Samedi 11 novembre 6 11 /11 /Nov 19:03

Pour la forme, cette jolie blonde le repousse, mais ne résiste t-elle pas pou mieux céder ? Le piment de jouer avec lui va la transformer en maîtresse lubrique et déchainée


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Par Nicogarner - Publié dans : Initiation Libertine. - Communauté : petites culottes pour grosses chattes
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Samedi 11 novembre 6 11 /11 /Nov 19:03

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Pour la forme, cette jolie blonde le repousse, mais ne résiste t-elle pas pou mieux céder ? Le piment de jouer avec lui va la transformer en maîtresse lubrique et déchainée.

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Par Nicogarner - Publié dans : Initiation Libertine. - Communauté : Les femmes poilues
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Samedi 11 novembre 6 11 /11 /Nov 13:26

Une révélation fatale.

L'initiation libertine d'une femme mariée qui va s'enflammer pour de nouvelles expériences, prête à s'aventurer avec l'homme de sa vie dans le libertinage... Mais sa rencontre avec Julie, libertine de 20 ans son aînée, va littéralement bouleverser ses orientations sexuelles, un déclic aussi libérateur que fatal. 

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Sandrine. Gentille, douce et attentionnée, tantôt elle démontre un caractère sage et docile mais, lorsque la passion l’emporte, elle peut se révéler sexy et espiègle.

  

Pourtant, il y’ a toujours une certaine retenue en elle, comme s’il lui manquait un brin de folie et d’audace. Elle en est consciente et en connaît les raisons.

Écoutez son histoire.

Sandrine avoue : " Après plusieurs années ensemble tous les couples cherchent de nouvelles sources d’excitation pour éviter la routine et la monotonie. Avec l’idée que l’amour du conjoint nous est acquis, on néglige souvent de se soucier de son apparence comme on avait l’habitude de le faire au début de la relation. Depuis que j’ai osé l’échangisme, nous avons changé notre perspective et nous faisons, mon mari et moi, de plus grands efforts pour se plaire mutuellement. Mais cela a été un long travail sur nous-même, basé sur la confiance, le dialogue et notre amour l’un pour l’autre. Cela n’est pas venu du jour au lendemain.
Les désirs sexuels s’estompent aussi avec le temps, la preuve est que la plus grande cause de divorce est l’infidélité. Boulot-dodo, le stress, les enfants qui accaparent toute notre énergie, nous délaissions sans le vouloir notre intimité. Et, au lit, je n’étais pas ce qu’on peut appeler une bombe sexuelle. Peu d’étincelle au fond du ventre, pas de grand frisson, le désir ne m’emportait pas très loin alors que je sentais qu’il suffisait de peu pour avoir le déclic libérateur. Bien sûr, il m’arrivait d’aimer ça quand on le faisait, mais c’est lui surtout qui était le plus demandeur, cela venait rarement de moi-même.

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Il prenait toujours les devants, arrivant tout de même, à force de patience, à m’emporter là où il le voulait, sur le chemin voluptueux du plaisir.

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Évidemment, du plaisir, j’en avais mais, sans que je puisse l’expliquer, il me manquait quelque chose. Je ne sais pas quoi, le petit truc en plus pour que j’apprenne enfin à me lâcher. Ma libido s’est améliorée quand j’ai trouvé le petit piment qui me faisait défaut : le fantasme, et plus particulièrement une envie d’aller voir ailleurs. Je ne sais pas pourquoi, et je m’en suis rendue compte tout bêtement en tombant un jour par hasard sur une revue porno que des collègues de boulot avaient laissés traîner sur un bureau. Je l’ai feuilletée à la va-vite, passant sur les pénétrations hommes et femmes qui me faisaient beaucoup d’effet et stoppant nette sur des photos de lesbiennes qui s’embrassaient et se caressaient avec une intensité incroyable.

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Là, c’est comme si on m’avait donné un coup de poing en plein ventre, j’ai trouvé cela hyper érotique et hyper excitant. Le soir, c’est moi qui suis allée trouver Marc car j’avais réellement envie de faire l’amour, avec une fougue et un appétit qui nous a surpris tous les deux. Avec mon mari, on se dit tout, et je lui en ai donc tout raconté. Il a rien dit, mais la semaine d’après il a loué une cassette d’un film x lesbien, et cela m’a fait le même effet incroyable, comme si j’étais une autre. Marc, lui, était heureux et comblé, et cela est devenu un jeu entre nous, un aphrodisiaque qui était notre petit jardin secret pour pimenter notre vie sexuelle lorsqu’elle retombait dans la monotonie. Cela a duré sept ans. Mais, avec les années qui passent, ma vie sexuelle qui s’affirmait, ces petits jeux innocents ne me suffisaient plus, j’avais de plus en plus envie de tenter l’expérience avec une fille, cela me troublait et m’effrayait en même temps : la certitude d’adorer ça, et la peur aussi de trop aimer ça justement… Inconsciemment, j’avais d’autres réactions au lit, cherchant davantage les préludes, les préliminaires et la sensualité qui, avec Marc, ne répondaient pas vraiment à mes attentes. Il me caressait avec des mains d’homme, et c’étaient un corps et des mains de femmes que mon corps exigeait. Contre cela, il ne pouvait rien faire. "

Sandrine continue de témoigner : Mon mari et moi sommes passés à l’acte. Je ne le remercierai jamais pour sa confiance, mon amour n’a cessé de croître lorsqu’il a compris mes envies, me comprenant et m’acceptant tel que j’étais. C’était pour moi la plus belle preuve d’amour. Avant le jour J, j’ai constaté que mon corps commençait à réagir différemment. Toutes les fibres de ma sensualité étaient en éveil, comme à l’approche d’un fruit défendu. Je ne sais pas ce que c’était, le danger de ce qui m’attendait, l’interdit, le renouveau, mais en tout cas cela avait un effet délicieusement agréable sur ma libido. Mais, en même temps, quelque chose me tracassait. L’idée que Marc se retrouve en retrait lorsque je viendrai à le faire avec une fille me dérangeait, c’est comme si je le mettais volontairement à l’écart, l’excluant alors que je risquais de prendre un plaisir fou avec une autre personne. L’imaginer souffrir, se torturant moralement en s’imaginant ce que je faisais égoïstement dans les bras d’une femme me semblait cruel, et je ne voulais pas qu’il me le reproche un jour. Alors l’évidence s’est imposée. Je tenais à sa présence, qu’il partage avec moi ce moment unique et sans doute merveilleux. Qu’il me voit avec cette fille et, ensuite, lorsque j’en aurai envie, qu’il vienne nous retrouver. Cela me rassurait, l’avoir à mes côtés. Ainsi, nous le ferions ensemble, un lien encore plus fort qui nous rapprocherait, un bonheur partagé.

La magie a opéré dés que je suis entrée dans cette discothèque libertine. La peur de l’inconnu, l’insolite du cadre et des gens, cette ambiance sensuelle, chaude et électrique avec tous ces couples qui flirtaient partout. Déjà, j’étais troublée, et jamais je ne me suis sentie aussi belle, aussi désirable, avec de l’audace dans ma façon de danser, de bouger. Je me sentais femme –avec un grand F – et vivante. Puis une femme ne cessait de me dévorer du regard, elle était belle, indécente et sexy. Déjà, j’étais conquise. Elle est venue s’installer à côté de moi et on a commencé à parler. Mon mari, qui se sentait en trop, est parti au bar.

Lors de ma première expérience, l’autre femme – Eve -
(appelons-la Eve), m’a dit que, bien qu’en couple avec un homme, elle avait toujours été attirée par les femmes et fréquentait uniquement les clubs échangistes pour ce genre d’expérience. Eve m’a présentée une amie, Julie, une blonde de quarante ans, très extravertie et volubile, et drôlement sexy. Je l'avais déjà remarquée sur la piste à danser avec un sex-appeal fascinant. Sensuelle, agile, pas une once de graisse, les membres bardés de muscles solides avec des formes généreuses, une femme qui prenait soin de son corps et le savait, sans aucun doute...

Après avoir fait connaissance, elles m’ont proposées d’aller dans une chambre et de faire plus intimement connaissance. J’étais paralysée par la peur – et l’excitation aussi – et je voulais surtout l’accord de mon mari. Du bar, il a acquiescé de la tête, me donnant ainsi son autorisation.

 Ainsi, je me suis retrouvée sur un lit avec ces deux femmes que je connaissais à peine et, après quelques banalités, elles ont commencé à me toucher le visage et les épaules, cherchant un contact de plus en plus précis. J’étais paralysée par l’appréhension, et mon visage devait exprimer une telle tension

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qu’elles m’ont mises en confiance, me parlant, me rassurant, avec le libre-arbitre de tout arrêter quand je le voulais. J’ai réussi à parler – à croasser plutôt – exprimant mon inquiétude : n’ayant jamais eu de relations homosexuelles, il me paraissait disproportionné de commencer avec deux femmes en même temps ! Julie s’est alors mise en avant, exprimant son désir d’être ma première femme, que son savoir était illimité, son expérience infinie, et que je ne regretterais jamais nos ébats lesbiens. Elle savait se vendre car je n’ai trouvé aucune hésitation à formuler. Alors elle a commencé à me caresser par-dessus les vêtements, lentement… Jusqu’à ce moment-là, tout allait bien. Eve m’a pris la main pour que je me mette à la caresser,

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puis aussi à toucher aussi Julie,

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que je ressente un contact tactile différent, extrêmement sensuel. Ensuite, elle s’est rapprochée pour venir me caresser les seins avec les mains, me poussant peu à peu dans les bras de Julie..

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Puis, cette dernière m’a embrassée. Cela a été le déclic. Le baiser d’une femme est incomparable, elles ont une façon incroyable dont elles ont seules le secret pour donner la chair de poule, c’était renversant et fabuleux.

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Par Nicogarner - Publié dans : Initiation Libertine. - Communauté : les jeunes exhibes
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Vendredi 10 novembre 5 10 /11 /Nov 16:01

 

    Mélanie mène une vie sage et rangée auprès de ses enfants et de son mari, dans une triste routine qui lui semble normale, comme l’exigent ses croyances catholiques et son éducation pieuse. Une nuit, à titre exceptionnel,
elle est invitée à une grande soirée mondaine, fréquentée exclusivement par la communauté libertine, au club La Chrysalide. Mélanie y fera la connaissance de Catherine, militante lesbienne exaltée, qui tombera follement amoureuse d’elle.

Entre femmes

A son tour, Mélanie finira par succomber à cette passion dévorante, une liaison qui ouvrira de nouvelles perspectives dans la vie terne de la jeune femme, lui redonnant goût à une liberté trop vite perdue.

Elle en négligera son rôle d’épouse et de mère, affichant vite un besoin d’indépendance, mais assumant plus lentement son homosexualité, un choix difficile qui ne sera pas sans conséquences…

 

Se tenant par la main, le cortège extravagant, regroupant toutes sortes de personnages hilares et extravagants, continue de courir en riant, longe les interminables couloirs, les coins câlins, l'espace balnéo. De nombreuses personnes s’y baignent déjà, s’éclaboussant avec joie, les invitant à les rejoindre.

Indifférente, la farandole rejoint l’immense piste de danse pour se perdre dans d'autres couloirs.
Mélanie est essoufflée mais, entraînée par la vague humaine, est obligée de suivre. Dans un virage à angle droit la file se déporte, Mélanie lâche prise et
se retrouve éjectée sur le côté. Elle évite de justesse la chute brutale grâce
à Catherine qui la retient. Le temps de se retourner et déjà le cortège a
disparu, les rires se font plus lointains. Elles se retrouvent seules dans une
grande chambre luxueuse, sans trop savoir comment elles ont pu atterrir ici.

- Et bien, charmant programme, toute seule avec
toi dans une chambre !

Mélanie, confuse, ne dit rien.
Elle trouve la situation embarrassante, déplacée même… Catherine, au contraire, semble carrément se satisfaire de la situation.

Mélanie tourne vite la tête pour dissimuler son embarras.

- Bon, on ne va pas s’éterniser ici.

Elle fait mine de quitter la pièce mais Catherine la retient avec fermeté.

- Attends, rien ne presse. Reprenons notre souffle.

Soumise, Mélanie lui obéit. Elle se sent étrangement nerveuse, sensible à la puissante aura sexuelle qui émane de cette femme.

Catherine possède une vitalité sauvage qui semble crépiter de
tous les atomes de son corps, comme une surcharge électrique. Elle se déplace
avec assurance, la guidant d’emblée vers un canapé. Aucune résistance n’est
possible. Tout chez elle est autorité, arrogance aussi, épaules en arrière pour
mettre en évidence ses seins lourds qui oscillent de manière aguichante, et
tête haute. Elle est peu vêtue, moulée dans une robe noire qui souligne toutes
les courbes de son anatomie. Elle est presque indécente, sexy, et Mélanie
constate brusquement avec effroi qu’elle est en train de la déshabiller des
yeux comme un homme le ferait, avec désir. Elle se sent très attirée par cette
femme et cette constatation lui coupe soudain les jambes. Elle vacille, prise
d’un vertige. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive, bouleversée par une
intense émotion qui l’étreint et la fait suffoquer. La tête lui tourne, elle ne
tient pas l’alcool qui fait apparemment mauvais ménage avec son tempérament
trop émotif. On ne l’y reprendra plus. Puis le temps est lourd, une chaleur
étouffante, presque orageuse…Catherine la regarde avec inquiétude, s’arrête à
son tour. Elle est pleine de compassion, aussitôt protectrice. Avec douceur
elle la prend par les épaules pour la soutenir et la fait asseoir sur le canapé.
Mélanie, affaiblie, se laisse faire, ayant du mal à retrouver son souffle.
Catherine pousse un soupir exagéré.

- Il fait trop chaud. On suffoque. Il faut se mettre à l’aise.

Le plus naturellement du monde
elle défait un à un les boutons de sa robe jusqu’au nombril. Elle demeure ainsi,
à demi-nue, sans le moindre complexe. Elle a une poitrine magnifique, lourde et
ferme, d’une blancheur de porcelaine. Mélanie, troublée, baisse vite les yeux.

- Tu devrais en faire autant, tu te sentirais mieux.

Mélanie secoue négativement la
tête.

Catherine n’en tient pas compte.

- Ne fais pas l’idiote. Je vais
t’aider.

Et sans attendre son approbation
lui dénoue la ceinture de sa robe. Le premier réflexe de Mélanie est
d’avancer ses mains pour l’empêcher de continuer, mais Catherine lui saisit les
bras avec fermeté.

- Laisse-toi faire.

Mélanie se crispe, mais laisse retomber lentement ses bras le long du corps, docile… L’autorité de cette femme la laisse sans force, elle se sent encore trop affaiblie pour lui résister.
Catherine écarte d’une main fébrile les pans de sa robe, la tenue de soie
glisse sur des épaules dorées, dévoilant la troublante nudité d’un petit sein
pointu. Elle finit son geste en tremblant brusquement. Les seins sont parfaits,
accrochés hauts, tendres et délicats avec leurs pointes érigées qui ressemblent
à des petits boutons de rose. Ils sont si attirants qu’elle en a des
picotements au bout des doigts. Elle a du mal à ralentir les battements
désordonnés de son cœur, le sang se met à circuler plus vite dans ses veines,
le désir la brûle d’un coup, aussi vite qu’une allumette que l’on gratte pour
en faire jaillir la flamme.

- Tu es vraiment très jolie,
dit-elle d’une voix un peu trop oppressée.

Elle la saisit par la taille et lui demande de se mettre en position tailleur. Mélanie obéit, un petit sourire nerveux sur les lèvres. Cette position lui fait écarter les jambes, ce qui fait
glisser la robe sur ses cuisses, les dévoilant jusqu’à la limite de l’aine.
Vite, elle veut rabattre son habit sur les genoux, mais Catherine arrête son geste en posant doucement sa main sur le bras qui s’est avancé.

- Reste comme ça ! souffle t- elle d’une voix chaude.

Elles restent assises en tailleur
l’une en face de l’autre, si proches que leurs genoux se touchent. Catherine
cède à la tentation, pose une main légère sur une cuisse. Mélanie sursaute
violemment, comme piquée à vif. Catherine n’en comprend pas la signification
et, prudente, retire sa main. Elle préfère lui caresser du bout des doigts le
visage.

- Ne trouves-tu pas cette situation très troublante, dit-elle d’une voix rauque. Nous sommes presque nues, l’une contre l’autre, dans la chambre d’une somptueuse villa qui brûle d’une fièvre érotique avec toutes ces femmes qui font la fête et se draguent ouvertement. C’est si magique… On pourrait nous prendre pour deux lesbiennes qui se cachent pour s’aimer.

Confuse, Mélanie esquisse un pâle sourire en hochant timidement la tête. Catherine continue de caresser avec passion chaque trait du visage, la dévorant des yeux. Elle l’attrape par les cheveux avec douceur et l’attire à elle, approchant son visage du sien.

Elle semble fascinée par la sensualité enfantine des lèvres satinées qui, tout prés, frissonnent, comme une invitation. Catherine ne peut y résister. Elle presse sa bouche contre la sienne. Mélanie gémit, puis se détourne avec brusquerie.

- Je ne peux pas… Mon mari n’est pas loin, je ne l’ai jamais trompé…

Ses pensées sont si désordonnées qu’elle ne sait plus quoi dire.

- N’aie pas peur… la rassure Catherine.

Elle essaie une nouvelle
tentative. Elle lui dépose un baiser sur la joue, glisse dans le cou où là,
malgré elle, Mélanie penche la tête en arrière, comme pour lui faciliter le
passage.

Catherine en profite pour couvrir sa gorge de baisers enfiévrés, s’y
attardant longtemps avant de remonter jusqu’au menton, puis à la bouche.
Nouveau refus. Alors Catherine repart à l’attaque en privilégiant la gorge
mais, cette fois-ci, va ensuite du menton jusqu’au jusqu’au lobe de l’oreille
qu’elle se met à mordiller délicatement, léchant d’une langue aiguë le
pourtour. Mélanie frissonne de plaisir, sans pouvoir se retenir. Sa respiration
s’accélère lorsque Catherine revient lentement à sa bouche, lui taquinant les
lèvres du bout de la langue. Cette fois- ci, elle ne se dérobe plus et, ayant
brusquement du mal à respirer, entrouvre les lèvres. Elle gémit lorsqu’une
langue agile force immédiatement la barrière de ses dents pour explorer
goulûment l’intérieur de sa bouche. Elle accueille le baiser avide avec un
soupir désemparé, répond malgré elle aux sollicitations de la langue qui vient
s’enrouler autour de la sienne dans un contact délicieux.

Une intense excitation la prend
par surprise, un trouble inconnu dont la violence l’émeut et l’effraie à la
fois. Les lèvres qui l’assaillent avec passion sont douces et pleines, la
langue qui la relance a une saveur piquante. Jamais elle n’aurait pensé qu’un
baiser féminin pouvait être aussi électrisant, aussi grisant, comme le plus
enivrant des nectars. Elle se sent fondre de l’intérieur, stupéfaite de ne plus
maîtriser son corps. Elle continue de répondre au baiser, d’abord timidement,
et se met progressivement à respirer de plus en plus fort, inconsciente de se coller
brutalement à sa partenaire, suspendue à son cou, lui caressant la nuque. Leur
baiser s’est accéléré, plus fougueux, plus gourmand, et les fait haleter de
désir. Catherine glisse ses mains sur les épaules, caresse la peau nue, cherche
les seins dont les pointes se dressent aussitôt dans les paumes de ses mains.
Mélanie émet un petit miaulement de surprise, sursaute violemment en
écarquillant les yeux avec égarement. Elle frissonne de la tête aux pieds avec
un râle éperdu tandis que Catherine se penche plus bas, couvrant de nouveau le
cou de baisers intenses, la gorge, avant de lécher à coups de langue affamés la
magnifique poitrine qui s’offre gonflée à elle.

Mélanie pousse un cri stupéfait,
presque animal, et cambre violemment le dos en levant ses seins vers la bouche
experte qui l’embrase toute entière. Elle prononce des paroles sans suite,
gémit, murmure des encouragements et des plaintes, perdant la raison et le
contrôle de son corps. Impitoyable, Catherine continue de sucer et mordiller
délicatement les tétons dressés, saisissant entre ses lèvres les pointes pour
les picorer avec une dextérité inouïe. Mélanie se laisse étendre sur le dos,
entraînant sa compagne dans sa chute, oscille sous elle, noue ses jambes autour de sa taille, l’enserre énergiquement. Elle ne se reconnaît plus, elle qui a
toujours été une personne réfléchie, sage, raisonnable, trop raisonnable…Elle
n’existe plus que pour cette ardeur qui la consume, lui fait faire toutes les
folies, lui permet toutes les audaces. Du corps de sa partenaire irradient des
ondes lascives qui lui communiquent toute sa fièvre, toute sa volupté.

Jamais elle n’aurait pensé qu’une femme puisse être aussi sensuelle et aussi
désirable, la mettant dans tous ses états. Elles s’enlacent étroitement,
roulent l’une sur l’autre. Elles se retrouvent à la même hauteur, et lorsque
Catherine relève le visage pour la regarder, Mélanie la bâillonne de nouveau
avec ses lèvres. Elle est gourmande de baisers, et retient ainsi prisonnière sa
partenaire pour lui éviter d’aller plus loin. Elle n’est pas prête, pas encore.
L’image de son mari vient de la rappeler à l’ordre, c’est un homme bon et
généreux qui ne mérite pas cette odieuse trahison. Elle s’est déjà laisser
aller au flirt, c’est plus que suffisant, son éducation et sa situation lui
interdisent d’aller plus loin. Cette fougue la terrifie, elle n’a jamais connu
ça.

Tout va trop vite, il faut qu’elle se reprenne. Mais cette femme embrasse
divinement bien, et ses caresses, ses caresses… De nouveau, elle est entraînée
par un tourbillon trop impétueux pour lui résister. Sa raison vacille. Le goût
de cette bouche si appétissante qui ne cesse de la relancer attise un désir
encore plus violent. Elle se laisse emporter. Leur baiser dure une éternité et
c’est Catherine qui, hors d’haleine, y met fin la première. Mélanie proteste
avec un petit gémissement de frustration. Elle aurait voulu que cet instant ne
s’arrête jamais. Catherine lui passe les mains dans les cheveux, les caresse,
avant de lui relever la tête. Ses yeux sont brûlants d’une passion dévorante.

- Mélanie, comme tu me plais ! Mon Dieu, comme tu me plais ! Tu es tellement belle !

  Pour votre plaisir et vos fantasmes...

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Par nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : les jeunes exhibes
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Vendredi 10 novembre 5 10 /11 /Nov 16:01

Mélanie, au club libertin La Chrysalide, oublie son mari et ses conviction hétéros dans les bras d'une troublante lesbienne...

 Mélanie est profondément émue, jamais on ne l’a contemplé avec un tel désir, jamais on ne lui a parlé avec une telle extase. Elle aussi se met à la dévisager avec admiration, brusquement
fascinée par cette bouche pulpeuse comme un fruit exotique qui, si prés, est une irrésistible tentation. Jamais elle n’a vu des lèvres aussi délicieusement
charnues, cette bouche lui paraît la plus belle et la plus attirante de toutes.
De nouveau, elle sent son cœur défaillir, son corps s’enflammer, transportée
par cette même sensation inconnue, un mélange de curiosité intense et de fougue
bouillonnante qui lui donne envie d’aller jusqu’au bout. C’est là un élan
spontané et irrationnel contre lequel elle ne peut rien, comme si son corps
avait sa propre vie et ses propres exigences. Sans réfléchir elle se jette dans
les bras de son amie, cherche sa bouche. Leurs lèvres se soudent l’une à
l’autre, fébriles, affamées, se dévorant avec une frénésie qui les fait gémir
fortement. Leurs langues se trouvent aussi vite, entament une folle course
poursuite, se sucent, s’entortillent, s’arrêtèrent un instant pour se lécher
lentement et longuement avant de reprendre leur course effrénée. Pour l’embrasser, Catherine se couche sur elle, plantant un genou entre ses cuisses. Mélanie l’attire sur elle, forçant leur corps à entrer en contact étroit. Elle ouvre
soudain les yeux et, comme revenant à elle, la repousse légèrement pour la
regarder avec intensité.

- Catherine, tu me rends folle !
s’extasie-t-elle d’une petite voix tremblante.

Elle la fixe, grave, affichant une expression presque douloureuse.

Catherine, n’y tenant plus, plonge soudainement sa main dans l’entrejambes de Mélanie qui, sans qu’elle le veuille, écarte d’office les cuisses.

Là, sa chair est encore plus douce, ferme et veloutée, avec des muscles qui se raidissent nerveusement sous la caresse.
Catherine prend un plaisir ineffable à laisser errer ses doigts à l’intérieur,
poussant plus loin son exploration. Elle gémit de bonheur en constatant que sa
petite culotte est déjà trempée.

Sadique, elle y appuie davantage la main, poussant sur le tissu humide qui se colle davantage sur le sexe trempé. Ecartant délicatement le slip tout maculé, elle joint un instant sa bouche sur la toison pubienne avant de plonger dans l’orifice béant. Elle cherche du bout de la langue le clitoris qu’elle constate tout gonflé, dressé, raide et juteux. Elle se met à le titiller sournoisement tandis que son doigt joue toujours à monter et à descendre le long de son gouffre intime.

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Par nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : blog sexe des amis
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