Les aventures de Sandrine, ou l'initiation libertine d'une femme mariée...
" Evidemment, du plaisir, j’en avais mais, sans que je puisse l’expliquer, il me manquait quelque chose. Je ne sais pas quoi, le petit truc en plus
pour que j’apprenne enfin à me lâcher. Ma libido s’est améliorée quand j’ai trouvé le petit piment qui me faisait défaut : le fantasme, et plus particulièrement une envie d’aller voir ailleurs.
Je ne sais pas pourquoi, et je m’en suis rendue compte tout bêtement en tombant un jour par hasard sur une revue porno que des collègues de boulot avaient laissés traîner sur un bureau. Je l’ai
feuilleté à la va-vite, passant sur les pénétrations hommes et femmes qui me faisaient beaucoup d’effet et stoppant nette sur des photos de lesbiennes qui s’embrassaient et se caressaient avec
une intensité incroyable.
Là, c’est comme si on m’avait donné un coup de poing en plein ventre, j’ai trouvé cela hyper érotique et hyper excitant. Le soir, c’est moi qui suis
allée trouver Marc car j’avais envie réellement de faire l’amour, avec une fougue et un appétit qui nous a surpris tous les deux. Avec mon mari, on se dit tout, et je lui en ai donc tout raconté.
Il a rien dit, mais la semaine d’après il a loué une cassette d’un film x lesbien, et cela m’a fait le même effet incroyable, comme si j’étais une autre. Marc, lui, était heureux et comblé, et
cela est devenu un jeu entre nous, un aphrodisiaque qui était notre petit jardin secret pour pimenter notre vie sexuelle lorsqu’elle retombait dans la monotonie. Cela a duré sept ans. Mais, avec
les années qui passent, ma vie sexuelle qui s’affirmait, ces petits jeux innocents ne me suffisaient plus, j’avais de plus en plus envie de tenter l’expérience avec une fille, cela me troublait
et m’effrayait en même temps : la certitude d’adorer ça, et la peur aussi de trop aimer ça justement… Inconsciemment, j’avais d’autres réactions au lit, cherchant davantage les préludes, les
préliminaires et la sensualité qui, avec Marc, ne répondaient pas vraiment à mes attentes. Il me caressait avec des mains d’homme, et c’étaient un corps et des mains de femmes que mon corps
exigeait. Contre cela, il ne pouvait rien faire. "
Sandrine ne peut pas lutter contre ses propres démons qui, enfouis depuis trop longtemps, s’éveillent avec une trop forte intensité. Elle trahit ses
désirs secrets dans l’intimité même avec un mari qui, malgré ses efforts, se laisse vite dépasser par les événements. La sexualité révèle notre vrai visage. Durant l’acte sexuel, certains gestes,
positions, circonstances nous émeuvent plus que d’autres : ils s’adressent à des tendances de nous-mêmes dont nous n’avons pas conscience. Une jeune femme ne s’épanouit qu’avec des partenaires
doux, attentionnés, préfère le plaisir qu’elle reçoit, n’aime pas trop donner, avec une préférence pour les préliminaires raffinés et les préludes plus subtils, et une fascination pour les images
érotiques montrant deux femmes ensemble : elle aura des envies latentes de bisexualité ou de vraies tendances homosexuelles…Ainsi, c’est dans l’excitation que tombe le masque social, dévoilant
son vrai visage.
Sandrine continue de témoigner : " Mon mari et moi sommes passés à l’acte. Je ne le remercierai jamais pour sa confiance, mon amour n’a cessé de
croître lorsqu’il a compris mes envies, me comprenant et m’acceptant tel que j’étais. C’était pour moi la plus belle preuve d’amour. Avant le jour J, j’ai constaté que mon corps commençait à
réagir différemment. Toutes les fibres de ma sensualité étaient en éveil, comme à l’approche d’un fruit défendu. Je ne sais pas ce que c’était, le danger de ce qui m’attendait, l’interdit, le
renouveau, mais en tout cas cela avait un effet délicieusement agréable sur ma libido. Mais, en même temps, quelque chose me tracassait. L’idée que Marc se retrouve en retrait lorsque je viendrai
à le faire avec une fille me dérangeait, c’est comme si je le mettais volontairement à l’écart, l’excluant alors que je risquais de prendre un plaisir fou avec une autre personne. L’imaginer
souffrir, se torturant moralement en s’imaginant ce que je faisais égoïstement dans les bras d’une femme me semblait cruel, et je ne voulais pas qu’il me le reproche un jour. Alors l’évidence
s’est imposée. Je tenais à sa présence, qu’il partage avec moi ce moment unique et sans doute merveilleux. Qu’il me voit avec cette fille et, ensuite, lorsque j’en aurai envie, qu’il vienne nous
retrouver. Cela me rassurait, l’avoir à mes côtés. Ainsi, nous le ferions ensemble, un lien encore plus fort qui nous rapprocherait, un bonheur partagé.
La magie a opéré dés que je suis entrée dans cette discothèque libertine, l'Alibi d'Ô à Fitou. La peur
de l’inconnu, l’insolite du cadre et des gens, cette ambiance sensuelle, chaude et électrique avec tous ces couples qui flirtaient partout. Déjà, j’étais troublée, et jamais je ne me suis sentie
aussi belle, aussi désirable, avec de l’audace dans ma façon de danser, de bouger. Je me sentais femme –avec un grand F – et vivante. Puis une femme ne cessait de me dévorer du regard, elle était
belle, indécente et sexy. Déjà, j’étais conquise. Elle est venue s’installer à côté de moi et on a commencé à parler. Mon mari, qui se sentait en trop, est parti au bar.
Lors de ma première expérience, l’autre femme – Eve -
(appelons-la Eve), m’a dit que, bien qu’en couple avec un homme, elle avait toujours été attirée par les femmes et fréquentait uniquement les clubs
échangistes pour ce genre d’expérience. Eve m’a présentée une amie, Julie, une blonde de quarante ans, très extravertie et volubile, et drôlement sexy. Après avoir fait connaissance, elles m’ont
proposées d’aller dans une chambre et de faire plus intimement connaissance. J’étais paralysée par la peur – et l’excitation aussi – et je voulais surtout l’accord de mon mari. Du bar, il a
acquiescé de la tête, me donnant ainsi son autorisation.
Ainsi, je me suis retrouvée sur un lit avec ces deux femmes que je connaissais à peine et, après quelques banalités, elles ont commencé à me toucher
le visage et les épaules, cherchant un contact de plus en plus précis. J’étais paralysée par l’appréhension, et mon visage devait exprimer une telle tension
qu’elles m’ont mises en confiance, me parlant, me rassurant, avec le libre-arbitre de tout arrêter quand je le voulais. J’ai réussi à parler – à
croasser plutôt – exprimant mon inquiétude : n’ayant jamais eu de relations homosexuelles, il me paraissait disproportionné de commencer avec deux femmes en même temps ! Julie s’est alors mise en
avant, exprimant son désir d’être ma première femme, que son savoir était illimité, son expérience infinie, et que je ne regretterais jamais nos ébats lesbiens. Elle savait se vendre car je n’ai
trouvé aucune hésitation à formuler. Alors elle a commencé à me caresser par-dessus les vêtements, lentement… Jusqu’à ce moment-là, tout allait bien. Eve m’a pris la main pour que je me mette à
la caresser,
puis aussi à toucher aussi Julie,
que je ressente un contact tactile différent, extrêmement sensuel. Ensuite, elle s’est rapprochée pour venir me caresser les seins avec les mains,
me poussant peu à peu dans les bras de Julie..
Puis, cette dernière m’a embrassée. Cela a été le déclic. Le baiser d’une femme est incomparable, elles ont une façon incroyable dont elles ont
seules le secret pour donner la chair de poule, c’était renversant et fabuleux.
A SUIVRE...
Pour votre plaisir et vos fantasmes...
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