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Prenons maintenant le cas d’une attirance impossible entre Ingrid, étudiante studieuse et romantique, aussi sage que timide, et sa tante Julie, adepte du libertinage, passionnée et indépendante, d’un tempérament volcanique. Habituée à satisfaire ses désirs sans aucune contrainte, séparant sexe et amour, Julie va pourtant se trouver dans une situation inhabituelle et perturbante lorsque l’amitié et les liens familiaux vont céder la place à un sentiment beaucoup plus troublant.
Elle ne résistera pas longtemps à la tentation de séduire et pervertir la propre fille de sa sœur. Possédée d’une passion aussi dévorante qu’interdite, elle va emporter Ingrid sur des chemins hors norme, entretenant une relation charnelle si intense qu’elle l’emportera dans sa chute. L’esprit de Ingrid va peu à peu se consumer dans cet amour fou, lui faisant perdre tous ses repères, la libérant de toutes ses inhibitions, pour à son tour se lancer à corps perdu dans un libertinage effréné.
Ingrid dissimula son sourire gêné en baissant la tête. La couleur de la robe donnait à sa peau un teint hâlé et resplendissant. Du bout des doigts, Julie lui effleurait maintenant la joue.
Ingrid se mit à avoir des frissons et, les jambes tremblantes, s’assit sur le rebord de son lit. Julie s’installa à ses côtés, soupirant d’aise.
- Si on passait aux choses sérieuses ?
- Désolée, mais toute bonne chose a une fin. Il est bientôt minuit. Il est temps de se coucher.
- Ah ? Toutes les deux, dans ta chambre ?
Le visage de Julie était grave alors qu’elle la dévisageait avec insistance. Ingrid n’osait pas la regarder en face.
- Ne dis pas n’importe quoi.
- Pourquoi ? On pourrait passer la nuit toutes des deux à se faire l’amour comme jamais on ne l’aurait fait, non ? Ce serait dommage que je rentre chez moi et qu’on dorme chacune de notre côté alors qu’on en meure d’envie toutes les deux.
La voix d’Ingrid se mit à trembler.
- Tu sais bien que c’est impossible. Je t’aime comme une tante, comme une mère presque, ne viens pas tout gâcher.
Julie se rapprocha d’elle en la dévorant des yeux.
- Une tante qui t’embrasserait comme ça alors…
Elle se pencha et prit possession de sa bouche, cherchant aussitôt sa langue. Surprise, Ingrid la laissa faire. Le baiser était doux, long et appliqué.
Malgré elle, Ingrid ressentit des frissons de la tête aux pieds, et sa langue se mêla au jeu sans qu’elle le veuille. C’était son premier baiser de fille.
Terriblement sensuel et excitant. Lorsqu’il prit fin, elle retrouva ses esprits. De ses yeux implorants, elle la supplia de cesser là ce jeu dangereux, mais Julie était trop excitée pour faire marche arrière. Elle la poussa au fond du lit,
la coinçant contre le mur. Ses mains descendirent dans l’échancrure de sa robe et elle prit possession de ses seins aux bouts tendus.
Ingrid gémit. Et ne cessa de râler lorsque les baisers avides picorérent ses seins,
avant de remonter le long du cou, cherchant sa bouche.
Puis Julie s’accroupit entre ses jambes écartées, caressant l’intérieur de ses cuisses tout en fixant le renflement sensuel qu’elle percevait sous la culotte, la retroussant jusqu’au nombril. N’y tenant plus, elle saisit alors l’élastique aux hanches et commença à tirer le slip vers le bas. Ingrid serra ses jambes pour ne pas lui faciliter la tâche, articulant des gémissements de protestation.
- Non ! Julie, on ne doit pas…
En vain. Julie étouffa ses plaintes en lui insérant la culotte dans la bouche,
prenant en même temps possession de son sexe d’une main active, le caressant sur toute la longueur.
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Fin des confidences d'une femme se lâchant pour la 1ére fois dans les délices du libertinage.
Le plaisir m’a tétanisé, m’emportant dans des contrées que j’ignorais, le plus loin possible, bien au-delà de mes ressources.
Puis, étrangement, d’autres besoins sont montés en moi. L’envie d’un homme, d’un sexe d’homme. Mon homme. Il était là, pas loin, à regarder, et
quelle choc émotionnel quand nos regards se sont croisés. Il était partagé entre jalousie et désir, tristesse et excitation, et il a compris que je souhaitais sa présence.
Là, j’ai vécu l’extase. Deux personnes qui me
caressaient, m’embrassaient, me léchaient
et je me disais :
» Wow ! c’est extra ! Deux personnes pour moi toute seule. Une femme, avec son corps et ses caresses uniques, et un homme, celui que j’aime, avec
son corps et ses caresses uniques. Moi qui adore les préliminaires, j’étais aux petits soins, les caresses pleuvaient de la tête aux pieds sans qu’un centimètre de ma peau soit épargnée. C’était
vraiment merveilleux ! La femme avait abandonné son gadget pour utiliser toutes les parties naturelles de son corps, dépassant de loin en audace et perversion mon mari qui ne savait plus trop
quoi entreprendre pour me procurer d’autres sensations. Un moment, j’ai constaté qu’il avait aussi envie de caresser cette fille, mais le pauvre n’osait pas ! Il était tellement touchant ! Alors
je l’ai encouragé à le faire, et cela m’a excitée au plus haut point de le voir faire l’amour à une autre fille. Elle avait des ressources incroyables, brûlante comme de la braise, et une pointe
de jalousie me serrait aussi le cœur lorsque je la voyais faire à mon mari des choses que je ne lui avais jamais fait, comme lécher ainsi son sexe et aussi les fesses, en partant de la nuque
jusqu’aux cuisses. Le sacripant en redemandait, alors je prenais moralement des notes, en me jurant une nuit de lui faire les mêmes choses et lui prouver que je pouvais faire encore mieux
!
Suite à cette expérience, j’ai appris à ressentir une véritable attirance pour les femmes. J’ai tenté de coucher avec un autre homme, un illustre
inconnu qui s’était avéré un trés bon amant
Si bon qu’il m’a donné plus de plaisir que mon mari – ce que je ne lui avouerai jamais – mais bien moins bon qu’avec mon adorable libertine !
Alors, oui, j’ai refais l’amour à une autre femme. Et c’était encore divin.
Si intense que je renouvelle l’expérience dés qu’une occasion se présente. Mon mari ne me suffit plus, et ce malgré tout l’amour que j’ai pour lui. Avec une femme, c’est unique. C’est sexuel, charnel, fort et passionné, et même une alchimie si vivace que je me demande des fois si je ne vais pas basculer de façon définitive de l’autre côté… Et, en y réfléchissant, cela ne me gênerait pas de tomber un jour amoureuse d’une autre femme…
Qui joue avec le feu…
Suite des aventures érotiques d'une jeune femme se livrant pour la première fois aux délices du libertinage...
J’ai osé caresser une autre femme.
Enfin, pour la première fois de ma vie, je pouvais sentir un sein ferme au creux de ma main qui n’était pas le mien.
Ce qui m’a le plus frappé, c’est la douceur, jamais je n’avais pu sentir à quel point le sein d’une femme est doux et de sentir se dresser son mamelon dans ma bouche, ce petit chatouillement que cela procurait, j’ai adoré.
Nous nous sommes caressées mutuellement de longues minutes, échangeant baisers mouillés,
tantôt tendres ou passionnés, puis elle a repris les rênes, bien décidée à mener la danse, sa danse, de celle qui a déjà de l’expérience et veut imposer son rythme.
Lorsqu’elle a posé sa bouche sur mon sexe, j’étais prête à m’évanouir tant le plaisir était intense.
J’ai eu deux autres orgasmes successifs qui m’ont littéralement bouleversés. J’ai hurlé de plaisir.
Puis, à mon tour, j’ai franchi la ligne rouge, osant caresser une autre femme. Tandis qu’elle se frottait sur moi, je lui ai donné du plaisir, la caressant par dessus son sous-vêtement,
C’était si érotique que mon désir, malgré tous mes orgasmes, est reparti de plus belle, prêt à affronter d’autres délices bien plus intenses encore. Lorsqu’elle m’a abandonné pour fixer autour de sa taille un gode-ceinture, j’ai crû défaillir. Durant nos précédents ébats, il m’avait semblé entendre un mouvement derrière nous, et je soupçonnais là la complicité de Eve, apportant dans la plus grande discrétion ce gadget. J’avais les jambes qui tremblaient en me déshabillant,
et mes tremblements n’ont fait que s’accentuer lorsqu’elle m’a pénétrée avec cet engin divin, si long et si dur, qui m’investissait totalement, allant au plus profond de moi-même.
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