Initiation Lesbienne.

Samedi 9 janvier 6 09 /01 /Jan 15:35

97942.jpg    photos-2012_AutoCollage_12_Images.jpg

8954.jpgC'est étrange comme le destin peut vous jouer des tours, vous prendre comme bouc émissaire et s’amuser à chambouler votre vie de façon si cruelle. Tout me souriait, une vie heureuse et sereine, un boulot passionnant, une femme adorable, deux enfants mignons comme tout, et en si peu de temps tout vient de s’écrouler. Assister à ma propre chute sans me battre me semble logique, un juste châtiment, le prix à payer pour des années d’égoïsme, de boulot acharné, de course à la promotion, et tout cela aux dépens de ma vie familiale… C’est avant que j’aurais dû réagir, m’inquiéter ou sentir venir le danger, et tout faire pour que cela n’arrive jamais. Aujourd’hui, il est trop tard, j’ai tout perdu. Je traverse le salon d’un pas chancelant, sur des jambes lourdes qui ont du mal à me guider, comme si elles appartenaient à quelqu’un d’autre. J’ai la désagréable impression d’être une marionnette manipulée par une volonté pleine de bonnes intentions, mais manquant réellement d’expérience dans son art. Je me fais violence pour sortir de cet état végétatif dans lequel je sombre lamentablement, fonçant sur ma télévision d’une démarche un peu plus assurée. Ma décision est prise. Je dois connaître la vérité, même si le mal est déjà fait. Le seul moyen d’en être sûr est de visionner ce foutu film. Là, j’en aurai enfin le coeur net, le triste dénouement d’une sombre histoire. Tant de folies qui me paraissent incompréhensibles, qui ont pris ici des proportions démesurées. C’est ce matin de fin d’été que tout s’achève, et l’appréhension de ce que je vais voir me fait encore hésiter. La vérité me flanque la frousse, je ne peux le nier, mais j’éprouve la sensation encore plus forte et plus insidieuse de satisfaire une curiosité presque malsaine. Je m’installe nerveusement sur mon canapé, gardant d’abord les yeux fixés sur la table basse, là où sont posés un verre et une bouteille de Martini. Un petit remontant dont je vais bien avoir besoin J’évite le papier qui traîne à côté, avec ce message immonde qui vient de me frapper en pleine figure, que je viens de lire il y a deux minutes : « Ta femme m’appartient, elle est à moi maintenant, et en voici la preuve. Signé. Laure.» Pour l’instant, je ne peux me résoudre à regarder l’écran… Je ferme les yeux, retiens mon souffle, rouvre les yeux en levant la tête. Je laisse échapper l’air de mes poumons, avec le sentiment de fondre sur place en affrontant les premières images. Ce n’est pas un camescope numérique, la qualité s’en ressent péniblement. Une image affreuse, des couleurs qui bavent, avec des défauts de granulations et de contrastes dans les scènes sombres qui accentuent le côté glauque et réaliste du film amateur. Je distingue un enchevêtrement de corps nus, de membres entrelacés, de seins et de pubis qui apparaissent dans un flou qui n’a rien d’artistique, et pendant un long moment il m’est impossible de reconnaître qui que ce soit. L’image tremblante se perd d’un coup vers le plafond, puis se fixe sur le papier peint du mur, recule, tremble, laissant deviner une chambre ordinaire. Enfin, l’image s’arrête sur un lit et n’y bouge plus. Un zoom plus précis se fixe sur les personnes qui s’y ébattent joyeusement dans une mélodie de soupirs extasiés. La chevelure blonde de Laure étincelle un instant dans ce mélange de chairs impudiques, mais pas son visage qui reste enfoncé dans la fourche d’une cuisse féminine. En voilà une qui passe du bon temps, mais sa présence n’a rien de surprenant, je m’y attendais. Le décor est maintenant planté. On est là en pleine soirée échangiste, dans un endroit dédié aux plaisirs de la chair, pour de longues nuits de débauche. Ici, les clientes se livrent à toutes sortes de perversions, parodiant quelques cérémonies antiques et obscènes, au cours d’orgies interminables. Les grands lits occupés par des femmes qui gémissent et se tordent les unes sur les autres me donnent raison à cent pour cent. Mon cœur se serre d’angoisse lorsque l’image plonge soudainement au cœur même de l’action, où toutes ces peaux luisantes qui s’emmêlent me font penser à l’étreinte sinueuse des serpents, un fouillis à la fois immonde et voluptueux.


Imaginer Mélanie dedans me procure une excitation si vive et si inadmissible que je la chasse aussitôt. Honteux, je m’accroche à l’espoir de ne pas l’y trouver, mais je n’y crois pas trop. À quoi bon alors ce message et cette cassette qui l’accompagnait ? L’attente me devient insupportable, et je ne peux m’empêcher pendant ce temps de laisser dériver mon esprit en arrière.


Au début, il n’y a que les ténèbres, puis la confusion, avec l’impression de vivre simultanément dans le passé et le présent. Quelques détails se gravent enfin avec une précision redoutable, revenant souvent à cette fois où l’on a croisé Laure dans le couloir de l’immeuble, alors qu’elle venait d’emménager. Elle nous a fait un effet immédiat, et apparemment beaucoup plus à Mélanie, ce que je n’aurais jamais soupçonné.


Laure est une femme qui impressionne, qui en jette, avec un look ravageur qui attire d’emblée les regards, dans le genre gothique, énigmatique et vénéneux. Souvent vêtue de cuir noir ou d’habits aussi sombres, elle dégage un sex-appeal et une sensualité débordante, avec un naturel désarmant. Son beau visage ajoute encore du charme, elle n’a rien à jeter : yeux noirs qui brûlent d’un feu intérieur, grande bouche pulpeuse, nez aquilin, maquillage ténébreux qui accentue son côté sombre et mystérieux. Sa beauté rebelle a réellement du piquant. Avec piercing et tatouage d’un ange sur l’épaule gauche, elle affiche un tempérament de femme libre et anticonformiste. Bref, tout le contraire de Mélanie, qui est plutôt classique, un peu BCBG, timide et discrète en toutes circonstances, et qui ne fera jamais rien pour se démarquer.


Contre toute attente, malgré leurs différences, le courant est très bien passé, un peu trop même… Et moi, stupide et aveugle, je n’ai rien vu, trop préoccupé par ce poste de rédacteur en chef que je souhaitais absolument obtenir, travaillant jour et nuit sans relâche, délaissant complètement ma femme. Certes, notre vie amoureuse n’était déjà pas au beau fixe ces derniers temps, nous étions enlisés dans le triste refrain boulot dodo, mais comment faire autrement lorsque le couple travaille beaucoup trop chacune de son côté, avec très peu de temps libre et de loisirs ? Bon, je n’essaie pas de me trouver des circonstances atténuantes, cela n’excuse pas tout, mais une vie si active ne facilite pas l’intimité ou le dialogue.


J’aurais dû avoir la puce à l’oreille lorsque Mélanie s’est montrée plus indépendante, plus émancipée, subissant l’influence néfaste de la voisine, sans que je m’en rende compte réellement. Et, de même, j’aurais dû avoir plus tôt des soupçons sur les orientations sexuelles de Laure, qui ne recevait que des filles. On peut dire que ça défilait chez elle, des filles de tout genre et toutes nationalités, dont cette immense et sculpturale femme, Daphné, que je n’ai jamais aimée. Elle avait ce petit air moqueur et condescendant qui veut vous rabaisser, celle-là je ne pouvais pas l’encadrer ! Laure, elle, était plus avenante, même si elle me donnait l’impression de se forcer un peu, pour mieux me tromper sans doute, pour que je ne me braque pas contre elle et interdise catégoriquement à Mélanie de la voir.


J’aurais dû également deviner ses intentions rien qu’à sa façon de la regarder, comme si elle voulait la manger à la petite cuiller. Comme j’ai été stupide ! J’ai atteint le sommet de la bêtise humaine en laissant Mélanie seule durant toute une semaine. Je n’avais pas trop le choix, ce foutu séminaire à Toulon m’avait été imposé par le patron, mais j’aurais dû quand même refuser. L’abandonner si longtemps fut la plus grosse erreur de ma vie. Et j’avais tellement confiance, croyant en son amour indéfectible et absolu. Comme je fus naïve aussi ! C’est cette fameuse semaine qu’il s’est passé quelque chose, car elle fut ensuite différente. Oui, plus aucun doute, alors que j’y repense, le changement radical s’est opéré à ce moment-là. Depuis, elle se montre distante, absente, perdue dans ses rêves, délaissant le ménage et ses petites manies domestiques, fuyant ma présence le peu de fois où l’on se voit.


Je ne sais pas ce qui lui est arrivé mais je crois que je vais bientôt le savoir, et certainement le regretter. Je reporte mon attention sur la télé, me concentrant sur les images qui se font plus nettes, dans un plan plus général. Enfin, tout m’apparaît clairement. Aucune trace de Mélanie, et je me sens soulagée, avec l’infime espoir que je me suis inquiétée pour rien. Sur le lit, quatre femmes font l’amour, mais je n'en connais aucune.
Une sonnette retentit et Laure apparait. Elle ondule, splendide, s’étire avec une grâce féline tout en regardant fixement la personne qui filme, une autre femme sans aucun doute. Les yeux de Laure sont des fentes brûlantes, et c’est comme si elle me voyait à travers l’objectif.


Je repousse ce sentiment absurde. Étrangement, elle est habillée d’une robe noire qui la moule étroitement, avec un décolleté plongeant à donner le vertige, et malgré moi je dois reconnaître qu’elle n’a jamais été aussi sexy. Elle détourne les yeux, inspectant les lieux avant de diriger son regard dans la même direction que Daphné, surgissant à son tour dans le couloir. Daphné, la quarantaine, une femme vénéneuse qui venait souvent rendre visite à Laure. Amie ou maîtresse ? Peu importe... Cette dernière se passe souvent la langue sur les lèvres, avec des hochements de tête approbateurs. Elles lorgnent vers la porte d'entrée où retentit pour la seconde fois la sonnette. Puis, ensemble, elles se dirigent enfin vers l'entrée du séjour. Le caméscope suit maladroitement leur progression, faisant en même temps un plan serré. Laure ouvre la porte. Une magnifique silhouette, silencieuse et immobile, s’encadre dans le champ de vision. Je la reconnais tout de suite : Mélanie. Mon cœur ne fait qu’un bond.

— Oh, non…


Je sens monter en moi une panique irraisonnée. Évidemment, je m’en doutais, mais jusqu’au bout j’osais croire le contraire, avec l’entêtement de celui qui refuse la vérité. Cela risque de modifier à jamais ma façon de vivre, de m’obliger à réaliser que l’amour peut engendrer bien des folies et des aberrations, si loin de mes principes et de ce bon sens auquel j’ai toujours cru. Même si ce n’est que justice d’en faire cruellement les frais, j’aimerais avoir une deuxième chance, réparer mes erreurs, tout recommencer à zéro. J’ai envie de crier, de tout arrêter, d’avertir Mélanie, de la mettre en garde et de lui ordonner de s’enfuir le plus loin possible de cet endroit décadent où l’attendent les pires sévices. Je parviens à me maîtriser ; cette réaction est aussi puérile que stupide, je connais le résultat final et mon inquiétude n’y pourra rien changer.


Mélanie, comme inconsciente du danger qui la guette, ne bouge toujours pas. Sa présence a quelque chose d’irréel, de choquant. Elle n’est pas à sa place, elle paraît si fragile, si innocente. Sa beauté ingénue illumine à elle seule l'endroit, et même l’image granuleuse de la vidéo qui se fige sur elle ne peut l’enlaidir. Elle est vêtue de sa tenue favorite lorsqu'elle va jouer au tennis, jupe et chemisier, un ensemble sport qui dénote furieusement ici. Incrédule, elle s'enquiert :
-  Enfin, Laure, tu n'es pas prête ? J'ai réservé pour 15 heure, comme prévu.
Puis, apercevant Daphné et celui ou celle qui filme, demande avec inquiétude :
-  Mais qu'est-ce qui se passe ? Je ne comprends pas...
Laure répond enfin.
-  Changement de plan, ma belle... On peut transpirer ensemble de façon bien plus agréable.
-  Hein ?
Sans ménagement, elle la prend par la main et l'entraîne vers une chambre. Derrière, Daphné referme la porte d'entrée à clef. Sans le savoir, Mélanie est piégée. Elle commence a s'en douter en se retrouvant enfermée dans une chambre avec Laure et Daphné. Mélanie est figée, la respiration haletante,  crispant ses mains sur sa jupe alors que Laure tente de la lui dégrafer. Elle ne réussit qu’à la retenir au dernier moment. Elle s’y accroche, poussant un petit râle de protestation.
-   Laure, non ! Qu'est-ce que tu fais ?


Laure abandonne provisoirement, soupesant les seins de Mélanie par-dessus le chemisier. Elle tente même de glisser ses doigts dessous, mais son geste est retenu – à mon grand soulagement – par ma femme qui lui bloque le poignet. Laure n’insiste pas, enlacée par Daphné qui se colle dans son dos, lui caresse les bras, comme pour lui communiquer son excitation, une excitation qui n’a fait que croître en assistant à ce délicieux spectacle. Maintenant, elles la dévorent du regard, comme deux lionnes se délectant à l’avance d’un mets de choix dont elles vont profiter savamment. Mélanie en reste pétrifiée.


A suivre... Si cette histoire vous plaît, donnez votre avis et le déroulement de l'histoire comme vous aimeriez la lire. Aucun avis grossier ou injurieux ne sera validé. Merci.

Par nicogarner - Publié dans : Initiation Lesbienne. - Communauté : Les récits érotiques
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Mercredi 6 janvier 3 06 /01 /Jan 16:20

Une Casanova au féminin défie toutes les conventions, n'écoutant que son cœur en séduisant et en poursuivant de ses assiduités la belle Justine, sa nouvelle secrétaire, femme mariée et fidéle. Celle-ci, malgré son trouble, ne compte pas se laisser séduire, mais c'est sans compter sur l'obstination de Caroline qui, désemparée, poussée par un formidable instinct sexuel, se jette littéralement dans ses bras pour lui d'éclarer sa flamme...

 

Par nicogarner - Publié dans : Initiation Lesbienne. - Communauté : les jeunes exhibes
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Mardi 5 janvier 2 05 /01 /Jan 16:02

LA VEUVE LUBRIQUE : Lucrèce est une splendide veuve de 40 ans. De la frustration au désir sexuel, en proie à des fantasmes inavoués, elle va jeter son dévolu sur une jeune femme innocente et l’emporter dans une spirale de volupté effrénée.

La veuve Lubrique. dans La Veuve Lubrique. 133537456825

Entre femmes

Entre femmes

Un récit trés chaud et – je l’avoue – un peu pervers car il s’agit là d’une initiation lesbienne qui suit la débauche d’une jeune femme innocente, corrompue par une femme bien plus âgée et expérimentée, l’emportant dans un tourbillon de sturpe et de luxure.

Une aventure beaucoup moins romantique que vous pouvez lire gratuitement, avec photos, sur le site : http://divineinnocente.onlc.fr/12-La-Veuve-lubrique.html

photos 2012 AutoCollage 7 Images 14-copie-1  AVEC PLEIN DE RECITS LESBIENS...

Et d'autres femmes aussi divines mais pas innocentes du tout que tu peux voir ici :

   

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Vendredi 1 janvier 5 01 /01 /Jan 18:00

677Quand deux femmes à la vie ordinaire, mariées, se retrouvent bloquées dans un chateau cathare en compagnie de lesbiennes et de libertines...

Inès, émouvante en femme pure et fragile,    

sera le pion favori de son hôte. Il rivalisera d’ingéniosité pour la séduire, cherchant en même temps à la jeter dans les bras de femmes ou d’hommes qui se disputeront ses faveurs.

 

Claire, quant à elle, sera sacrifiée aux tentatives perverses auxquelles se livrent les joueurs amoraux, et elle y résistera un moment pour mieux y succomber, yeux bandés et ligotée à un lit pour les caprices de deux jolies libertines……

 

8954

Deux femmes ingénues qui connaîtront mille tentations et tourments lascifs, où tous les coups sont permis pour les faire céder aux voluptés les plus effrénées… 

C'est ici :

http://divineinnocente.onlc.fr/39-Le-chateau-des-Tribades.html

 

 

LE CHATEAU DES TRIBADES : Pénétrez dans l'antre de louves affamées au coeur d'intrigues et de rivalités amoureuses. Et dont les ardeurs vont s'enflammer quand des femmes hétéros et innocentes vont se retrouver piégées dans un château perdu au milieu des vignes. Luxe et luxure où le sexe se conjugue à toutes les perversions lesbiennes... Alors, Gabrielle, première invitée, se défoule en attendant avec une servante...

Par nicogarner - Publié dans : Initiation Lesbienne. - Communauté : Les récits érotiques
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Samedi 26 décembre 6 26 /12 /Déc 16:04

    tp7488.jpgQuand deux femmes flics, l'une sage et réservée, l'autre exubérante et libertine, sont obligées de se faire passer pour un couple de lesbiennes pour les besoins de leur enquête... Et contraintes de faire l'amour avec leur principale suspecte qui va leur faire passer un examen de passage trés particulier... Chaud devant...photos 2012 AutoCollage 7 Images 13

 

Vanessa obéit. Elle a compris depuis longtemps qu’elles sont à sa merci et qu’un refus trop catégorique serait signer leur arrêt de mort. Elle cherche donc la bouche de son amie. Celle-ci ne répond pas à son baiser, mais elle demeure les lèvres légèrement entrouvertes et la langue de Vanessa a tôt fait de s’insinuer dans sa bouche. Affolée, Océane détourne le visage en prenant un air dégoûté,

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mais Maud l’oblige à se laisser faire. Penchée sur elles, elle surveille les opérations de prés.

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Rien ne lui échappe. Elle les encourage quand les deux femmes finissent par échanger un baiser qui, d’abord timide et hésitant, se fait plus ardent, plus savoureux, mêlant leurs langues et échangeant leur salive. Océane est totalement passive, comme pétrifiée, à la merci totale des deux femmes. Elle est trop estomaquée pour protester réellement, tétanisée par la surprise et la rapidité avec laquelle les deux femmes entreprennent ensuite de la déshabiller avec une dextérité qui confirme une grande expérience.

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Elles sont en terrain connu alors qu’elle est littéralement dépassée par les événements, aveugle et éperdue en milieu hostile.

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Vanessa tire sur les bretelles de son soutien-gorge pour dénuder ses seins qu’elle prend en bouche.

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Le trouble qui l’envahit est décuplé lorsqu’avec son autre main, elle prend un de ses seins et commence à le malaxer. Océane met quelques instants à reprendre ses esprits et à s’extraire du piège dans lequel elle est tombée. Car, dans cette mésaventure, elle est bien la seule et unique victime. Vanessa, elle, semble y prendre un plaisir aussi vif que sincère. Ses instincts ont pris le dessus, guidés par des désirs bien trop tumultueux pour y résister. Plus de manigance, de plan ou d’échappatoire. Plus de contrôle. Elle est seule face à deux femmes qui sont bien décidées à l’emmener jusqu’au bout de leurs envies, au point de non retour.L’intensité avec laquelle tout se déroule l’effraie si brutalement qu’elle veut protester mais Maud étouffe ses protestations d’un baiser fougueux.

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C’est à peine si elle a conscience que sa partenaire s’est déshabillée, avec une telle hâte que leur bouche est toujours restée souder l’une à l’autre. tp5466.jpg

Dans un état second, elle se retrouve étendue sur le lit, collée à son a amie, peau contre peau, seins contre seins, sexe contre sexe. C’est un contact si doux, si brûlant, une explosion des sens auquel son corps répond avec une telle facilité, qu’elle comprend alors qu’elle est perdue. Perdant toute volonté, elle se laisse guider, livrée corps et âme, avouant sa défaite par des petits cris d’extase qui ne cessent de monter. Elle est leur objet, leur chose, un être éperdu et docile qui s’abandonne dans toute son impudeur. Pendant que toutes les deux se renvoient leurs bonds, s’enflammant et s’excitant de leur peau, de leur odeur,

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Maud s’est déshabillée et enserre sa taille d’un gode-ceinture.

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Lorsque Océane l’aperçoit, retournée sur le dos et prise en sandwich par les deux femmes, elle est trop abasourdie et excitée pour émettre la moindre protestation.

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Le gode appuie sur les lèvres vaginales pour qu’elles s’ouvrent naturellement. Elle sent le gadget s’agiter, sur les grandes lèvres, les petites lèvres, puis s’enfoncer millimètre par millimètre, s’insinuer en elle avec une lenteur exaspérante. Océane accueille le gode avec une voracité insatiable, l’aspirant au plus profond de ses entrailles, poussant des cris qui n’ont plus rien d’humain. Elle se cambre, roule du ventre,

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hurle, emportée par une vague de jouissance qui va l’engloutir avec une violence comme elle n’en a jamais connu. Mais là, avec un sadisme raffiné, Maud s’arrête de bouger, faisant durer le plaisir. Frustrée, Océane tourne la tête et embrasse goulûment Vanessa...photos 2012 AutoCollage 7 Images 13

Histoire intégrale sur mon blog  : http://nicogarner.unblog.fr/category/oceane/

Et le site de référence pour tous les goûts :

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