Histoires Erotiques.

Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 17:52

22-300x166Les aventures de Claire qui, avec l'accord de son mari et suite à un pari stupide, doit se plier aux éxigences de Sandra, lesbienne décadente et manipulatrice. Son gage : Passer une heure à flirter avec elle et résister aux délices de Lesbos...

C’est d’un seul mouvement que nous nous tournons tous vers Laure alors qu’elle se rapproche de la table. Une seule question nous brûle les lèvres, mais personne n’a le courage de la poser. Elle s’écroule sur sa chaise, pousse un gros soupir, finit son verre, faisant durer le plaisir alors qu’on s’agite tous nerveusement, torturé par la même curiosité. Enfin, elle se décide à nous raconter : 

- Pour l’instant, Claire résiste… Nerveuse au début, tremblante comme un animal que l’on méne à l’abattoir, avec ce petit air suppliant qui la rend encore plus désirable, elle s’est malgré tout prêtée au jeu…

La fièvre au corps 2. dans La fiévre au corps. 4-300x166

1-300x166 dans La fiévre au corps.

Alors Sandra lui sort le grand jeu, les caresses qui pleuvent de la tête aux pieds, sensualité à fleur de peau, exploration approfondie et minutieuse, lèchement des orteils, puis de chaque doigt de la main… Le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle met du cœur à l’ouvrage, elle se donne à fond, mais elle n’arrive pas encore à briser ses défenses… Pour l’instant.

- Pour l’instant ?

- Oui, ça commence à évoluer. Et Sandra a tenu parole jusqu’ici. Aucun baiser ne s’échange. Dis donc, Fabrice, ta femme est super affriolante avec sa robe qui descend jusqu’au ventre, comme une vierge qui se fait détrousser ! 8-300x166Qu’est-ce que je disais déjà ? Ah, oui, tout peut bousculer, car Sandra met le paquet, une tornade de sensualité qui ne laisse rien passer, léchant et dévorant chaque millimètre de peau comme si c’était le plus exquis des repas, à savourer lentement, prenant son temps pour mieux s’en délecter.

- Et Claire tient bon ? s’étonne l’une des filles de la piscine.

- Difficilement, j’y viens… Air timide et effarouché, regard de biche effrayée qui se demande ce qu’elle fait ici, Claire a fait ce qu’elle pouvait pour se donner une contenance, genre je ne craquerai pas, les filles c’est pas mon genre…

22-300x166Mais c’est sa façon de respirer qui a commencé à la trahir, forte et saccadée. Surtout quand Sandra s’est occupée de ses seins, les dévorant et les aspirant goulument, trop ravie d’avoir trouvé une zone érogène, car Claire semble très sensible de la poitrine.

6-300x166Puis, paniquée de voir que son corps la trahissait, elle a commencé à gémir doucement, à murmurer des « non non » affolés tout en se tordant en tout sens, les cuisses désespérément serrées, au bord de l’asphyxie. Elle a même voulu faire marche arrière mais Sandra lui a rappelé les règles, qu’elle devait tenir une heure, et cela d’un ton sans appel, comme elle sait si bien le faire, la femme dominante qui sait plier ses partenaires à ses caprices. Alors Claire a cédé à ses exigences, se prête au jeu. A mon avis, elle ne tiendra plus très longtemps… Elle n’est pas loin d’abandonner le combat, c’est ça qui l’effraie. Quand je les ai laissées, Claire s’accrochait malgré tout à sa morale comme une noyée s’accroche à sa bouée, pour ne pas sombrer… Quand Sandra s’approche un peu trop de son entrecuisse, elle la repousse, lui faisant comprendre qu’elle ne s’avoue pas encore vaincue…

10-2-300x166Enfin, on verra bien, suite au prochain épisode. Je prends un peu de force, et retourne voir l’évolution des événements.

Elle a un sacré coup de fourchette, l’impatience lui fait vider son assiette en un temps record. Déjà, elle est repartie. Elle n’est malheureusement pas la seule à quitter la table. Anne, d’un air dégoûté, vient de se lever.

- Vous m’avez coupé l’appétit avec vos plans pervers. C’est dégueulasse ce que vous faîtes !

Je la rattrape alors qu’elle atteint sa voiture, garée avec les autres derrière le local à piscine.

- Attends, Anne. Ne prends pas les choses trop à cœur, c’est un jeu !

- T’appelle ça un jeu ? Pervertir et souiller Claire, qui je te le rappelle est une amie à toutes les deux, surtout à toi. Si c’est là ta façon de manifester ton amitié, et bien bravo, je ne te félicite pas !

- Claire en a accepté les règles, personne ne l’a forcé. J’ai été aussi surprise que toi qu’elle ait cédé aussi vite, mais apparemment elle en avait envie. C’est à elle seule d’assumer maintenant. Je comprends ta déception. Il y’a longtemps que tu t’es entichée d’elle, tu la croyais plus sérieuse, mais il n’en est rien ! Les gens sont ce qu’ils sont, elle n’est pas la sainte que tu t’imaginais. Au moins cela t’a ouvert les yeux, Claire n’était pas une fille pour toi, prends-le du bon côté.

Anne se tourne vers moi. J’ai touché juste. Elle me fixe d’un regard pathétique, les larmes lui rougissent les yeux. Elle ne fait aucun geste pour les retenir, elles roulent le long de ses joues pour s’écraser sur son T-shirt.

- Je la croyais différente, plus…plus pure. Cela me fait mal de la voir faire ça dans ces conditions, et surtout avec cette névrosée de Sandra.

Elle détourne le visage pour pleurer. Elle prend une profonde inspiration, réussissant en partie à se contrôler. Sa voix est chargée de haine lorsqu’elle reprend :

- Sandra utilise le sexe pour se détruire, tu le sais aussi bien que moi… Qu’elle veuille se perdre, ça c’est son problème, mais qu’elle le fasse seule, sans se sentir obligée d’entraîner les autres dans sa chute ! Si Claire a le malheur d’aimer ça, avec elle, je ne sais pas si elle aura le force de s’en remettre. Christelle, tu dois empêcher que cela arrive, il faut que tu interviennes, avant que cela ne soit trop tard ! Je t’en prie, fais-le, pour moi, pour Claire !

Son ton s’est radouci alors qu’elle me supplie de m’en mêler. Je ne peux pas lui refuser cette requête.

- Bon, je vais voir ce que je peux faire, mais je ne te promets rien.

Elle se jette dans mes bras. Un sourire mouillé illumine son triste visage. Je la laisse partir, et regagne la terrasse. Je fonce droit sur Fabrice.

- Allez, suffit les conneries ! On stoppe les dégâts, tu récupères ta femme, et on oublie tout !

Un sourire figé sur ses lèvres, et son teint pâle, me mettent aussitôt en alerte. J’en comprends vite la signification lorsque, de la chambre éclairée d’en haut, des gémissements syncopés se font entendre, suffisamment forts pour parvenir jusqu’à nous, montant et s’enflant dans le silence de la nuit. Ce sont des soupirs féminins très démonstratifs, scandés à un rythme plutôt réguliers, qui s’accélèrent brusquement, et finissent par des cris extasiés. Je reconnais la voix de Claire. J’arrive trop tard, ce que nous confirme tout de suite Laure en se précipitant sur nous, les yeux brillants et le feu aux joues.

- Vous entendez ? Claire a craqué, elle en peut plus, c’est vraiment torride là-haut ! J’ai perdu mon pari, mais ce n’est pas grave, le spectacle en vaut vraiment la peine, c’est hyper chaud ! De toute façon, je n’avais pas l’argent pour payer, et Sandra le savait bien…

- Allez, raconte, ne nous fait pas languir ! rugit l’une des invitées d’un air hilare.

L'histoire compléte ici : http://divineinnocente.onlc.fr/29-La-fievre-au-corps.html

  

Par nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : melany_travesti_soumise
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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 17:51

 

10-300x166 dans La fiévre au corps.Suite des aventures de Claire qui, suite à un pari stupide, doit se plier aux éxigences de Sandra, lesbienne décadente et manipulatrice. Son gage : Passer une heure à flirter avec elle et résister aux délices de Lesbos…

   

- D’accord, j’y viens, j’y viens… Et bien Claire a eu beau se démener comme un diable pour lui résister, elle a commencé à fondre lorsque Sandra a fini par lui ôter son sous-vêtement, bien que Claire s’y accrochait comme si sa vie en dépendait. Mais, totalement nue et frémissante, littéralement offerte, elle ne pouvait plus rien faire lorsque Sandra s’est acharnée sur son petit minou, s’attaquant directement à son clito.

La fiévre au corps 3. dans La fiévre au corps. 83-300x166Au fait, pour info, Claire est totalement épilée et son minou est terriblement sexy comme ça ! Bref, elle a tenté de se contrôler un peu, à serrer les dents et à se tordre pour repousser l’inévitable, genre je suis forte et je ne perdrai pas, mais c’était un combat perdu d’avance ! Car quand elle y’a mis bouchée double, avec sa langue, Claire a fini par craquer, et c’est en criant comme une forcenée qu’elle a eu son premier orgasme ! 10-300x166 dans La fiévre au corps.

 

Il fallait la voir bondir et gémir comme une éperdue, s’accrochant de toutes ses forces aux barreaux du lit ! Ouah, rien que d’y penser ça me donne des frissons partout !… Cela a été en tout cas le déclic, 58-300x166elle s’est retrouvée dans un tel état de surexcitation que, n’y tenant plus, elle s’est laissée enfin embrasser, quémandant le baiser comme une affamée, appelant les caresses par des contorsions et des râles suppliants.

 

19-300x166Dis donc, Fabrice, ta femme raffole des préliminaires, elle n’a jamais été à pareille fête, à croire que c’était pas trop ton truc les préludes ! C’est tout son corps qui vibre et qui brûle, de la lave en fusion !

 

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Là, elle est gâtée, et en redemande la coquine ! Si tu la voyais ! C’est elle qui a déshabillé Sandra, puis elle s’est offerte avec une totale soumission, écartelée sur le lit, nue et docile, se laissant manœuvrer aveuglement. Sandra est aux anges, elle va pouvoir disposer de son corps à sa convenance, et elle va lui faire subir tout ce qui lui passe par la tête ! Et tout le monde sait que ses caprices sexuels sont tout sauf classiques, dans le genre compliqué elle bat tous les records ! Quand j’ai refermé tout doucement la porte, elles étaient parties dans des positions aussi variées qu’acrobatiques, et Claire lui cède vraiment tout, mais alors vraiment tout ! Au point de lui avoir grimpé dessus pour se tordre sur elle comme une possédée, l’embrassant comme une vorace,

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se frottant et se coulant comme si elle voulait s’arracher la peau tellement le désir la tenaille ! Même ma chienne en chaleur ne me colle pas autant !

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Fabrice rit jaune. Il jette de temps en temps un coup d’œil inquiet en direction de la chambre où sa femme et Sandra s’éclatent joyeusement. On instaure un silence respectueux, attentif aux gémissements continus de Claire, soudain entrecoupés d’autres cris plus forts, primitifs, qui explosent en « oui oui » hystérique. C’est au tour de Sandra de prendre du plaisir, et elle l’exprime avec une telle force que l’on en reste bouche-bée. Ou Sandra exagère, ou Claire est très douée !

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Fabrice a les traits tellement tirés que son sourire figé ressemble plus à un rictus effrayant. Il l’a bien cherché, qui sème le vent récolte la tempête ! On fait semblant d’ignorer les bruits d’en haut, les langues se délient, la bonne humeur reprend place. Fabrice ne cherche plus à sauver les apparences. Blême, il est à l’affût du moindre bruit venant de la chambre.

C’est à peine s’il fait attention à Laure qui, toujours excitée, se met à chantonner une mélodie que l’on reconnaît tous :

- » Soixante neuf, année érotique… »

Inutile de nous faire un dessin. En haut, les bruits et les halètements se prolongent, trahissant de folles étreintes, et une santé inépuisable.

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Je me pèle une orange, l’oreille tendue. Les soupirs semblent enfin s’atténuer. Il était temps. Je vais m’adresser à Laure lorsque, soudain, les soupirs recommencent à repartir de plus belle, dans un crescendo régulier, jusqu’à un cri animal, purement sexuel. J’en suis depuis longtemps troublée, même si je feins l’indifférence. Même Anne finit par ne pas rester insensible à l’ambiance chaude, érotique, qui nous colle à la peau. Elle s’est fait une raison…

La température est délicieusement moite. On entend toujours vaguement le bruit de la mer. Toutes les conditions sont présentes pour chanter l’amour, le plaisir. Pour calmer mes nerfs, je décide de piquer une tête dans la piscine. Des copines m’y retrouvent, on effectue ensemble quelques longueurs. On se repose sur le rebord, parlant de choses et d’autres, lorsque Sandra réapparaît, nue et impudique, sans le moindre complexe, et se met à boire au goulot une bouteille d’eau qu’elle vide complètement. Le sexe, ça donne soif. Et cela fait également transpirer. Elle est en nage, le corps ruisselant, les cheveux en bataille. Son visage aux traits durs exprime l’inassouvissement. Une vitalité animale, perverse, imprègne tout son être. Elle ressemble à une harpie crée pour la luxure, fière de son pouvoir, dépourvue de grâce, mais active et infatigable dans la débauche. Par expérience, je sais qu’elle s’approprie toute l’énergie de sa partenaire, absorbant avec une avidité furieuse toutes les sensations voluptueuses de l’amour physique, et je n’ai aucun mal à imaginer dans quel état elle a laissé Claire. Malgré la fraîcheur de l’eau, des bouffées de chaleur me remontent. J’entends nettement Sandra qui s’adresse à Fabrice :

- Et bien, Fabrice, ta femme tient la forme. Un peu longue à démarrer, mais c’est pour mieux faire durer, on ne peut plus l’arrêter ensuite. Elle en veut toujours plus, je suis à court d’idées moi ! Il lui faut quelque chose de plus costaud pour assouvir ses appétits !

Elle disparait quelques minutes, nous laissant dans le mystère. Puis réapparait avec un geste théâtral, toujours aussi nue, sauf le gode-ceinture harnaché autour de sa taille, avec le sexe en latex dressé comme un trophée qu’elle prend à pleine main avec obscénité.

- Voilà qui devrait faire l’affaire. Ce que j’ai de plus gros, celui-là je le réserve pour les grandes occasions ! Allez, que la fête continue ! Sur ce, elle repart retrouver sa nouvelle compagne.

L'histoire compléte ici : http://divineinnocente.onlc.fr/29-La-fievre-au-corps.html

  

Par nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : les jeunes exhibes
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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 17:51

La fiévre au corps 4. dans La fiévre au corps. 30-300x166

 Suite et fin des aventures de Claire, femme mariée, qui perd son pari. Malgré sa détermination à ne pas prendre de plaisir avec sa partenaire, les sens enfiévrés de Claire finissent par la trahir. Un pari qu'elle perd, mais des plaisirs et des voluptés qu'elles gagnent assurément, possédée par une faim irréversible de sexe et de femme.

La fiévre au corps, où l’hétéro va se lâcher dans un feu d’artifice frénétique…

 

Troublée, je sors de l’eau, m’essuyant vite et me rhabillant aussi hâtivement. Mon regard se fige sur Fabrice. Il est blanc comme un cachet d’aspirine, les traits creusés. Il donne l’impression d’avoir pris dix ans d’un coup. Le cri stupéfait qui, telle une exclamation ravie, jaillit brusquement de là-haut, ne ménage en rien sa douleur. Malgré moi, je le prends en pitié. J’imagine très bien les tourments qu’il doit vivre, même s’il en est en partie responsable. A mon avis, il ne s’attendait pas à un tel dénouement, et encore moins à une telle apothéose, et il s’en mord maintenant cruellement les doigts. Je le vois sursauter alors que sa femme pousse d’autres cris extasiés, entrecoupés d’onomatopées stridentes. Je doute fort, à voir l’expression de Fabrice, que sa femme montre la même fougue avec lui. Les cris ne cessent de monter, au rythme du plaisir qui se fait grandissant, et s’achèvent dans un hurlement libérateur. Les grognements rauques de Sandra prennent la suite, vite accompagnes par Claire qui redémarre dans ses incroyables fringales sexuelles. Ces bruits supposent une telle frénésie voluptueuse que je ne peux m’empêcher de mettre des images sur les sons.

Fiévreuse, j’imagine les corps entremêles, collés par la sueur, l’odeur du plaisir, l’ardeur des étreintes, les positions incongrues, l’utilisation multiple du godemichet que Sandra a l’air de si bien manier. Bref, toute la magie de l’amour.

Des images qui prennent corps lorsque Laure réapparait, détaillant ce qu’elle vient de voir. Elle est sous le choc, haletante. Elle en bave presque…

- Bon sang, j’en peux plus, c’est indescriptible ce qui se passe là-haut ! Claire était une vraie bombe à retardement, et elle accumule les orgasmes sans pouvoir se retenir, comme si elle était faite pour ces amours-là ! Je suis persuadée qu’elle ne se reconnait même plus, se demandant ce qui lui arrive ! Incontrôlable et insatiable. La taille du godemichet suffit à peine à la rassasier… Après s’être fait prendre par devant,

La fiévre au corps 4. dans La fiévre au corps. 30-300x166 

c’est d’elle-même qu’elle s’est retournée pour se faire pénétrer par derrière, 73-300x166 dans La fiévre au corps. et elle a tout accepté, l’intrusion anale en option !

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16-300x166Là, je crois bien que c’était une première pour elle, car ses cris de surprise se mêlaient à ses cris de plaisir, une vraie révélation !

Au point après d’en redemander, grimpant sur Sandra pour peser de tout son poids sur le godemichet, comme pour mieux se faire pénétrer, et donnant son rythme comme une diablesse ! Je bois un coup et j’y retourne !

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Je suis prête à m’en aller. Je viens de penser à une fille, une jolie serveuse, avec qui j’ai une grande ouverture. Ce sera une affaire vite conclue, en espérant qu’elle soit de service. De toute façon, vu mon état actuel, il est hors de question que je passe la nuit toute seule. Je suis des yeux Laure qui file ventre à terre pour constater par elle-même ce qui se trame réellement là-haut. Le sentiment de pitié qui m’a effleuré tout à l’heure me saisit de nouveau, Fabrice me fait trop de peine avec son air de chien battu à qui l’on vient de voler son os. Je me décide à intervenir :

- Laure, stop ! Tes commentaires, ça va un moment, mais ça suffit maintenant…J’en connais un qui souffre la martyre, alors ne jette plus de l’huile sur le feu ! Respecte au moins sa douleur.

Elle hésite, puis m’obéit. Elle me tire la langue, dévoilant son percing sur la langue, que je distingue brièvement avant de lui tourner le dos, filant vers ma voiture.

Pour moi aussi la nuit ne fait que commencer…

Si vous avez aimé cette histoire, je vous conseille de lire aussi » La Tentation de L’Ange. » http://divineinnocente.onlc.fr/10-La-tentation-de-lAnge.html

Plonger les lecteurs, comme ses personnages, dans des abîmes de volupté – et démontrer qu’en chacune de nous, divine Femme que nous sommes, qu’une part d’homosexualité est enfouie au plus profond de nous. Et, comme Mélanie dans cette nouvelle érotique, entraînée malgré elle dans un trio lesbien torride, qu’elle avait déjà en elle ces tendances refoulées, tapies comme un désir honteux mais à l’affût de la première opportunité pour surgir comme un diable de sa boite…

Victime de sa vraie nature…

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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 06:01

 34395 Deux amantes perverses tendent un piège à une autre fille, Mélanie, hétéro et naïve, prête à se marier. 
Elles l'attirent dans un traquenard pour la mêler à leurs petits jeux interdits. Et, malgré ses premières réticences, Mélanie va finir par abdiquer, se soumettant à tous leurs caprices, participant activement à une orgie lesbienne et débridée.

 

C'est étrange comme le destin peut vous jouer des tours, vous prendre comme bouc émissaire et s'amuser à chambouler votre vie de façon si cruelle. Tout me
souriait, une vie heureuse et sereine, un boulot passionnant, une fiancée adorable, et en si peu de temps tout vient de s'écrouler.

Assister à ma propre chute sans me battre me semble logique, un juste châtiment, le prix à payer pour des années d'égoïsme, de boulot acharné, de course à la promotion, et tout cela aux dépens de ma vie amoureuse. Anéanti, je me traîne pitoyablement comme une âme en peine, abandonnant toute dignité. Qui s'en préoccupe maintenant ? Ma fiancée ne s’est pas présentée pour le jour qui aurait dû être le plus beau jour de sa vie, l’instant rêvé de toutes femmes : le mariage. Honte et scandale à l’église devant son absence… Et un simple message sur mon portable pour justifier son abandon. «  Désolée, je ne peux pas, c’est au-dessus de mes forces ! »

 

Sans autre explication…

 

Alors, ma fierté, il y’a longtemps que je l’ai laissée au placard.


Je traverse le salon d'un pas chancelant, sur des jambes lourdes qui ont du mal à me guider, comme si elles appartenaient à quelqu'un d'autre. Je me fais violence pour sortir de cet état végétatif dans lequel je sombre lamentablement, fonçant sur mon écran plasma d'une démarche un peu plus assurée. Ma décision est prise. Je dois connaître la vérité, même si le mal est déjà fait. Le seul moyen d'en être sûr est de visionner ce foutu film. Là, j'en aurai enfin le cœur net, le triste dénouement d'une sombre histoire. Tant de folies qui me paraissent incompréhensibles, qui ont pris ici des proportions démesurées. C'est ce matin de fin d'été que tout s'achève, et l'appréhension de ce que je vais voir me fait encore hésiter. La vérité me flanque la frousse, je ne peux le nier, mais j'éprouve la sensation encore plus forte et plus insidieuse de satisfaire une curiosité presque malsaine.

 

" Ne regarde pas, fous le camp d'ici !"

 

Mais au lieu d'écouter cette voix, voilà que je mets le dvd dans le lecteur, mais je suis si nerveux que j’ai du mal à trouver le bon canal. J'y parviens, appuie sur la lecture. Je m'installe nerveusement sur mon canapé, gardant d'abord les yeux fixés sur la table basse, là où sont posés un verre et une bouteille de Martini. Un petit remontant dont je vais bien avoir besoin… J'évite le papier qui traîne à côté, avec ce message immonde qui vient de me frapper en plein figure, que je viens de lire il y'a deux minutes: " Ta fiancée m'appartient, elle est à moi maintenant, et en voici la preuve. Signé,  Laure."


Pour l'instant, je ne peux me résoudre à regarder l'écran.  Je ferme les yeux, retiens mon souffle, rouvre les yeux en levant la tête. Je ne peux m'empêcher pendant ce temps de laisser dériver mon esprit en arrière. Au début, il n'y a que les ténèbres, puis la confusion, avec l'impression de vivre simultanément dans le passé et le présent. 

Quelques détails se gravent enfin avec une précision redoutable, revenant souvent à cette fois où l’on a croisé Laure dans le couloir de l'immeuble, alors qu'elle venait d'emménager. Elle nous a fait un effet immédiat, et apparemment beaucoup plus à Mélanie, ce que je n'aurais jamais soupçonné. Laure est une femme qui impressionne, qui en jette. Blonde, un peu vulgaire, pleine d’assurance, elle a cette énergie et cette décontraction de celles qui sont bien dans leur tête et bien dans leur peau, et à l'aise en toutes circonstances. Elle dégage un sex-apple et une sensualité débordante, avec un naturel désarmant. Pas très belle, non, mais avec un charme fou, elle affiche un tempérament de femme libre et anticonformiste. Bref, tout le contraire de Mélanie, qui est plutôt classique, un peu BCBG, timide et discrète en toutes circonstances, et qui ne fera jamais rien pour se démarquer. Et, contre toute attente, malgré leurs différences, le courant est très bien passé, un peu trop même… Et moi, stupide et aveugle, je n'ai rien vu, trop préoccupé par ce poste de rédacteur en chef que je souhaitais absolument obtenir, travaillant jour et nuit, sans relâche, délaissant complètement ma petite chérie. Certes, notre vie amoureuse n'était déjà pas au beau fixe ces derniers temps, nous étions enlisé dans le triste refrain boulot dodo, mais comment faire autrement lorsque le couple travaille beaucoup trop chacun de son côté, avec très peu de temps libre et de loisirs ? Bon, je n'essaie pas de me trouver des circonstances atténuantes, cela n'excuse pas tout, mais cette vie active ne facilite pas l'intimité ou le dialogue. J'aurais dû avoir la puce à l'oreille lorsque Mélanie s'est montrée plus indépendante, plus émancipée, subissant l'influence néfaste de la voisine, sans que je m'en rende compte réellement. Et, de même, j'aurais dû avoir plus tôt des soupçons sur les orientations sexuelles de Laure, qui ne recevait que des filles. On peut dire que ça défilait chez elle, rien que des filles de tout genre et toutes nationalités, dont cette immense et prédatrice blonde de cinquante ans environ, Daphné, que je n'ai jamais aimée. Elle avait ce petit air moqueur et condescendant qui veut vous rabaisser, celle-là je ne pouvais pas me l'encadrer ! Laure, elle, était plus avenante, même si elle me donnait l'impression de se forcer un peu, pour mieux me tromper sans doute, pour que je ne me braque pas contre elle et interdise catégoriquement Mélanie de la voir. J'aurais dû également deviner ses intentions rien qu'à sa façon de la regarder, comme si elle voulait la manger à la petite cuiller ! Comme j'ai été stupide ! J'ai atteint le sommet de la bêtise humaine en laissant Mélanie enterrer sa vie de jeune fille avec ces deux femmes qui se vantaient de lui préparer une soirée très spéciale. Mais j’avais tellement confiance, croyant en l’amour indéfectible et absolu. Et nous allions nous marier la semaine d’après, la concrétisation de notre bonheur, alors comme aurais-je pu avoir des doutes ? Car c’est cette fameuse nuit qu'il s'est passé quelques chose, car elle fût ensuite différente. Oui, plus aucun doute alors que j'y repense, le changement radical s'est opéré à partir de cet instant là. Depuis, elle s’était montrée distante, absente, perdue dans ses rêves, délaissant le ménage et ses petites manies domestiques, fuyant ma présence le peu de fois où l'on se voit… Et, pire que tout, sans aucun engouement ou motivation pour les derniers détails concernant les préparatifs de notre mariage, comme si cela ne la concernait plus… Je ne sais pas ce qui lui est arrivé cette nuit-là, mais je crois que je vais bientôt le savoir, et certainement le regretter.

 

Je laisse échapper l'air de mes poumons, avec le sentiment de fondre sur place en affrontant les premières images. Cela sent le caméscope numérique, avec une bonne image et des contrastes lumineux. Des images de caméscope qui ont bénéficié d’un montage rapide sur dvd. Si la qualité est bonne, les talents de celui ou celle qui filme le sont beaucoup moins.  La caméra, en tremblant, suit la progression de deux femmes qui montent des escaliers. Elles sont devant, ouvrent une porte, entrent dans une chambre. Le camescope les  suit maladroitement, faisant en même temps un plan serré. Une magnifique silhouette, silencieuse et immobile, s'encadre dans le champ de vision. Je la reconnais tout de suite : Mélanie. Mon cœur ne fait qu'un bond.

 

-       Oh ! Non !

 

Je sens monter en moi une panique irraisonnée. Evidemment, je m'en doutais, mais jusqu'au bout j'osais croire le contraire, avec l'entêtement de celui qui refuse la vérité. Mélanie est là, magnifique, resplendissante dans sa robe de mariée blanche, une robe sirène à taille haute et toute en soie. Comme inconsciente du danger qui la guette, elle ne bouge toujours pas. Sa présence à quelque chose d'irréel, de choquant. Elle n'a pas sa place ici, elle paraît si fragile, si innocente. Sa beauté ingénue illumine à elle seule la chambre, et même l'image granuleuse de la vidéo qui se fige sur elle ne peut l'enlaidir.

 

-         Bon sang, comme tu es belle ! s’écrie Laure.

 

-         Ouais, mais ce sont ses dessous qu’on veut voir ! intervient la voix de Daphné.

 

Mélanie les regarde avec une lueur de défi.

 

-         J’ai perdu mon pari alors je tiendrai parole. Je vais vous montrer ce que j’ai dessous.

 

Elle prend un petit air insolent en se déshabillant mais ses gestes nerveux  trahissent son anxiété. Mélanie a toujours été pudique et je partage son malaise.

 

-         Sois un peu plus sexy ! l’encourage une voix.

 

Mélanie obéit, se forçant à paraitre aguicheuse. Poses suggestives qui ne lui ressemblent pas, mais elle veut faire bonne figure devant ses copines. Au final, elle finit en petite culotte blanche de soie et je devine dessous l'ombre du pubis qui se dessine. Je me surprends encore à admirer la délicatesse de sa gorge offerte, la douceur satinée des épaules nues, la finesse de sa taille élancée, le galbe parfait de ses petits seins. Comme elle est belle et désirable !

 

-         Bon, si on passait à la suite, s’impatiente Laure d’une voix étrangement rauque.

 

-         D’accord, je vais me changer dans l’autre chambre.

 

Elle est à peine sortie que les deux femmes échangent un regard complice.

 

-         Tu as bien planqué les caméras ?

 

-         Oui, à deux endroits différents, avec une bonne vue d’ensemble sur le lit. J’ai tout cadré à la perfection, tu peux me faire confiance.

 

-         J’espère bien, car je compte bien garder un souvenir impérissable de tout ce qui va se passer cette nuit. A mon avis, elle restera dans les annales, notre plan fonctionne à merveille et nous ne sommes pas au bout de nos surprises.

 

-         On verra bien. Viens, elle doit être prête maintenant...

 

Bref coupure, changement d’angle et de décor. Autre chambre et autre tenue. Mélanie a enfilé sa jupe et son tee-shirt de sport, propre à son club de volley-ball. Mélanie joue dans l’équipe de notre ville, en niveau régional. Excellente joueuse, elle est l’élément indispensable de son équipe, la meilleure attaquante. Si d’habitude elle est à l’aise en tenue de sport, elle se montre ici gauche et nerveuse.

 

-         Voilà, je me suis changée ! Mais pourquoi cette tenue ? s’enquiert Mélanie d’une voix timide.

 

-         Parce que tu es terriblement sexy là-dedans ! répond Daphné. Je t’ai vu jouer au volley et je suis restée admirative. Tu es souple, vive, énergique, très endurante, et je me demande si tu as les mêmes talents en sport de chambre.

 

Mélanie a un petit rire nerveux.

 

-         Pour ça, il faut demander à Pierre !

 

Pierre, c’est moi. Un homme anéanti et littéralement paniqué. Et, pire que tout, impuissant. J’assiste à ma propre mise à mort car, même si c’est ma fiancée qui va en faire les frais, les dommages collatéraux seront irrévocables. Pour nous deux. La fin de notre couple…

Ce dont je ne me remettrai jamais. Mélanie, Mélanie… Mon seul et unique amour, la femme de mes rêves, mon ange… Déjà cinq ans que l’on vit ensemble, et j’ai tout gâché en croyant stupidement que notre bonheur était déjà acquis pour l’éternité. En si peu de temps je l’ai perdue alors qu’il m’a fallu plusieurs mois pour la conquérir. Depuis notre rencontre à la plage, fin Juillet, il y’ a six ans de cela, elle m’obsédait jour et nuit, occupant mes pensées avant que j’ai le courage de l’aborder. Je la retrouvai toujours au même endroit, la même calanque, et je restais stupide et paralysé, bouche béante, observant en silence cette jeune femme d’une étonnante beauté qui représentait à mes yeux la grâce la plus émouvante. La tête me tournait à force de la contempler. Oui, son souvenir m’avait réellement hanté, me réduisant à l’état d’amoureux transi. Et plus j’attendais et plus il m’était difficile de l’approcher. Enfin, je fis le premier pas.

Maladroitement, je le reconnais, bafouillant et oubliant la phrase que je pensais spirituelle et que j’avais longuement répétée, mais cela eut au moins le mérite de l’amuser, ce qui me sauva du désastre… On devint amis. Pour attirer son attention, il fallait la faire rire et la surprendre. Mélanie avait fui sa province profonde avec précipitation. Elle étouffait dans un contexte familial ringard et étriqué qui se complaisait dans les conventions petites-bourgeoises de bas-étage, et c’est ainsi qu’elle décida d’affronter seule le monde du travail alors que ses études étaient inachevées. La destination la plus proche et la plus excitante était évidemment Marseille, où elle trouva vite un emploi de secrétaire médical. Elle occupait en location un studio bien trop cher et ses soucis financiers devinrent pour moi une aubaine car je lui proposai vite de cohabiter dans un appartement bien plus grand et bien plus luxueux.

Là, je pensais que les choses seraient plus faciles pour lui dévoiler mes sentiments, mais je me trompais. En effet, il me fallut six mois pour lui faire comprendre que j’attendais plus qu’une simple amitié. D’un naturel timide et réservé, elle était de surcroît ingénue, ne voyant le mal nulle part. Ma première tentative se solda par un échec cuisant, j’eus l’impression que le ciel me tombait dessus et que ma vie s’arrêtait là, brutalement, parce qu’elle ne valait pas d’être vécue sans elle.   Mélanie se révéla donc particulièrement avisée, après trois  mois de confusion et de malaise, à se laisser faire lorsque je pris l’initiative de venir la rejoindre au lit. On passa la nuit ensemble, sans faire l’amour, juste blottis dans les bras l’un de l’autre, cherchant chaleur et réconfort, un ineffable besoin de tendresse et de bien-être. Pour manifester mon amour, je crois plus aux relations platoniques, au respect et à la noblesse d’esprit, à cette complicité qui peut s’instaurer sans le démontrer obligatoirement par le sexe. On peut être bien ensemble sans se sentir obligé de coucher. Issu d’une famille très catholique, j’ai reçu une éducation stricte et austère et, sans approuver tout ce que l’on m’a enseigné, j’en garde des traces profondes qui continuent d’influencer de façon manifeste mon quotidien. Ainsi, après cette nuit magique, ce souvenir me transporta d’un tel bonheur et d’une telle félicité que j’en vins à retourner à l’église pour prier et chanter des louanges. J’étais un homme heureux et comblé. Enfin, presque… Ce qui ternissait un peu notre équilibre, c’est cette incompréhension sexuelle. Mélanie, malgré son jeune âge, était possédée d’un feu intérieur qui dénotait une volupté précoce et une curiosité que j’étais incapable de satisfaire ou d’assouvir. Lorsque nous faisions l’amour, une fois par semaine en moyenne, pas plus parce que je n’en ressentais ni l’envie ni le besoin - cela n’entrait vraiment pas dans mes priorités – il y’ avait en elle une passion et un appétit déroutant. C’était toujours elle qui sollicitait les relations sexuelles, j’y répondais de temps à autre avec plaisir, mais aussi souvent par obligation, un peu comme quelqu’un qui se plie aux corvées conjugales pour avoir une bonne fois pour toute la paix. Le monde à l’envers, alors que dans la plupart des couples l’homme était le plus demandeur. Mais peu importe…   


Aussi, lorsque Mélanie m’en demandait un peu trop, cherchant à m’entraîner dans des ébats trop intenses et prolongés, j’y mettais fin un peu hâtivement, tempérant vite ses ardeurs et l’obligeant à adopter une attitude plus sage. Elle était mon ange, pure et innocente, correspondant à cet idéal féminin que je ne voulais pour rien au monde souiller. Je ne voulais pas la voir autrement, fermant les yeux sur ce qu’elle pouvait être si je cédais à ses envies. Maintenant, je regrette d’être restée hermétique dans ce domaine, c’est sans doute pour cette raison que je viens de la perdre. C’est une jeune femme si jolie, rayonnante de joie et d’innocence, qu’elle illumine chacun des endroits dans lesquels elle se rend, attirant le regard admiratif ou concupiscent des hommes et, plus grave, celui des femmes. Il y’ avait donc danger à la délaisser, je le réalise trop tard en regardant avec horreur les deux femmes qui s'approchent de Mélanie,  gagnées par un trouble si flagrant et palpable que je le sens comme si l'air était chargé d'électricité. Laure semble fiévreuse et impatiente, elle se colle au plus prés de Mélanie, caressant le visage de poupée avec des gestes nerveux. Elle ne cesse de la défier du regard, arrogante et provoquante, creusant les reins pour faire saillir sa poitrine. Mélanie frôle le torticolis en tordant le cou pour fuir les baisers de Daphné qui  se love dans ses bras avec souplesse.

 

-         Si on passait aux choses sérieuses…

 

Mélanie s’essouffle en protestant.

 

-         Attendez, je vous rappelle les règles ! Pas de baisers, c’est trop intime… Et je reste en sous-vêtement. Et cela doit durer une heure, pas plus… Après on arrête tout !

 

-         Sauf si tu le décides autrement…

 

-         Cela ne risque pas. J’ai perdu mon pari et je tiens parole, c’est tout…

 

-         Et nous tiendrons aussi parole. Allez, assez discuté… Allonges-toi sur le lit.


Nerveuse, Mélanie s’exécute, jambes serrées et bras tendus le long du corps. Laure s’étend sur elle et, de souples mouvements du bassin, se coule sur elle comme un serpent qui se tord pour étouffer sa proie. Mélanie reste  imperturbable mais je constate assez vite que Laure s’excite assez vite, se trémoussant de plus belle. C’est alors que je comprends. Cette garce de Daphné attise le désir en caressant son amie, la main plongée entre ses cuisses. Laure est au bord de l’orgasme. Elle s’agrippe à Mélanie comme une noyée à sa bouée, lui saisissant les poignets pour lui écarter les bras. Fébrile, elle cherche la bouche de Mélanie qui la lui refuse avec un petit cri étranglé. Elle promène alors sa langue sur les lèvres closes, perdant le contrôle alors que Daphné ne cesse de la torturer de caresses expertes. Un moment, j’ai l’impression que Laure est enfin anéantie par un orgasme, bouche ouverte et yeux révulsés. Je me dis que c’est pas plus mal. Cela va calmer ses ardeurs. Vain espoir. Daphné interrompt brusquement la caresse, la laissant au contraire sur sa faim. Hors d’elle, Laure se redresse, amenant Mélanie à faire de même.

 

Mélanie, piégée par ces deux lesbiennes en furie, va t-elle céder à leurs assauts effrénés et se perdre dans un trio lesbien débridé ?

 

A vous de partager cet instant unique...

Ou Mélanie perd tout contrôle et se plie sans volonté aux caprices délurés de ses deux partenaires... http://divineinnocente.onlc.fr/10-La-tentation-de-lAnge.html

  

                

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Par nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques.
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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 06:01

34395Deux amantes perverses tendent un piège à une autre fille, Mélanie, hétéro et naïve, prête à se marier. 
Elles l'attirent dans un traquenard pour la mêler à leurs petits jeux interdits. Et, malgré ses premières réticences, Mélanie va finir par abdiquer, se soumettant à tous leurs caprices, participant activement à une orgie lesbienne et débridée.

 

La caméra, en tremblant, suit la progression de deux femmes qui montent des escaliers. Elles sont devant, ouvrent une porte, entrent dans une chambre. Le camescope les  suit maladroitement, faisant en même temps un plan serré.

Une magnifique silhouette, silencieuse et immobile, s'encadre dans le champ de vision. Je la reconnais tout de suite : Mélanie. Mon cœur ne fait qu'un bond.

-         Oh ! Non...

Je sens monter en moi une panique irraisonnée.
Evidemment, je m'en doutais, mais jusqu'au bout j'osais croire le contraire, avec l'entêtement de celui qui refuse la vérité. Mélanie est là, magnifique, resplendissante dans sa robe de mariée blanche, une robe sirène à taille haute et toute en soie. Comme inconsciente du danger qui la guette, elle ne bouge pas.

Sa présence à quelque chose d'irréel, de choquant. Elle n'a pas sa place ici, elle paraît si fragile, si innocente. Sa beauté ingénue illumine à elle seule la chambre, et même l'image granuleuse de la vidéo qui se fige sur elle ne peut l'enlaidir.

-         Bon sang, comme tu es belle ! s’écrie Laure.

-         Ouais, mais ce sont ses dessous qu’on veut voir ! intervient la voix de Daphné.

Mélanie les regarde avec une lueur de défi.

-         J’ai perdu mon pari alors je tiendrai parole. Je vais vous montrer ce que j’ai dessous.

Elle prend un petit air insolent en se déshabillant mais ses gestes nerveux  trahissent son anxiété. Mélanie a toujours été pudique et je partage son malaise.

-         Sois un peu plus sexy ! l’encourage une voix.

Mélanie obéit, se forçant à paraitre aguicheuse.
Poses suggestives qui ne lui ressemblent pas, mais elle veut faire bonne figure devant ses copines. Au final, elle finit en petite culotte blanche de soie et je devine dessous l'ombre du pubis qui se dessine. Je me surprends encore à admirer la délicatesse de sa gorge offerte, la douceur satinée des épaules nues, la finesse de sa taille élancée, le galbe parfait de ses petits seins.
Comme elle est belle et désirable !

-         Bon, si on passait à la suite, s’impatiente Laure d’une voix étrangement rauque.

-         D’accord, je vais me changer dans l’autre chambre.

Elle est à peine sortie que les deux femmes échangent un regard complice.

-         Tu as bien planqué les caméras ?

-         Oui, à deux endroits différents, avec une bonne vue d’ensemble sur le
lit. J’ai tout cadré à la perfection, tu peux me faire confiance.

-         J’espère bien, car je compte bien garder un souvenir impérissable de
tout ce qui va se passer cette nuit. A mon avis, elle restera dans les annales,
notre plan fonctionne à merveille et nous ne sommes pas au bout de nos
surprises.

-         On verra bien. Viens, elle doit être prête maintenant...

Bref coupure, changement d’angle et de décor.

Quelques minutes plus tard...

Elles la dévorent du regard, comme deux lionnes se délectant d’un mets de choix dont elles vont profiter savamment. Mélanie en reste pétrifiée. Laure semble fiévreuse et impatiente, elle se colle au plus prés de Mélanie, caressant le visage de poupée avec des gestes nerveux. Elle ne cesse de la défier du regard, arrogante et provoquante, creusant les reins pour faire saillir sa poitrine. Mélanie frôle le torticolis en tordant le cou pour fuir les baisers de Daphné qui  se love dans ses bras avec souplesse.

-   Si on passait aux choses sérieuses…

Mélanie émet un petit cri étranglé, secouant toujours la tête avec négation.

-   Attendez !

Elle s'interrompt, trop occupée à pousser des gémissements affolés lorsqu'une langue insistante force la barrière de ses dents pour s'emparer de sa bouche. Haletante, le feu aux joues, elle y échappe en détournant la tête. Mais Daphné n'est pas femme à se décourager si facilement. Elle a certainement l'habitude de satisfaire ses envies, surtout lorsqu'elle est possédée par un désir impétueux, livrée à ses instincts  les plus sauvages. Elle sourit, sûre d'elle, un sourire carnassier et primitif.

Je ne peux retenir un frisson d'appréhension devant un tel spectacle. Mélanie ne fait pas le poids, si délicate et vulnérable, une proie trop facile.

Que s'est-il passé pendant ces quelques minutes ?

Et Mélanie, piégée par ces deux lesbiennes en furie, va t-elle céder à leurs assauts effrénés et se perdre dans un trio lesbien débridé ?

 

A vous de partager cet instant unique...

Ou Mélanie perd tout contrôle et se plie sans volonté aux caprices délurés de ses deux partenaires... http://divineinnocente.onlc.fr/10-La-tentation-de-lAnge.html

 

                

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