de toute son existence, oubliant toute retenue, toute pudeur, se libérant dans un cri libérateur, avec des ruades et contorsions d’une grande souplesse, comme cela ne lui est jamais arrivé…

89-300x16696-2-300x166

 A  SUIVRE…

Résumé succinct avec les photos qui ont été notre source d’inspiration pour le récit » La tentation de l’Ange «

http://divineinnocente.onlc.fr/

20101210093323_300x120_04       20120306111329_234x60_03

Par nicogarner - Publié dans : La perversion de l'Ange. - Communauté : melany_travesti_soumise
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 30 juillet 6 30 /07 /Juil 16:27

vlcsnap-312080.png

L'obsession d'une lesbienne folle amoureuse d'une femme mariée. A force de persévérance, elle va initier sa jeune proie aux délices lesbiens et en faire la partenaire idéale de tous ses jeux érotiques les plus débridés. 

Dans ce film, une femme sans histoire, heureuse dans son couple et dans sa carrière d'hotesse d'acceuil dans un hypermarché de bricolage, voit sa vie basculer le jour où une employée, véritable garçon manqué au charme sulfureux, commence à la suivre et la harceler...

 

Dans ce film, une femme sans histoire, heureuse dans son couple et dans sa carrière d'hotesse d'accueil dans un hypermarché de bricolage, voit sa vie basculer le jour où une employée, véritable garçon manqué au charme ambigu, commence à la suivre et la harceler...

Marianne est une jeune femme fraîche et spontanée, bien dans sa tête et son corps, qui vit heureuse avec son mari, et avec plein de projets pour l'avenir....

 

 

0014

 

 

 

Un corps de rêve et un visage splendide d'une grande pureté qui attire bien les convoitises de ses collégues de boulot. En vain car Marianne est fidéle et attachée aux valeurs catholiques et familiales, tout en restant moderne et épanouie.

 

 

 Mais elle ignore encore que des tendances lesbiennes dont elle ne soupçonnait même pas l'existence jusque là vont se réveiller avec fureur dans les bras experts d'une collégue follement éprise d'elle. Et changer à jamais sa vie sexuelle...

 A SUIVRE ...

vlcsnap-312080

 

                                   FILM VU SUR SEXTV.

Et si vous aimez les attirances sulfureuses de lesbiennes pour des femmes mariées, je vous conseille vivement cette histoire :

http://divineinnocente.onlc.fr/39-Le-chateau-des-Tribades.html .

LE CHATEAU DES TRIBADES 9 : Claire est une mère et èpouse épanouie, bien plus apte à se défendre contre toute tentative de séduction, surtout si elle vient d’une femme. Patricia, lolita sournoise et manipulatrice, va donc user d’un stratège imparable pour la contraindre à se laisse faire et devoir déployer des trésors d'ingéniosité pour briser lentement mais sûrement toutes ses défenses...

Par nicogarner - Publié dans : La perversion de l'Ange. - Communauté : LesMeilleursBlogsdeSexe
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 11 avril 1 11 /04 /Avr 16:27

vlcsnap-312080.png

L'obsession d'une lesbienne folle amoureuse d'une femme mariée. A force de persévérance, elle va initier sa jeune proie aux délices lesbiens et en faire la partenaire idéale de tous ses jeux érotiques les plus débridés. 

Dans ce film, une femme sans histoire, heureuse dans son couple et dans sa carrière d'hotesse d'acceuil dans un hypermarché de bricolage, voit sa vie basculer le jour où une employée, véritable garçon manqué au charme sulfureux, commence à la suivre et la harceler...

 

Dans ce film, une femme sans histoire, heureuse dans son couple et dans sa carrière d'hotesse d'accueil dans un hypermarché de bricolage, voit sa vie basculer le jour où une employée, véritable garçon manqué au charme ambigu, commence à la suivre et la harceler...

Marianne est une jeune femme fraîche et spontanée, bien dans sa tête et son corps, qui vit heureuse avec son mari, et avec plein de projets pour l'avenir....

 

 

0014

 

 

 

Un corps de rêve et un visage splendide d'une grande pureté qui attire bien les convoitises de ses collégues de boulot. En vain car Marianne est fidéle et attachée aux valeurs catholiques et familiales, tout en restant moderne et épanouie.

 

 

 Mais elle ignore encore que des tendances lesbiennes dont elle ne soupçonnait même pas l'existence jusque là vont se réveiller avec fureur dans les bras experts d'une collégue follement éprise d'elle. Et changer à jamais sa vie sexuelle...

 A SUIVRE ...

vlcsnap-312080

 

                                   FILM VU SUR SEXTV.

Et si vous aimez les attirances sulfureuses de lesbiennes pour des femmes mariées, je vous conseille vivement cette histoire :

http://divineinnocente.onlc.fr/39-Le-chateau-des-Tribades.html .

LE CHATEAU DES TRIBADES 9 : Claire est une mère et èpouse épanouie, bien plus apte à se défendre contre toute tentative de séduction, surtout si elle vient d’une femme. Patricia, lolita sournoise et manipulatrice, va donc user d’un stratège imparable pour la contraindre à se laisse faire et devoir déployer des trésors d'ingéniosité pour briser lentement mais sûrement toutes ses défenses...

Par nicogarner - Publié dans : La perversion de l'Ange. - Communauté : Les récits érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 6 avril 3 06 /04 /Avr 06:02

97942.jpg photos-2012_AutoCollage_12_Images.jpg

8954.jpg Quand une jeune femme naive, à quelques jours de son mariage, est livrée aux turpitudes de deux lesbiennes déchaînées... Hot et intense ! 

 C'est étrange comme le destin peut vous jouer des tours, vous prendre comme bouc émissaire et s’amuser à chambouler votre vie de façon si cruelle. Tout me souriait, une vie heureuse et sereine, un boulot passionnant, une femme adorable, deux enfants mignons comme tout, et en si peu de temps tout vient de s’écrouler. Assister à ma propre chute sans me battre me semble logique, un juste châtiment, le prix à payer pour des années d’égoïsme, de boulot acharné, de course à la promotion, et tout cela aux dépens de ma vie familiale… C’est avant que j’aurais dû réagir, m’inquiéter ou sentir venir le danger, et tout faire pour que cela n’arrive jamais. Aujourd’hui, il est trop tard, j’ai tout perdu. Je traverse le salon d’un pas chancelant, sur des jambes lourdes qui ont du mal à me guider, comme si elles appartenaient à quelqu’un d’autre. J’ai la désagréable impression d’être une marionnette manipulée par une volonté pleine de bonnes intentions, mais manquant réellement d’expérience dans son art. Je me fais violence pour sortir de cet état végétatif dans lequel je sombre lamentablement, fonçant sur ma télévision d’une démarche un peu plus assurée. Ma décision est prise. Je dois connaître la vérité, même si le mal est déjà fait. Le seul moyen d’en être sûr est de visionner ce foutu film. Là, j’en aurai enfin le coeur net, le triste dénouement d’une sombre histoire. Tant de folies qui me paraissent incompréhensibles, qui ont pris ici des proportions démesurées. C’est ce matin de fin d’été que tout s’achève, et l’appréhension de ce que je vais voir me fait encore hésiter. La vérité me flanque la frousse, je ne peux le nier, mais j’éprouve la sensation encore plus forte et plus insidieuse de satisfaire une curiosité presque malsaine. Je m’installe nerveusement sur mon canapé, gardant d’abord les yeux fixés sur la table basse, là où sont posés un verre et une bouteille de Martini. Un petit remontant dont je vais bien avoir besoin J’évite le papier qui traîne à côté, avec ce message immonde qui vient de me frapper en pleine figure, que je viens de lire il y a deux minutes : « Ta femme m’appartient, elle est à moi maintenant, et en voici la preuve. Signé. Laure.» Pour l’instant, je ne peux me résoudre à regarder l’écran… Je ferme les yeux, retiens mon souffle, rouvre les yeux en levant la tête. Je laisse échapper l’air de mes poumons, avec le sentiment de fondre sur place en affrontant les premières images. Ce n’est pas un camescope numérique, la qualité s’en ressent péniblement. Une image affreuse, des couleurs qui bavent, avec des défauts de granulations et de contrastes dans les scènes sombres qui accentuent le côté glauque et réaliste du film amateur. Je distingue un enchevêtrement de corps nus, de membres entrelacés, de seins et de pubis qui apparaissent dans un flou qui n’a rien d’artistique, et pendant un long moment il m’est impossible de reconnaître qui que ce soit. L’image tremblante se perd d’un coup vers le plafond, puis se fixe sur le papier peint du mur, recule, tremble, laissant deviner une chambre ordinaire. Enfin, l’image s’arrête sur un lit et n’y bouge plus. Un zoom plus précis se fixe sur les personnes qui s’y ébattent joyeusement dans une mélodie de soupirs extasiés. La chevelure blonde de Laure étincelle un instant dans ce mélange de chairs impudiques, mais pas son visage qui reste enfoncé dans la fourche d’une cuisse féminine. En voilà une qui passe du bon temps, mais sa présence n’a rien de surprenant, je m’y attendais. Le décor est maintenant planté. On est là en pleine soirée échangiste, dans un endroit dédié aux plaisirs de la chair, pour de longues nuits de débauche. Ici, les clientes se livrent à toutes sortes de perversions, parodiant quelques cérémonies antiques et obscènes, au cours d’orgies interminables. Les grands lits occupés par des femmes qui gémissent et se tordent les unes sur les autres me donnent raison à cent pour cent. Mon cœur se serre d’angoisse lorsque l’image plonge soudainement au cœur même de l’action, où toutes ces peaux luisantes qui s’emmêlent me font penser à l’étreinte sinueuse des serpents, un fouillis à la fois immonde et voluptueux.


Imaginer Mélanie dedans me procure une excitation si vive et si inadmissible que je la chasse aussitôt. Honteux, je m’accroche à l’espoir de ne pas l’y trouver, mais je n’y crois pas trop. À quoi bon alors ce message et cette cassette qui l’accompagnait ? L’attente me devient insupportable, et je ne peux m’empêcher pendant ce temps de laisser dériver mon esprit en arrière.


Au début, il n’y a que les ténèbres, puis la confusion, avec l’impression de vivre simultanément dans le passé et le présent. Quelques détails se gravent enfin avec une précision redoutable, revenant souvent à cette fois où l’on a croisé Laure dans le couloir de l’immeuble, alors qu’elle venait d’emménager. Elle nous a fait un effet immédiat, et apparemment beaucoup plus à Mélanie, ce que je n’aurais jamais soupçonné.


Laure est une femme qui impressionne, qui en jette, avec un look ravageur qui attire d’emblée les regards, dans le genre gothique, énigmatique et vénéneux. Souvent vêtue de cuir noir ou d’habits aussi sombres, elle dégage un sex-appeal et une sensualité débordante, avec un naturel désarmant. Son beau visage ajoute encore du charme, elle n’a rien à jeter : yeux noirs qui brûlent d’un feu intérieur, grande bouche pulpeuse, nez aquilin, maquillage ténébreux qui accentue son côté sombre et mystérieux. Sa beauté rebelle a réellement du piquant. Avec piercing et tatouage d’un ange sur l’épaule gauche, elle affiche un tempérament de femme libre et anticonformiste. Bref, tout le contraire de Mélanie, qui est plutôt classique, un peu BCBG, timide et discrète en toutes circonstances, et qui ne fera jamais rien pour se démarquer.


Contre toute attente, malgré leurs différences, le courant est très bien passé, un peu trop même… Et moi, stupide et aveugle, je n’ai rien vu, trop préoccupé par ce poste de rédacteur en chef que je souhaitais absolument obtenir, travaillant jour et nuit sans relâche, délaissant complètement ma femme. Certes, notre vie amoureuse n’était déjà pas au beau fixe ces derniers temps, nous étions enlisés dans le triste refrain boulot dodo, mais comment faire autrement lorsque le couple travaille beaucoup trop chacune de son côté, avec très peu de temps libre et de loisirs ? Bon, je n’essaie pas de me trouver des circonstances atténuantes, cela n’excuse pas tout, mais une vie si active ne facilite pas l’intimité ou le dialogue.


J’aurais dû avoir la puce à l’oreille lorsque Mélanie s’est montrée plus indépendante, plus émancipée, subissant l’influence néfaste de la voisine, sans que je m’en rende compte réellement. Et, de même, j’aurais dû avoir plus tôt des soupçons sur les orientations sexuelles de Laure, qui ne recevait que des filles. On peut dire que ça défilait chez elle, des filles de tout genre et toutes nationalités, dont cette immense et sculpturale femme, Daphné, que je n’ai jamais aimée. Elle avait ce petit air moqueur et condescendant qui veut vous rabaisser, celle-là je ne pouvais pas l’encadrer ! Laure, elle, était plus avenante, même si elle me donnait l’impression de se forcer un peu, pour mieux me tromper sans doute, pour que je ne me braque pas contre elle et interdise catégoriquement à Mélanie de la voir.


J’aurais dû également deviner ses intentions rien qu’à sa façon de la regarder, comme si elle voulait la manger à la petite cuiller. Comme j’ai été stupide ! J’ai atteint le sommet de la bêtise humaine en laissant Mélanie seule durant toute une semaine. Je n’avais pas trop le choix, ce foutu séminaire à Toulon m’avait été imposé par le patron, mais j’aurais dû quand même refuser. L’abandonner si longtemps fut la plus grosse erreur de ma vie. Et j’avais tellement confiance, croyant en son amour indéfectible et absolu. Comme je fus naïve aussi ! C’est cette fameuse semaine qu’il s’est passé quelque chose, car elle fut ensuite différente. Oui, plus aucun doute, alors que j’y repense, le changement radical s’est opéré à ce moment-là. Depuis, elle se montre distante, absente, perdue dans ses rêves, délaissant le ménage et ses petites manies domestiques, fuyant ma présence le peu de fois où l’on se voit.


Je ne sais pas ce qui lui est arrivé mais je crois que je vais bientôt le savoir, et certainement le regretter. Je reporte mon attention sur la télé, me concentrant sur les images qui se font plus nettes, dans un plan plus général. Enfin, tout m’apparaît clairement. Aucune trace de Mélanie, et je me sens soulagée, avec l’infime espoir que je me suis inquiétée pour rien. Sur le lit, quatre femmes font l’amour, mais je n'en connais aucune.
Une sonnette retentit et Laure apparait. Elle ondule, splendide, s’étire avec une grâce féline tout en regardant fixement la personne qui filme, une autre femme sans aucun doute. Les yeux de Laure sont des fentes brûlantes, et c’est comme si elle me voyait à travers l’objectif.


Je repousse ce sentiment absurde. Étrangement, elle est habillée d’une robe noire qui la moule étroitement, avec un décolleté plongeant à donner le vertige, et malgré moi je dois reconnaître qu’elle n’a jamais été aussi sexy. Elle détourne les yeux, inspectant les lieux avant de diriger son regard dans la même direction que Daphné, surgissant à son tour dans le couloir. Daphné, la quarantaine, une femme vénéneuse qui venait souvent rendre visite à Laure. Amie ou maîtresse ? Peu importe... Cette dernière se passe souvent la langue sur les lèvres, avec des hochements de tête approbateurs. Elles lorgnent vers la porte d'entrée où retentit pour la seconde fois la sonnette. Puis, ensemble, elles se dirigent enfin vers l'entrée du séjour. Le caméscope suit maladroitement leur progression, faisant en même temps un plan serré. Laure ouvre la porte. Une magnifique silhouette, silencieuse et immobile, s’encadre dans le champ de vision. Je la reconnais tout de suite : Mélanie. Mon cœur ne fait qu’un bond.

— Oh, non…


Je sens monter en moi une panique irraisonnée. Évidemment, je m’en doutais, mais jusqu’au bout j’osais croire le contraire, avec l’entêtement de celui qui refuse la vérité. Cela risque de modifier à jamais ma façon de vivre, de m’obliger à réaliser que l’amour peut engendrer bien des folies et des aberrations, si loin de mes principes et de ce bon sens auquel j’ai toujours cru. Même si ce n’est que justice d’en faire cruellement les frais, j’aimerais avoir une deuxième chance, réparer mes erreurs, tout recommencer à zéro. J’ai envie de crier, de tout arrêter, d’avertir Mélanie, de la mettre en garde et de lui ordonner de s’enfuir le plus loin possible de cet endroit décadent où l’attendent les pires sévices. Je parviens à me maîtriser ; cette réaction est aussi puérile que stupide, je connais le résultat final et mon inquiétude n’y pourra rien changer.


Mélanie, comme inconsciente du danger qui la guette, ne bouge toujours pas. Sa présence a quelque chose d’irréel, de choquant. Elle n’est pas à sa place, elle paraît si fragile, si innocente. Sa beauté ingénue illumine à elle seule l'endroit, et même l’image granuleuse de la vidéo qui se fige sur elle ne peut l’enlaidir. Elle est vêtue de sa tenue favorite lorsqu'elle va jouer au tennis, jupe et chemisier, un ensemble sport qui dénote furieusement ici. Incrédule, elle s'enquiert :
- Enfin, Laure, tu n'es pas prête ? J'ai réservé pour 15 heure, comme prévu.
Puis, apercevant Daphné et celui ou celle qui filme, demande avec inquiétude :
- Mais qu'est-ce qui se passe ? Je ne comprends pas...
Laure répond enfin.
- Changement de plan, ma belle... On peut transpirer ensemble de façon bien plus agréable.
- Hein ?
Sans ménagement, elle la prend par la main et l'entraîne vers une chambre. Derrière, Daphné referme la porte d'entrée à clef. Sans le savoir, Mélanie est piégée. Elle commence a s'en douter en se retrouvant enfermée dans une chambre avec Laure et Daphné. Mélanie est figée, la respiration haletante, crispant ses mains sur sa jupe alors que Laure tente de la lui dégrafer. Elle ne réussit qu’à la retenir au dernier moment. Elle s’y accroche, poussant un petit râle de protestation.
- Laure, non ! Qu'est-ce que tu fais ?


Laure abandonne provisoirement, soupesant les seins de Mélanie par-dessus le chemisier. Elle tente même de glisser ses doigts dessous, mais son geste est retenu – à mon grand soulagement – par ma femme qui lui bloque le poignet. Laure n’insiste pas, enlacée par Daphné qui se colle dans son dos, lui caresse les bras, comme pour lui communiquer son excitation, une excitation qui n’a fait que croître en assistant à ce délicieux spectacle. Maintenant, elles la dévorent du regard, comme deux lionnes se délectant à l’avance d’un mets de choix dont elles vont profiter savamment. Mélanie en reste pétrifiée.

Suite sur le site d'Aventures Lesbiennes, où quand des femmes à la vie bien sage et rangée se retrouvent brusquement confrontées  à des tentations lesbiennes :

http://divineinnocente.onlc.fr/

 Des sites de qualité où j'aime me promener :

Sexyloo communauté libertine chat coquin

PETITE MISE EN BOUCHE. dans entre femmes porno-300x67

Romans-Photos et Aventures Lesbiennes : http://divineinnocente.onlc.fr/    

51 

Par nicogarner - Publié dans : La perversion de l'Ange.
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 06:24

Un road movie lesbien torride et sensuel : 

 LA ROUTE DU PLAISIR 3 : Michèle perd son innocence et sombre dans l'enfer du sexe. Car sa partenaire, amoureuse et déchaînée, va tout faire pour la pousser dans ses retranchements, lui faire dépasser ses limites, la confronter dans l'absolu. La transformer et la disloquer. En faire son amante et la partenaire idéale de tous ses excès saphiques.

 

C'est ici :

http://divineinnocente.onlc.fr/36-La-route-du-plaisir.html

 

 

 

677

Par nicogarner - Publié dans : La perversion de l'Ange. - Communauté : LesMeilleursBlogsdeSexe
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Divines et Libertines.

Nouveau dossier 7 Images -

BLOG SEXE AMATEUR - HISTOIRES EROTIQUES.

Annuaires de Qualité :

 

 

BC1306DF-C8FF-A227-E476-618B76985A6B_thumb.jpg

7322DFB0-3C3D-BBA4-AD36-04974E6D8F6D_thumb.jpg

 

candaulisme

Le X Culte sur SexTv :

 

   

   

 

Derniers Commentaires

Enflammez votre Imagination :

PHOTOS ET HISTOIRES LIBERTINES :

photos 2012 9

PHOTOS ET AVENTURES LESBIENNES :

photos 2012 AutoCollage 7 Images 15

RECITS EROTIQUES :

sans-titre

Recherche

Teens Perverses.

 

description

description

description

 

Syndication

  • Flux RSS des articles

Live Show Hard

LIVE 18 ANS 2

 

emma_watson_sex.gif

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés