Un amour de Tante.

Lundi 27 novembre 1 27 /11 /Nov 19:07

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Romane est sans force et sans volonté face aux assauts lascifs d'une tante déchaînée qui, l'ayant surprise en train de fouiller sa chambre, trouve un prétexte pour abuser de sa naïveté.

Un amour interdit qui lui échappe et la tétanise d'effroi alors que Pascale, profitant de son désarroi, la jette sur le lit et la coince aussitôt sous elle...

Etouffant ses protestations de baisers affamés, Pascale entreprend ensuite de la déshabiller avec une hâte fébrile, excitée comme elle ne l'a jamais été, persuadée d'assouvir enfin un fantasme qui ne cesse de la torturer depuis quelques mois : initier sa jeune niéce aux délices de Lesbos. Un fantasme que la pauvre Romane ne semble pas partager, impuissante devant les ardeurs d'une femme déterminée à la pervertir.
Eperdue, Romane a du mal à comprendre ce qui lui arrive, malgré les paroles rassurantes de sa tante qui la réconforte et la met en confiance...
Avant de se jeter sur elle comme une louve affamée, rivalisant de sensualité et de fougue. Une ardeur communicative qui commence à porter ses fruits, où l'innocente Romane ressent avec honte les premiers émois d'une traître excitation qui monte et la submerge...

 

A SUIVRE...

Si vous aimez ce genre de récits lesbiens, je vous conseille vivement cette histoire :

 

http://divineinnocente.onlc.fr/32-Un-amour-de-Tante.html

UN AMOUR DE TANTE : Une attirance impossible entre Ingrid, étudiante studieuse et romantique, aussi sage que timide, et sa tante Julie, adepte du libertinage, qui ne résistera pas longtemps à la tentation de séduire et pervertir la propre fille de sa sœur. Possédée d’une passion aussi dévorante qu’interdite, elle va emporter Ingrid sur des chemins hors norme.

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Par nicogarner - Publié dans : Un amour de Tante. - Communauté : Les femmes poilues
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Dimanche 14 mai 7 14 /05 /Mai 17:11

Quand une femme de 50 ans cesse de fantasmer sur sa jeune et jolie nèce pour passer à l'acte, la confrontation est intense et lascive...

Juliette prit les initiatives en enjambant ma tête. Elle n'en peut plus, haletante et transpirante, le feu au corps. J’avais son sexe presque contre ma bouche et je réalisais à cet instant que, si nous allions toutes les deux plus loin, nous brisions tous les interdits. Deux femmes ensemble. Une jeune nièce et sa vieille tante. Plus de tabou et de morale si je franchissais cette frontière. Tant pis. J'étais trop excitée pour faire marche-arriére. Alors je me mis à lècher son abricot.

Il était délicieux, juteux à souhait, lubrifié d’une mouille dont je raffolais et qui me remplissait la bouche. Et elle ne cessait de couler la coquine, une vraie fontaine intarissable, comme les digues d'un barrage qui cédaient, lui autorisant les plaisirs les plus extrêmes. Avec une femme. Sa tante.

Ce fût le déclic. Le mal était fait. Elle me ramena sur elle et m'embrassa avec une fougue incroyable, sans plus aucune retenue. Avec la passion et l'abandon de celle qui se sait perdue et reconnait sa défaite.

 

Elle m'a attrapée par les hanches, et nous avons commençé à bouger ensemble. Nos gémissements de plaisir résonnaient bruyamment dans le salon. Je ressensais des sensations que je n'avais plus ressentie avec mon amie depuis bien longtemps : l'excitation nouvelle, la jeunesse de ma partenaire, la fougue de cette dernière, le fruit défendu… J'avais l'impression de revivre sexuellement une seconde vie !
Juliette s'agitait sur moi avec la souplesse de la jeunesse et sautillait sur mon sexe, mes seins, cherchant le contact le plus étroit, comme si nos chairs pouvaient se mêler, s'embraser et se fondre dans le même moule. C'était délicieux et intolérable.

Moi, je suivais ses mouvements avant de la faire pivoter comme une crêpe, la positionnant tête-bêche. Et nous nous sommes perdus et damnés dans le 69 le plus torride de toute ma vie de lesbienne, l'expérience la plus fabuleuse et excessive, où nous n'arrivions plus à nous lasser l'une de l'autre...

Je fis l'amour comme une démente, je fis l'amour comme si ce n'était pas ma niéce. Ce n'était plus la fille de ma soeur, mais une femme, avec laquelle je voulais passer du bon temps, du très bon temps ! Je n'étais plus moi-même : je l'aimais avec joie et fougue, lui mangeais régulièrement ses fesses, sa raie, lui dévorais son vagin trempé et posais en même temps un doigt sur l'autre trou, plus petit, l'anus, où je m'enfoncais sans mal.

 Ma niéce se mit alors à crier, hurler de plaisir, et elle me supplait de la défoncer plus rapidement, plus profondément. Je ne me fis pas prier, léchant tout ce que ma bouche pouvait occuper et caressant avec mes doigts ce que je ne pouvais pas laper. Elle eut plusieurs orgasmes d'une violence inouie, se lâchant par de longs jets de cyprine qui m'inondérent vite le visage. Et, sans cesser de jouir, me rendait la pareille, comme une éléve surdouée qui se régale de ses aptitudes.

Au point de prendre des initiatives qui m'enchantaient, variant les positions et m'emportant dans des plaisirs inédits, bien plus nombreux et intenses que ce que je connaissais jusqu'alors avec mon amie officielle.

Alors, hors de souffle, ayant du mal à suivre la cadence qu'elle m'imposait, il me fallait un excitant moi aussi. Pour tenir le rythme... Et je finis donc son verre, où l'aphrodisiaque fit son effet, redoublant mon énergie.

Aprés deux heures de sexe effréne, la tension retomba et c'est alors que je pris conscience de l'ampleur des dégâts et des conséquences de nos actes. Je m'étais alors excusée de l'avoir abusée, d'avoir trahie sa confiance... J'étais perdue et je me sentais si coupable. Bon sang, je venais de corrompre ma niéce, la détourner du droit chemin, la perturber à tout jamais, juste pour assouvir une bête sauvage qui se trouvait en moi. Alors maintenant, je pleure sans pouvoir m'arrêter... De tristesse ? De honte ? De remords ? Oui, tout cela en même temps. Mais Juliette m'entend au travers de la porte. Elle m'ouvre, me forçe à rentrer, et se jette alors dans mes bras, m'avouant son amour, son désespoir, me livre ses joies et ses tourments. Qu'elle a honte aussi, mais ne cesse de repenser à nos ébats torrides et me répéte en bafouillant qu'elle ne s'est jamais sentie aussi femme, aussi libérée, aussi épanouie....

Les larmes qui ruissellent sur mon visage deviennent plus abondantes. Intarissables. Mais elle n'ont plus le même goût car ce sont des larmes de joie et de bonheur...

FIN.

UN AMOUR DE TANTE : Une attirance impossible entre Ingrid, étudiante studieuse et romantique, aussi sage que timide, et sa tante Julie, adepte du libertinage, qui ne résistera pas longtemps à la tentation de séduire et pervertir la propre fille de sa sœur. Possédée d’une passion aussi dévorante qu’interdite, elle va emporter Ingrid sur des chemins hors norme. http://divineinnocente.onlc.fr/32-Un-amour-de-Tante.html       

 

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Par nicogarner - Publié dans : Un amour de Tante. - Communauté : Plaisir des Yeux
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Dimanche 14 mai 7 14 /05 /Mai 17:09

Quand une femme de 50 ans, lesbienne et frustrée, cesse de fantasmer sur sa jeune et jolie niéce, déterminée à passer aux actes... La confrontation est intense et lascive...

Il parait que la nuit porte conseil, mais c'est faux : je n'ai presque pas dormi, les images de ma niéce me faisant l'amour comme une folle revenant sans cesse dans mon esprit. Au matin, je suis dans un sale état, je me sens nauséeuse et j'ai l'impression de me détester. Comment ai-je pu laisser la situation dégénérer ainsi ? Je suis la tante de Juliette, et j'aurais du m'arrêter à temps avant de lui sauter dessus ainsi. Mais je ne l'ai pas fait. Parce que ce qu'elle m'a toujours plue. Et que j'en avais assez de me masturber en pensant à elle, à fantasmer, à me faire mal. Alors je suis passée à l'acte, la brusquant au début comme une chienne en chaleur qui ne se côntrôle plus, ce qui était le cas. Et finissant par la plier à mes désirs tellement mon excitation était contagieuse. Je ressens encore sa petite vulve enflammée qui coulait quand je la léchais, son odeur...
Je cherche à reprendre mes esprits, tentant vainement d'échapper à toutes ces images obsédantes. C'est l'été et ma niéce est en vacance, passant le plus clair de son temps chez ses amies ou chez nous. Je ne dois donc pas compter sur la fac et les cours pour échapper à son regard fuyant et coupable.
Je me lève et me dirige vers la salle de bain. La porte de la chambre de Juliette est fermée, généralement, cela signifie qu'elle dort encore. Tant mieux… Je prends une bonne douche pour oublier tous mes soucis, puis décide d'aller prendre un copieux petit-déjeuner, n'ayant pas dîné la veille. Mon amie est là -celle avec qui je vis depuis vingt-deux ans-  et en la voyant, je sens un poids dans ma poitrine : une autre femme m'a fait l'amour comme jamais, une fille de vingt ans plus jeune, de ma propre famille. Est-ce ignoble ? Je connais la réponse et je ne suis pas dans mon assiette. Inutile de souffrir davantage et se débattre dans une vaine morale...
Lorsque Juliette se lève, nous nous ignorons, aussi mal à l'aise l'une que l'autre. Pas une seule fois durant la journée, elle ne cherche à m'adresser la parole. À vrai dire, elle reste cloitrée dans sa chambre. Ressent-elle aussi de la culpabilité, ou de la peur ? Peut-être devrais-je aller voir si elle va bien… Mais je n'ose pas : la peur d'affronter la vérité. De la lâcheté... Comme je fus lâche d'user aussi d'un aphrodisiaque hyper puissant pour parvenir à mes fins. Il y'a trois jours, le patron du sex-shop m'avait prévenu sur les bienfaits de ce produit, un stimulant sexuel sous forme de liquide, spécialement conçu pour donner endurance, puissance et énergie, tout en augmentant la libido de façon incroyable. Avec ça, m'avait-il dit, votre petite amie va vous sauter dessus comme une affamée et vous dévorer toute crûe toute la nuit ! Sauf qu'il ignorait que j'avais de mauvaises intentions en droguant et excitant ma propre nièce, une jeune femme innocente et hétéro qui avait sans doute d'autres projets que coucher avec sa tante ! Et je l'utilisais le soir même, profitant de l'absence de ma amie qui, comme chaque jeudi, part en déplacement pour ses tournois
 de basket-ball. Je vidais littéralement tout le flacon dans son verre, avant de trinquer avec elle

Trop impatiente de passer à l'acte, je brûlais les étapes en montrant tout de suite un comportement audacieux et entreprenant, dévoilant mes intentions en me penchant sur elle avec des gestes beaucoup

trop caressants et directs.

- Tata, mais que fais-tu ? m'a t-elle demandé en jetant sur moi un regard stupéfait.

Trop tard, j'étais collée à elle, m'excitant de son odeur, la touchant partout où je pouvais, la déshabillant des mains et de la bouche, avec des gestes fébriles et impatients qui trahissaient un état incontrôlable. Jamais je n'ai eu une telle envie de faire l'amour. Une envie pressante. Furieuse. Animale.

Sourde à ses protestations, je la dénudais à moitié, les mains balladeuses et le corps tremblant. Ma respiration sifflante couvrait ses petits râles de surprise et ses soupirs indignés. J'étais hors de moi, une jument en rut qui obéit à ses pulsions primitives...

Lorsque je lui ai saisi les seins entre mes lèvres, les dévorant comme une goulue, passant de l'un à l'autre pour titiller les petits bouts qui se durcissaient sous ma langue, elle commencait à mollir, à faiblir,

à ne plus protester.

Effet de l'aphrodisiaque ou une réelle envie de se laisser faire ? Je ne savais pas et je m'en moquais littéralement. Tout ce que je savais, et qui m'excitait prodigieusement, c'était ce moment où elle s'abandonnait peu à peu, baissait la garde, abandonnait les armes, éperdue et frémissante comme une biche aux abois... Pour accélérer ma victoire, j'ai pris possession de sa bouche, me frottant à elle, cherchant sa langue, la trouvant, m'y nouant dans un ballet endiablé. Puis, chose incroyable, elle a répondu à mon baiser.

Timide. Hésitant. Maladroit. Son premier baiser lesbien qu'elle redoutait certainement, où elle n'osait pas se lâcher... Mais je suis une vraie experte dans l'art du baiser et je ne tolére pas la docilité. Je l'obligeais donc à me caresser les seins, accompagnant moi-même ses gestes, la sortant de sa torpeur, me collant à elle comme si nous ne faisions qu'une. Et tout en continuant de lui dévorer la bouche, aspirant son souffle et son énergie comme une vampire, la relançant de spirales infernales. Alors, tout en l'affolant de baisers langoureux et passionnés, j'arrivais à la déshabiller en même temps, ne restant jamais inactive, maintenant le désir à son apogée.

Son corps parfait apparait. De gros obus, fiers et pointant vers moi, rebondissent mollement sur sa poitrine. Son ventre et sa ligne mince la rendent encore plus désirable.

Ses jambes parfaites sous son collant dont je me suis débarrassée prestement, usant de la même dextérité pour me dévêtir en même temps.

J'avais ma proie sous contrôle et comptait bien lui offrir sa nuit la plus torride de toute son existence... L'initier à des amours lesbiens dont elle ne pourrait plus se passer...

A  SUIVRE...

UN AMOUR DE TANTE : Une attirance impossible entre Ingrid, étudiante studieuse et romantique, aussi sage que timide, et sa tante Julie, adepte du libertinage, qui ne résistera pas longtemps à la tentation de séduire et pervertir la propre fille de sa sœur. Possédée d’une passion aussi dévorante qu’interdite, elle va emporter Ingrid sur des chemins hors norme. http://divineinnocente.onlc.fr/32-Un-amour-de-Tante.html

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Par nicogarner - Publié dans : Un amour de Tante.
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Samedi 22 avril 6 22 /04 /Avr 16:03

110701.jpgPrenons maintenant le cas d’une attirance impossible entre Ingrid, étudiante studieuse et romantique, aussi sage que timide, et sa tante Julie, adepte du libertinage, passionnée et indépendante, d’un tempérament volcanique. Habituée à satisfaire ses désirs sans aucune contrainte, séparant sexe et amour, Julie va pourtant se trouver dans une situation inhabituelle et perturbante lorsque l’amitié et les liens familiaux vont céder la place à un sentiment beaucoup plus troublant.

Elle ne résistera pas longtemps à la tentation de séduire et pervertir la propre fille de sa sœur. Possédée d’une passion aussi dévorante qu’interdite, elle va emporter Ingrid sur des chemins hors norme, entretenant une relation charnelle si intense qu’elle l’emportera dans sa chute. L’esprit de Ingrid va peu à peu se consumer dans cet amour fou, lui faisant perdre tous ses repères, la libérant de toutes ses inhibitions, pour à son tour se lancer à corps perdu dans un libertinage effréné.

Ingrid dissimula son sourire gêné en baissant la tête. La couleur de la robe donnait à sa peau un teint hâlé et resplendissant. Du bout des doigts, Julie lui effleurait maintenant la joue.

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Ingrid se mit à avoir des frissons et, les jambes tremblantes, s’assit sur le rebord de son lit. Julie s’installa à ses côtés, soupirant d’aise.

- Si on passait aux choses sérieuses ?

- Désolée, mais toute bonne chose a une fin. Il est bientôt minuit. Il est temps de se coucher.

- Ah ? Toutes les deux, dans ta chambre ?

Le visage de Julie était grave alors qu’elle la dévisageait avec insistance. Ingrid n’osait pas la regarder en face.

- Ne dis pas n’importe quoi.

- Pourquoi ? On pourrait passer la nuit toutes des deux à se faire l’amour comme jamais on ne l’aurait fait, non ? Ce serait dommage que je rentre chez moi et qu’on dorme chacune de notre côté alors qu’on en meure d’envie toutes les deux.

La voix d’Ingrid se mit à trembler.

- Tu sais bien que c’est impossible. Je t’aime comme une tante, comme une mère presque, ne viens pas tout gâcher.

Julie se rapprocha d’elle en la dévorant des yeux.

- Une tante qui t’embrasserait comme ça alors…

Elle se pencha et prit possession de sa bouche, cherchant aussitôt sa langue. Surprise, Ingrid la laissa faire. Le baiser était doux, long et appliqué.

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Malgré elle, Ingrid ressentit des frissons de la tête aux pieds, et sa langue se mêla au jeu sans qu’elle le veuille. C’était son premier baiser de fille.

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Terriblement sensuel et excitant. Lorsqu’il prit fin, elle retrouva ses esprits. De ses yeux implorants, elle la supplia de cesser là ce jeu dangereux, mais Julie était trop excitée pour faire marche arrière. Elle la poussa au fond du lit,

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la coinçant contre le mur. Ses mains descendirent dans l’échancrure de sa robe et elle prit possession de ses seins aux bouts tendus.

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Ingrid gémit. Et ne cessa de râler lorsque les baisers avides picorérent ses seins,

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avant de remonter le long du cou, cherchant sa bouche.

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Puis Julie s’accroupit entre ses jambes écartées, caressant l’intérieur de ses cuisses tout en fixant le renflement sensuel qu’elle percevait sous la culotte, la retroussant jusqu’au nombril. N’y tenant plus, elle saisit alors l’élastique aux hanches et commença à tirer le slip vers le bas. Ingrid serra ses jambes pour ne pas lui faciliter la tâche, articulant des gémissements de protestation.

-  Non ! Julie, on ne doit pas…

En vain. Julie étouffa ses plaintes en lui insérant la culotte dans la bouche,

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prenant en même temps possession de son sexe d’une main active, le caressant sur toute la longueur.

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Par nicogarner - Publié dans : Un amour de Tante. - Communauté : blog sexe des amis
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Dimanche 26 mars 7 26 /03 /Mars 15:15

Une attirance impossible entre Ingrid, étudiante studieuse et romantique, aussi sage que timide, et sa tante Julie, adepte du libertinage, passionnée et indépendante, d’un tempérament volcanique. Habituée à satisfaire ses désirs sans aucune contrainte, séparant sexe et amour, Julie va pourtant se trouver dans une situation inhabituelle et perturbante lorsque l’amitié et les liens familiaux vont céder la place à un sentiment beaucoup plus troublant.


Elle ne résistera pas longtemps à la tentation de séduire et pervertir la propre fille de sa sœur. Possédée d’une passion aussi dévorante qu’interdite, elle va emporter Ingrid sur des chemins hors norme, entretenant une relation charnelle si intense qu’elle l’emportera dans sa chute. L’esprit de Ingrid va peu à peu se consumer dans cet amour fou, lui faisant perdre tous ses repères, la libérant de toutes ses inhibitions, pour à son tour se lancer à corps perdu dans un libertinage effréné.

C'est ici : DIVINES ET INNOCENTES;

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Par Nicogarner - Publié dans : Un amour de Tante. - Communauté : les jeunes exhibes
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