Histoires Erotiques.

Mardi 14 novembre 2 14 /11 /Nov 20:08

   

 LE CHÂTEAU DES LESBIENNES :  Claire est une mère et èpouse épanouie,  bien plus apte à se défendre contre toute tentative de séduction, surtout si elle vient d’une femme. Patricia, lolita sournoise et manipulatrice, va donc user d’un stratège imparable pour la contraindre à se laisse faire et devoir déployer des trésors d'ingéniosité pour briser lentement mais sûrement toutes ses défenses...

   

DIVINES ET INNOCENTES

 

 

 

 

1019

Par Nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : Les femmes poilues
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 novembre 2 14 /11 /Nov 16:13

.

 LE CHATEAU DES TRIBADES : Pénétrez dans l'antre de louves affamées au coeur d'intrigues et de rivalités amoureuses. Et dont les ardeurs vont s'enflammer quand des femmes hétéros et innocentes vont se retrouver piégées dans un château perdu au milieu des vignes. Luxe et luxure où le sexe se conjugue à toutes les perversions lesbiennes... Alors, Gabrielle, première invitée, se défoule en attendant avec une servante... 

 LE CHATEAU DES TRIBADES 2 : Inès, délicieuse et ravissante auteur de romans sentimentaux, accepte difficilement l'invitation d'un riche producteur qui lui propose de venir le rejoindre dans son château cathare pour écrire sa biographie. Une semaine. Une très longue semaine alors qu'elle ignore qu'une toile perverse se tisse déjà autour d'elle... Inaccessible et farouche, elle semble armée pour déjouer tous les complots. Et elle se fait une alliée, Claire, femme mariée et mère de famille, également inconsciente des dangers qui les guette...

 LE CHATEAU DES TRIBADES 3 : Leur hôte, producteur cynique et dépravé, va ourdir de sombres complots pour les pousser à la tentation et à la débauche. Ainsi, Inès et Claire vont vite se retrouver aspirées dans un engrenage pervers, objets de tous les désirs, un troublant jeu de manipulation et de séduction mené par d’ardentes lesbiennes. Et Claire, éloignée de son mari, a beaucoup plus à y perdre...

 

Un véritable roman lesbien ici : http://divineinnocente.onlc.fr/39-Le-chateau-des-Tribades.html

 

 

2958 jpg  778-copie-1

 

 

Par nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : blog sexe des amis
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 novembre 2 14 /11 /Nov 09:42

vlcsnap-2015-01-09-15h57m58s248.png

La jeune hétéro craque littéralement et perd tous ses moyens dans cette vidèo hot et perverse où on assiste avec un plaisir malsain à un déclic libérateur. Quand une hétéro se laisse aller à des plaisirs interdits et saphiques, la scéne est torride et dérangeante...

vlcsnap-2015-01-09-15h58m16s165.png

vlcsnap-2015-01-09-16h00m25s182.png

vlcsnap-2015-01-09-16h00m01s203.png

vlcsnap-2015-01-09-16h02m08s186.png

vlcsnap-2015-01-09-16h02m26s106.png

vlcsnap-2015-01-09-16h03m05s254.png

vlcsnap-2015-01-09-16h03m38s74.png

vlcsnap-2015-01-09-16h03m19s140.png

vlcsnap-2015-01-09-16h03m52s213.png

vlcsnap-2015-01-09-16h05m19s63.png

vlcsnap-2015-01-09-16h05m48s87.png

vlcsnap-2015-01-09-16h07m55s83.png

vlcsnap-2015-01-09-16h07m22s8.png

vlcsnap-2015-01-09-16h09m27s229.png

vlcsnap-2015-01-09-16h09m50s189.png

vlcsnap-2015-01-09-16h11m22s113.png

vlcsnap-2015-01-09-16h10m50s18.png

vlcsnap-2015-01-09-16h11m45s68.png

LE X CULTE SUR SEXTV :


Par Nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : petites culottes pour grosses chattes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 novembre 2 14 /11 /Nov 06:13

 

Et, continuant de fouiller dans les armoires, je découvre alors avec stupeur un gode-ceinture que j'hésite à saisir tellement cela me remplie d'effroi. Un engin immonde et indécent qui me laisse perplexe. Ce genre de sex-toys dont je connais bien évidemment l'existence mais dont je n'aurai jamais osé graver dans mon esprit, dans le plus extravagant fantasme,  toutes ses méthodes d'utilisation. Un autre monde. Un autre univers dont j'ignore toutes les règles. Du bout des doigts, comme par peur d''être mordue ou infectée par ce truc, je le scrute avec dégoût et une curiosité presque malsaine, finissant par le remettre dans le tiroir.

 

-  Elle te va à ravir ma chérie !

Je sursaute violemment. Je ne l'ai pas entendue approcher, sa tête est presque posée sur mon épaule, et la sentir si proche me rend nerveuse. Je recule d'un pas sur le côté, me retournant pour lui faire face. Je m'efforce d'ignorer tout ce que dévoile la nuisette que je porte, mes longues jambes hâlées, la gorge nue et la naissance de mes seins généreux qui pointent agressivement sous le satin.

Elle me toise avec curiosité, l'air amusé.

Et moi je prends toute l'ampleur de ce que ma tenue peut avoir de provocant et d'aguicheur. Elle risque de se méprendre sur mes intentions. J'en suis mortifiée. Le rouge me monte aux joues. Tandis qu'elle m'observe avec un intérêt accru, les yeux brillants, comme guettant ma réaction. La situation est horriblement gênante. Je me trouve gauche, plantée stupidement comme un piquet en plein milieu de sa chambre.

Le fait de se savoir observée, exposée à son regard concupiscent, me trouble follement. Malgré la distance qui nous sépare, je peux sentir sur moi son regard brûlant, empreint d’un violent désir.

 Timidement, j'ose lever les yeux  à la recherche de son regard que je croise longuement : il est fiévreux et avide. 

D'un pas elle s'approche.

Je me fige. Repliée sur moi-même, avec cette désagréable impression que mon sang se vide de mon visage.

Elle s'approche plus près, à me toucher.

Je cesse de respirer, comme tétanisée, paralysée.

Avec toutefois un sursaut de révolte lorsqu'elle tend une main vers ma joue.

Bon sang ! A quoi je joue ? Je ne vais tout de même pas me laisser séduire par une femme et m'aventurer dans une relation extra-conjugale avec cette même femme !

Le visage livide, prise de remords, je recule à l'aveugle mais elle me saisit fermement par les épaules, sans cesser de me fixer du regard.

Elle est beaucoup plus grande que moi. Sa force est si énergique. Je me sens si petite, fragile, vulnérable, que je pousse malgré moi une plainte apeurée.

Titubante, je ne fais que reculer, mais elle m'accompagne. Tout cela me dépasse. J'en reste sans voix. Ivre de désir, elle réussit à me serrer contre elle et, avec la même fougue, elle se met à onduler fébrilement en nouant ses bras autour de mon visage. Aucune parole n'a été échangé depuis. Comme par peur de briser le charme. Une atmosphère lourde et électrique. Vibrante et érotique.

Le poids de son corps me maintient plaquée contre l'armoire. Une main relève le bas de la nuisette, alors que sa bouche cherche la mienne. Je fuis le contact en tournant la tête mais ses lèvres ne lâchent pas les miennes, me provoquant et me relançant avec application, me faisant goûter à la douceur des ses lèvres qui sont chaudes et fruitées, gonflées de désir. Un délicieux contact qui me rend toute molle. Vite, je cesse de me battre. Elle en profite pour forçer de sa langue le barrage de mes dents. Je crois que si elle avait proposé quoi que ce soit –que l’on se déshabille, s’allonge ou aille vers une autre pièce– j’aurais réussi à lui échapper. Mais au lieu de cela, elle a écarté mes cuisses d’un mouvement de genou et elle s’est emparée de moi. Sa main droite m’a agrippée comme une pince. Son baiser s'est fait plus vorace, bestial. Ce qui m'effraie et m'oblige à la repousser. Je dois échapper à son emprise. En voulant la fuir à reculons, je perds tout sens de l'orientation et bute sur le lit. Déséquilibrée, je pars en arrière, m'écroulant sur le lit, une aubaine pour Rachel qui pousse un petit rire victorieux en me coinçant sous elle.  Une telle frénésie se dégage dans son
empressement de me faire fléchir sous son corps soudainement actif et souple que je ne peux que protester par de petits gémissements, sans  montrer toutefois de véritable rébellion. Je suis trop abasourdie, terrassée par un foisonnement d’émotions qui me laisse sans force.

Rachel en profite pour me harceler de baisers affamés, sans lâcher prise. Elle m’étreint avec tant d’ardeur que la nuisette glisse et s’écarte, dévoilant mes seins. Cette découverte excite prodigieusement Rachel qui se dépêche de faire passer la tenue au-dessus de ma tête avec une facilité déconcertante. Et c'est ainsi que je me retrouve nue dans ses bras, frémissante de la tête aux pieds, perdue et apeurée. 

Elle pèse sur mes épaules et m'étend sur le lit, cherchant ma bouche tout en se frottant contre moi.

Ses doigts survolent ma peau avec une légèreté affolante, puis ses caresses se font plus précises, centrées sur mes mamelons. Je lâche un petit cri lorsqu’elle pince légèrement un bout sensible puis je gémis de surprise lorsqu’elle atténue la sensation en le léchant doucement. Sa main droite empaume mon sein gauche tandis que sa bouche se délecte de mon mamelon droit. C'est délicieux et insoutenable. Mes jambes sont agitées de mouvements incontrôlés, comme si je voulais échapper à cette délicieuse torture.

 

 

Je ne dis proteste plus. Silencieuse et docile. En sachant très bien que ma faiblesse passe pour un consentement tacite

 

Rachel aspire maintenant goulûment mon mamelon, sa langue jouant avec ma pointe granuleuse. Sa bouche déguste mon sein avec passion et dévotion. Je trouve dans ses gestes un mélange de sensualité et d’ardeur que seule une femme peut prodiguer à une autre femme, avec un art inné.
De petits cris s’échappent de ma bouche entrouverte, mais bientôt je ne peux plus retenir mon plaisir. Un plaisir diffus et intense qui me laisse au bord de l'orgasme, sans le libérer. J'en râle de frustration.

Enfin, sa main libère mon sein pour se glisser lentement entre mes cuisses. Malgré mon envie d'être soulagée de cette tension érotique qui me possède, un sursaut de révolte me sort de cette traître euphorie, comme si je m'éveillai d'un rêve érotique. Je prends peur. Effrayée d'atteindre le point de non-retour, celui où je vais me disloquer et me déchaîner dans des plaisirs jamais atteints. Libérant le démon de la luxure. Réveillant la bête.

J'emprisonne un instant sa main en la bloquant avec mes muscles, resserrant mes cuisses, mais elle m'ordonne de me laisser faire, d'une voix cassée et sifflante par l'excitation.

Rachel confie.

Jamais je ne me suis retrouvée dans un tel état, au bord de l’asphyxie, au bord de la folie. A son refus d'aller plus loin j'insiste :
– Pourquoi ? Pourquoi ? Laisse toi aller…
– Non, je ne peux pas, … c’est trop fort,  je… j'ai peur, je sens que je ne vais plus rien contrôler, bredouille-t-elle
– Ne contrôle rien, laisse toi dévaster par le plaisir, laisse toi guider par ta nature...

Je la contemple un moment, coincée sous moi, prisonnière de mes bras et mes jambes qui l'enserrent. Je la vois allongée sur ce grand lit de style et aux draps de soie mauve et blanc, les jambes entrouvertes, offerte, rose de honte et de plaisir, les seins oppressés et le ventre haletant, les tétons érigés, menton et bouche tremblantes, ses lèvres fines gonflées et gorgées d'un désir inassouvi, les cheveux en bataille. Une lueur sauvage et fascinante se reflète dans ses yeux clairs. La femme qu’elle j'y voie est grâce, volupté, tentation, au bord du précipice, se débattant encore dans sa morale alors que que les affres d'un plaisir violent émerge à la surface.

Je suis prête à tout pour la faire basculer du côté du péché.

Malgré ses faibles protestations, je fais glisser un doigt à l'orée de son sexe, découvrant avec stupeur une vallée lisse et brillante. Ma bouche relâche son téton. Les yeux fous de désir, je cherche à lire sa défaite dans son regard.

    — Je vais te rendre tellement heureuse ma chérie ! lui dis-je d'une voix rauque.

Elle crispe vainement ses doigts dans ma chevelure pour retenir ma tête qui s'enfonce vers son entrejambe. Mais c'est trop tard.

A SUIVRE.

http://divineinnocente.onlc.fr/75-Le-Reveil-de-la-Bete.html

38

Par Nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : les jeunes exhibes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 10 novembre 5 10 /11 /Nov 16:01

 

    Mélanie mène une vie sage et rangée auprès de ses enfants et de son mari, dans une triste routine qui lui semble normale, comme l’exigent ses croyances catholiques et son éducation pieuse. Une nuit, à titre exceptionnel,
elle est invitée à une grande soirée mondaine, fréquentée exclusivement par la communauté libertine, au club La Chrysalide. Mélanie y fera la connaissance de Catherine, militante lesbienne exaltée, qui tombera follement amoureuse d’elle.

Entre femmes

A son tour, Mélanie finira par succomber à cette passion dévorante, une liaison qui ouvrira de nouvelles perspectives dans la vie terne de la jeune femme, lui redonnant goût à une liberté trop vite perdue.

Elle en négligera son rôle d’épouse et de mère, affichant vite un besoin d’indépendance, mais assumant plus lentement son homosexualité, un choix difficile qui ne sera pas sans conséquences…

 

Se tenant par la main, le cortège extravagant, regroupant toutes sortes de personnages hilares et extravagants, continue de courir en riant, longe les interminables couloirs, les coins câlins, l'espace balnéo. De nombreuses personnes s’y baignent déjà, s’éclaboussant avec joie, les invitant à les rejoindre.

Indifférente, la farandole rejoint l’immense piste de danse pour se perdre dans d'autres couloirs.
Mélanie est essoufflée mais, entraînée par la vague humaine, est obligée de suivre. Dans un virage à angle droit la file se déporte, Mélanie lâche prise et
se retrouve éjectée sur le côté. Elle évite de justesse la chute brutale grâce
à Catherine qui la retient. Le temps de se retourner et déjà le cortège a
disparu, les rires se font plus lointains. Elles se retrouvent seules dans une
grande chambre luxueuse, sans trop savoir comment elles ont pu atterrir ici.

- Et bien, charmant programme, toute seule avec
toi dans une chambre !

Mélanie, confuse, ne dit rien.
Elle trouve la situation embarrassante, déplacée même… Catherine, au contraire, semble carrément se satisfaire de la situation.

Mélanie tourne vite la tête pour dissimuler son embarras.

- Bon, on ne va pas s’éterniser ici.

Elle fait mine de quitter la pièce mais Catherine la retient avec fermeté.

- Attends, rien ne presse. Reprenons notre souffle.

Soumise, Mélanie lui obéit. Elle se sent étrangement nerveuse, sensible à la puissante aura sexuelle qui émane de cette femme.

Catherine possède une vitalité sauvage qui semble crépiter de
tous les atomes de son corps, comme une surcharge électrique. Elle se déplace
avec assurance, la guidant d’emblée vers un canapé. Aucune résistance n’est
possible. Tout chez elle est autorité, arrogance aussi, épaules en arrière pour
mettre en évidence ses seins lourds qui oscillent de manière aguichante, et
tête haute. Elle est peu vêtue, moulée dans une robe noire qui souligne toutes
les courbes de son anatomie. Elle est presque indécente, sexy, et Mélanie
constate brusquement avec effroi qu’elle est en train de la déshabiller des
yeux comme un homme le ferait, avec désir. Elle se sent très attirée par cette
femme et cette constatation lui coupe soudain les jambes. Elle vacille, prise
d’un vertige. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive, bouleversée par une
intense émotion qui l’étreint et la fait suffoquer. La tête lui tourne, elle ne
tient pas l’alcool qui fait apparemment mauvais ménage avec son tempérament
trop émotif. On ne l’y reprendra plus. Puis le temps est lourd, une chaleur
étouffante, presque orageuse…Catherine la regarde avec inquiétude, s’arrête à
son tour. Elle est pleine de compassion, aussitôt protectrice. Avec douceur
elle la prend par les épaules pour la soutenir et la fait asseoir sur le canapé.
Mélanie, affaiblie, se laisse faire, ayant du mal à retrouver son souffle.
Catherine pousse un soupir exagéré.

- Il fait trop chaud. On suffoque. Il faut se mettre à l’aise.

Le plus naturellement du monde
elle défait un à un les boutons de sa robe jusqu’au nombril. Elle demeure ainsi,
à demi-nue, sans le moindre complexe. Elle a une poitrine magnifique, lourde et
ferme, d’une blancheur de porcelaine. Mélanie, troublée, baisse vite les yeux.

- Tu devrais en faire autant, tu te sentirais mieux.

Mélanie secoue négativement la
tête.

Catherine n’en tient pas compte.

- Ne fais pas l’idiote. Je vais
t’aider.

Et sans attendre son approbation
lui dénoue la ceinture de sa robe. Le premier réflexe de Mélanie est
d’avancer ses mains pour l’empêcher de continuer, mais Catherine lui saisit les
bras avec fermeté.

- Laisse-toi faire.

Mélanie se crispe, mais laisse retomber lentement ses bras le long du corps, docile… L’autorité de cette femme la laisse sans force, elle se sent encore trop affaiblie pour lui résister.
Catherine écarte d’une main fébrile les pans de sa robe, la tenue de soie
glisse sur des épaules dorées, dévoilant la troublante nudité d’un petit sein
pointu. Elle finit son geste en tremblant brusquement. Les seins sont parfaits,
accrochés hauts, tendres et délicats avec leurs pointes érigées qui ressemblent
à des petits boutons de rose. Ils sont si attirants qu’elle en a des
picotements au bout des doigts. Elle a du mal à ralentir les battements
désordonnés de son cœur, le sang se met à circuler plus vite dans ses veines,
le désir la brûle d’un coup, aussi vite qu’une allumette que l’on gratte pour
en faire jaillir la flamme.

- Tu es vraiment très jolie,
dit-elle d’une voix un peu trop oppressée.

Elle la saisit par la taille et lui demande de se mettre en position tailleur. Mélanie obéit, un petit sourire nerveux sur les lèvres. Cette position lui fait écarter les jambes, ce qui fait
glisser la robe sur ses cuisses, les dévoilant jusqu’à la limite de l’aine.
Vite, elle veut rabattre son habit sur les genoux, mais Catherine arrête son geste en posant doucement sa main sur le bras qui s’est avancé.

- Reste comme ça ! souffle t- elle d’une voix chaude.

Elles restent assises en tailleur
l’une en face de l’autre, si proches que leurs genoux se touchent. Catherine
cède à la tentation, pose une main légère sur une cuisse. Mélanie sursaute
violemment, comme piquée à vif. Catherine n’en comprend pas la signification
et, prudente, retire sa main. Elle préfère lui caresser du bout des doigts le
visage.

- Ne trouves-tu pas cette situation très troublante, dit-elle d’une voix rauque. Nous sommes presque nues, l’une contre l’autre, dans la chambre d’une somptueuse villa qui brûle d’une fièvre érotique avec toutes ces femmes qui font la fête et se draguent ouvertement. C’est si magique… On pourrait nous prendre pour deux lesbiennes qui se cachent pour s’aimer.

Confuse, Mélanie esquisse un pâle sourire en hochant timidement la tête. Catherine continue de caresser avec passion chaque trait du visage, la dévorant des yeux. Elle l’attrape par les cheveux avec douceur et l’attire à elle, approchant son visage du sien.

Elle semble fascinée par la sensualité enfantine des lèvres satinées qui, tout prés, frissonnent, comme une invitation. Catherine ne peut y résister. Elle presse sa bouche contre la sienne. Mélanie gémit, puis se détourne avec brusquerie.

- Je ne peux pas… Mon mari n’est pas loin, je ne l’ai jamais trompé…

Ses pensées sont si désordonnées qu’elle ne sait plus quoi dire.

- N’aie pas peur… la rassure Catherine.

Elle essaie une nouvelle
tentative. Elle lui dépose un baiser sur la joue, glisse dans le cou où là,
malgré elle, Mélanie penche la tête en arrière, comme pour lui faciliter le
passage.

Catherine en profite pour couvrir sa gorge de baisers enfiévrés, s’y
attardant longtemps avant de remonter jusqu’au menton, puis à la bouche.
Nouveau refus. Alors Catherine repart à l’attaque en privilégiant la gorge
mais, cette fois-ci, va ensuite du menton jusqu’au jusqu’au lobe de l’oreille
qu’elle se met à mordiller délicatement, léchant d’une langue aiguë le
pourtour. Mélanie frissonne de plaisir, sans pouvoir se retenir. Sa respiration
s’accélère lorsque Catherine revient lentement à sa bouche, lui taquinant les
lèvres du bout de la langue. Cette fois- ci, elle ne se dérobe plus et, ayant
brusquement du mal à respirer, entrouvre les lèvres. Elle gémit lorsqu’une
langue agile force immédiatement la barrière de ses dents pour explorer
goulûment l’intérieur de sa bouche. Elle accueille le baiser avide avec un
soupir désemparé, répond malgré elle aux sollicitations de la langue qui vient
s’enrouler autour de la sienne dans un contact délicieux.

Une intense excitation la prend
par surprise, un trouble inconnu dont la violence l’émeut et l’effraie à la
fois. Les lèvres qui l’assaillent avec passion sont douces et pleines, la
langue qui la relance a une saveur piquante. Jamais elle n’aurait pensé qu’un
baiser féminin pouvait être aussi électrisant, aussi grisant, comme le plus
enivrant des nectars. Elle se sent fondre de l’intérieur, stupéfaite de ne plus
maîtriser son corps. Elle continue de répondre au baiser, d’abord timidement,
et se met progressivement à respirer de plus en plus fort, inconsciente de se coller
brutalement à sa partenaire, suspendue à son cou, lui caressant la nuque. Leur
baiser s’est accéléré, plus fougueux, plus gourmand, et les fait haleter de
désir. Catherine glisse ses mains sur les épaules, caresse la peau nue, cherche
les seins dont les pointes se dressent aussitôt dans les paumes de ses mains.
Mélanie émet un petit miaulement de surprise, sursaute violemment en
écarquillant les yeux avec égarement. Elle frissonne de la tête aux pieds avec
un râle éperdu tandis que Catherine se penche plus bas, couvrant de nouveau le
cou de baisers intenses, la gorge, avant de lécher à coups de langue affamés la
magnifique poitrine qui s’offre gonflée à elle.

Mélanie pousse un cri stupéfait,
presque animal, et cambre violemment le dos en levant ses seins vers la bouche
experte qui l’embrase toute entière. Elle prononce des paroles sans suite,
gémit, murmure des encouragements et des plaintes, perdant la raison et le
contrôle de son corps. Impitoyable, Catherine continue de sucer et mordiller
délicatement les tétons dressés, saisissant entre ses lèvres les pointes pour
les picorer avec une dextérité inouïe. Mélanie se laisse étendre sur le dos,
entraînant sa compagne dans sa chute, oscille sous elle, noue ses jambes autour de sa taille, l’enserre énergiquement. Elle ne se reconnaît plus, elle qui a
toujours été une personne réfléchie, sage, raisonnable, trop raisonnable…Elle
n’existe plus que pour cette ardeur qui la consume, lui fait faire toutes les
folies, lui permet toutes les audaces. Du corps de sa partenaire irradient des
ondes lascives qui lui communiquent toute sa fièvre, toute sa volupté.

Jamais elle n’aurait pensé qu’une femme puisse être aussi sensuelle et aussi
désirable, la mettant dans tous ses états. Elles s’enlacent étroitement,
roulent l’une sur l’autre. Elles se retrouvent à la même hauteur, et lorsque
Catherine relève le visage pour la regarder, Mélanie la bâillonne de nouveau
avec ses lèvres. Elle est gourmande de baisers, et retient ainsi prisonnière sa
partenaire pour lui éviter d’aller plus loin. Elle n’est pas prête, pas encore.
L’image de son mari vient de la rappeler à l’ordre, c’est un homme bon et
généreux qui ne mérite pas cette odieuse trahison. Elle s’est déjà laisser
aller au flirt, c’est plus que suffisant, son éducation et sa situation lui
interdisent d’aller plus loin. Cette fougue la terrifie, elle n’a jamais connu
ça.

Tout va trop vite, il faut qu’elle se reprenne. Mais cette femme embrasse
divinement bien, et ses caresses, ses caresses… De nouveau, elle est entraînée
par un tourbillon trop impétueux pour lui résister. Sa raison vacille. Le goût
de cette bouche si appétissante qui ne cesse de la relancer attise un désir
encore plus violent. Elle se laisse emporter. Leur baiser dure une éternité et
c’est Catherine qui, hors d’haleine, y met fin la première. Mélanie proteste
avec un petit gémissement de frustration. Elle aurait voulu que cet instant ne
s’arrête jamais. Catherine lui passe les mains dans les cheveux, les caresse,
avant de lui relever la tête. Ses yeux sont brûlants d’une passion dévorante.

- Mélanie, comme tu me plais ! Mon Dieu, comme tu me plais ! Tu es tellement belle !

  Pour votre plaisir et vos fantasmes...

lachrysalide.fr - Vos journées et vos nuits libertines

         banniere.jpg 

Par nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : les jeunes exhibes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Divines et Libertines.

Nouveau dossier 7 Images -

BLOG SEXE AMATEUR - HISTOIRES EROTIQUES.

Annuaires de Qualité :

 

 

BC1306DF-C8FF-A227-E476-618B76985A6B_thumb.jpg

7322DFB0-3C3D-BBA4-AD36-04974E6D8F6D_thumb.jpg

 

candaulisme

Le X Culte sur SexTv :

 

   

   

 

Derniers Commentaires

Enflammez votre Imagination :

PHOTOS ET HISTOIRES LIBERTINES :

photos 2012 9

PHOTOS ET AVENTURES LESBIENNES :

photos 2012 AutoCollage 7 Images 15

RECITS EROTIQUES :

sans-titre

Recherche

Teens Perverses.

 

description

description

description

 

Syndication

  • Flux RSS des articles

Live Show Hard

LIVE 18 ANS 2

 

emma_watson_sex.gif

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés