Quand deux policiéres ménent une enquête
explosive et sont contraintes de se faire passer pour deux amantes... Et, pour ne pas griller leur couverture, faire semblant de faire l'amour avec leur principale suspecte... Faire semblant ?
Vraiment ?
Perturbée par cette expérience, Océane s’enfuit comme une voleuse, ne pouvant en voir davantage tellement son trouble est
grand. C’est son fiancé qui va en profiter, elle le réveille au milieu de la nuit pour des ébats torrides où elle ne se reconnaît plus, ardente et réceptive.
Puis, ses désirs assouvis, reste évasive lorsqu’il cherche à comprendre ce qui lui est arrivée. Et, évidemment, le lendemain,
lors d’une ronde tranquille, s’ensuit également un certain malaise avec sa partenaire. Vanessa rompt le silence pesant et crève l’abcès. Pour elle, sa vie privée ne doit jamais influer sur leur
relation. Leur amitié compte énormément pour elle et elle ne supporterait pas l’idée de la perdre. Océane ne doit en aucune façon la juger et la rejeter pour ce qu’elle est. Après un moment de
silence gêné, cette dernière reconnaît que tout cela est nouveau et dérangeant pour elle car la normalité et l’hétérosexualité sont des repères aussi forts que nécessaires pour son équilibre, et
que de son vivant elle s’y accrochera de toute son âme. Ce sont ses croyances et ses certitudes, mais elle promet de faire preuve de souplesse et de tolérance pour la vie privée de son amie
qu’elle accepte donc sans pour autant la comprendre. S’ensuit un débat passionné sur la normalité, et des éclats de rire qui brisent enfin la glace. Dans un excès de jovialité, Océane lui demande
quels sont ses réels sentiments à son égard puisqu’elle connaît maintenant aussi ses penchants lesbiens. Vanessa, après un moment d’hésitation, reconnaît qu’elle la trouve très attirante et
désirable, avec cette innocence plus émoustillante que tout, une innocence qui est un peu comme un fruit défendu auquel elle se délecterait bien jusqu’à plus soif. Alors que Océane devient rouge
comme une pivoine, Vanessa part dans un fou rire incontrôlable en se moquant d’elle, affirmant qu’elle plaisantait et que seule son amitié compte le plus pour elle. Malgré tout, Océane reste
songeuse et troublée, se demandant encore jusqu’à quel point son amie plaisantait. Elle ne peut effacer cette image de Vanessa se masturbant alors qu’elle se déshabillait, un acte qui pose de
nombreuses questions. Etait-ce l’ambiance générale qui l’avait poussé à ce plaisir solitaire ou une réelle attirance ? Une question qu’elle se posera davantage lorsqu’un soir, rejoignant son amie
chez elle comme elles l’avaient prévues la veille, elle surprendra Vanessa en charmante compagnie avec une autre femme, lancée à corps perdu dans des étreintes torrides
où celles-ci utilisent un godemichet pour atteindre des orgasmes encore plus intenses.
A la fois choquée et profondément excitée, Océane reste un moment tétanisée, incapable de bouger, les jambes tremblantes,
assistant pour la première fois de sa vie à un duo lesbien, et voyant aussi pour la première fois un godemichet et toute l’utilité que peuvent en faire deux femmes terriblement passionnées. Un
instant, Vanessa tourne la tête et croise alors le regard d’Océane. C’est un regard bestial, chargé d’un érotisme si violent qu’il en est dérangeant, déstabilisant, déclenchant une forte tension
et une réelle menace pour toute femme ne croyant qu’à l’hétérosexualité. Totalement désemparée, Océane s’enfuit précipitamment, et restera hantée toute la nuit par la puissance sexuelle de cet
acte lesbien, si perturbée qu’elle fera encore l’amour à Julien, prenant les initiatives avec une
frénésie désespérée, comme pour affirmer son hétérosexualité.
Le lendemain, furieuse, elle demande des explications à Vanessa, le pourquoi de cette scène à laquelle elle a assisté malgré
elle alors que son amie savait très bien qu’elle devait venir la rejoindre ce soir même à son domicile. Vanessa prend un air coupable, reconnaissant ses torts, mais que la visite d’une amie
libertine n’était pas prévue au programme et que leur envie l’une de l’autre lui a fait perdre toute prudence, au point d’en oublier leur rendez-vous. L’incident restera clos, elles n’en
reparlerons plus jamais. Et surtout n’en auront guère le loisir car, le soir même, une ronde qu’elles effectuent ensemble tourne au drame alors qu’un voyou, pris de folie par une consommation
abusive d’alcool, sort un pistolet et tire au hasard sur les passants. Les deux femmes interviennent, bloquant la rue avec leur véhicule pour isoler au maximum le tireur fou de la foule. Océane
tente de raisonner le jeune homme, couverte par sa coéquipière qui, cachée à l’avant de la voiture, prend appui sur le capot pour mieux viser sa cible. Quand le voyou est pris d’un rire
hystérique, levant son arme sur Océane, Vanessa est obligée de tirer. Hélas, avant de s’écrouler, le doigt du délinquant reste crispé sur la gâchette, lâchant un coup de feu mortel sur une
innocente qui sortait d’un immeuble. Accusées à tort de bavure et lâchées par les hauts dirigeants de la justice, elles risquent d’être suspendues alors qu’une enquête interne est en cours. Seul
leur chef direct les soutient et, pour les occuper et les maintenir en même temps à l’écart de tout danger, il leur confie la protection d’un comptable apparemment de petite envergure, prêt à
dénoncer quelques patrons obscurs de la pègre. Une mission en apparence tranquille qui va vite tourner au carnage. L’appartement où elles se cachent avec leur témoin est brusquement pris d’assaut
par des tueurs chevronnés qui, les neutralisant assez vite, prennent ensuite l’arme de service d’Océane pour tuer le comptable. Et repartent en prenant garde d’effacer toute trace de leur
passage, libérant à la dernière seconde les deux policières totalement impuissantes. Les voilà donc maintenant accusées de meurtre, traquées par les forces de l’ordre. Elles sollicitent l’aide de
leur patron qui, pieds et mains liés également sous la pression de ses supérieurs, ne peut rien pour elle. Toutefois, il leur précise que cette mission de protection devait être présentée comme
venant de sa propre initiative alors que cela venait d’ordres supérieurs hauts placés. Puis, à son tour, il est assassiné. Hors la loi, les deux femmes-flics n’en continuent pas moins leurs
investigations pour prouver leur innocence, comprenant après l’importance du comptable et les graves conséquences de son témoignage, impliquant les hautes sphères du pouvoir. Il en savait trop et
avait en sa possession des documents extrêmement compromettants, d’où la nécessité de le réduire au silence. Ainsi, elles mettent à jour une énorme affaire de corruption dans les hauts rangs de
la police, remontant jusqu’au préfet mouillé dans une sordide histoire de call-girls de luxe et de prostitution. Un terrible constat qui reflète finalement l’état d’une capitale corrompue,
violente, impitoyable où certaines personnes au pouvoir ignorent la moindre idée de morale, de conscience. Elles vont jeter leur dévolu sur la femme du préfet, directrice d’une multinationale,
qui à ses heures de loisirs s’offre les services des plus belles call-girls. Une aubaine et une opportunité que va saisir Vanessa qui est la personne idéale pour se glisser dans la peau d’une
prostituée de luxe, prête à s’offrir aux envies lesbiennes de Maud Sacheri, la femme du préfet. Un petit sacrifice de sa personne qui la renvoie face à ses propres démons, sans tabou lorsqu’il
s’agit d’assouvir ses appétits sexuels. Mais, ici, ses talents de séductrice vont sauver sa peau et celle de son amie, et servir leur pays, dans l’intérêt général. Quand le sexe sert la bonne
cause, le devoir, Vanessa est plus que jamais motivée, prête à se plier à tous les caprices de Maud. Son plan est de la pièger, se servant d’elle pour avoir ensuite un moyen de pression sur son
mari, le faire chanter pour récupérer tout dossier compromettant sur son implication dans le meurtre du comptable. En cas de refus, les photos de sa femme avec une autre femme, et leurs habitudes
à payer les services de call-girls pour leurs besoins personnels, serait un scandale dont ils ne pourraient se relever. Un mal pour un mal. Evidemment, pour préserver Océane, celle-ci doit rester
à l’écart, se contenter de prendre les photos, avec un petit appareil numérique discret mais performant. Ainsi donc, tout est prévu, un plan sans accroc. Vanessa, à peine arrivée sur les lieux,
une villa somptueuse dans la banlieue sud de Paris, s’absente un instant sous prétexte de faire un brin de toilette. Elle en profite pour aguicher les deux agents de sécurité, les détournant de
leur mission de surveillance pour entrouvrir à l’étage une fenêtre, laissant ainsi à Océane la possibilité d’entrer dans la demeure.
Puis, après, retrouve Maud pour lui dévoiler tous ses talents de libertine, une femme en pleine possession de ses charmes et
de son savoir. Elles se délectent de flirter lorsque Océane se penche sur la balustrade pour prendre
quelques clichés compromettants,
non sans avoir auparavant montré un temps de surprise.
Vanessa prend apparemment son rôle très au sérieux, enflammant la femme du préfet bien plus que de
raison.
Océanee en est si troublée qu’elle perd son sang-froid au moment où les deux femmes montent à l’étage, un moment de panique où
elle se réfugie dans la seule pièce où elle ne sera pas en sécurité : la chambre de Maud ! Une salle de bain atténuante où elle se cache précipitamment
aurait pu la sauver du désastre mais, hélas, en jolie distraite incurable, elle fait tomber un produit de maquillage qui
attire aussitôt l’attention de la femme du préfet. Qu’elle n’est pas la surprise de cette dernière en la découvrant dans sa salle de bain ! Et elle a du mal à retenir sa colère devant les
explications incohérentes et vaseuses d’une jeune femme littéralement affolée et terrifiée qui s’enfonce dans le mensonge. Vanessa intervient, cherchant à sauver comme elle peut les meubles. Elle
explique à Maud que cette jeune femme aussi jolie que maladroite est en vérité sa petite amie et, terriblement jalouse, celle-ci l’a apparemment suivie à son insu jusqu’ici, ignorant alors ses
activités de call-girl. Une explication qui ne satisfait guère la femme du préfet, qui se demande surtout comment cette jeune et jolie écervelée a réussi à tromper la vigilance des hommes de
sécurité pour parvenir jusqu’ici. Aussi, démontrant une perversité sans nom et une imagination débordante, elle les pousse à coucher ensemble puisqu’elles forment d’après leurs dires un vrai
couple de femmes amoureuses ! Les deux femmes-flics se retrouvent ainsi prises à leur propre piège… Océane a réussi malgré toutes ses gaffes à dissimuler l’appareil photo. Leur seule priorité est
maintenant de sortir d’ici saine et sauve. Un exploit difficile à relever alors que la femme du préfet, soupçonneuse, leur tend un piège, affirmant que le moindre refus de leur part les trahirait
et qu’elle se verrait alors dans l’obligation d’avertir ses hommes de main pour des représailles lourds de conséquences ! Une menace qui fait son effet. Vanessa comprend vite qu’elles sont
coincées et doivent donc user de ruse pour se sortir de ce guêpier dans lequel elles se sont enlisées. Evidemment, Océane a compris également mais se refuse à satisfaire les exigences de Maud,
prétextant qu’elle se sent incapable de faire maintenant l’amour avec qui que ce soit, que le désir ne vient pas sur commande, de surcroît devant une tierce personne qu’elle ne connaît pas et qui
pose ses conditions ! Elle n’aime pas qu’on dicte sa conduite, jouant la carte de la fierté outragée ! Vanessa, pour débloquer la situation, prend donc les choses en main, adressant discrètement
à sa partenaire un clin d’œil à la fois complice et rassurant alors qu’elle la pousse vers le lit. Pour la rassurer, elle veut lui faire croire qu’elle maîtrise la situation, mais ce n’est pas
elle qui dirige, un triste constat alors que Maud donne ses ordres et dirige les opérations avec autorité, saisissant Océane par la gorge pour parer toute rébellion.
La femme du préfet est une vraie dominante qui sait imposer ses désirs.
A SUIVRE...
Tu aimes les belles femmes qui n'ont aucun tabou ? Alors elles n'attendent que toi ici :
Derniers Commentaires