Mercredi 11 octobre 3 11 /10 /Oct 13:28

49-300x166Quand une femme mariée un peu trop sage se jette dans les bras d’une lesbienne déchaînée. Pour lui tendre un piége. Pour servir d’appât. Un plan presque parfait… Sauf qu’elle n’avait pas prévue d’y prendre goût, trahie par son propre corps et des nouvelles pulsions animales    

Avant, lorsque Nadia joue son rôle à la perfection, entre réticence et hésitation :

photos-2012_19-1024x524

Aprés, lorsque des désirs nouveaux et incontrôlables vont l’emporter dans des étreintes interdites :

photos-2012_010-1024x549

 

  David se renverse en arrière et éclate de rire : 

- Non, c’est pas vrai ! Tu lui as dit que tu étais frigide ?

 

Il rit tellement que la chaise sur laquelle il est assis grince dangereusement.

 

Nadia lui sourit avec malice en répondant :

 

- Oui, et c’est venu comme ça, de but en blanc ! Ecoute, il fallait bien que je trouve quelque chose pour calmer ses ardeurs !

 

- Oui, mais quand même ! C’est là un sacré mensonge, tu devrais avoir honte !

 

- En tout cas, cela a fonctionné. Elle était prête sinon à me sauter dessus comme une lionne affamée.

 

Tout en parlant, elle pose sur la table de la cuisine deux tasses de café, un chocolat chaud, et un panier avec croissants et pains grillés.

 

David hoche la tête avec incompréhension. Il se lève pour terminer de nouer sa cravate dans le reflet du micro-ondes. Lui tournant le dos, il ne cesse pas pour autant de parler :

 

- Ecoute, on en a suffisamment discuté, mais je trouve que tu joues là un jeu dangereux. Et lui dire ensuite que tu es sans doute une lesbienne qui s’ignore ! Là, tu y vas fort ! Si ce n’est pas de la provocation !

 

- Il fallait bien que je réveille son intérêt après cette douche froide ! Je ne dois surtout pas la décourager. Et, quand elle fera son faux pas, je dois en avoir la preuve. La filmer à son insu lorsqu’elle me fera des avances beaucoup trop flagrantes pour ne pas être contestées par qui que ce soit. Surtout par mon père.

 

David se retourne et lui jette un regard glacial.

 

- Tout cela ne te ressemble pas… Cela va à l’encontre de tes principes. Tu es une femme honnête, droite, une incurable romantique, rien à voir avec ce rôle d’allumeuse que tu t’efforces de jouer.

 

- Le destin en a décidé autrement, je n’ai pas le choix.

 

- Tu es une vraie tête de mule alors je ne chercherai plus à te dissuader… Mais ta méthode n’est sans doute pas le meilleur moyen pour la piéger. Je pense qu’il y’ a d’autres solutions…

 

Elle l’observe avec tendresse. Elle le trouve encore plus craquant lorsqu’il prend cet air contrarié. Fraîchement rasé et élégant dans un costume gris anthracite admirablement coupé, David est un bel homme, brun aux yeux marrons clairs, svelte et athlétique. Son fiancé, le père de son enfant. Et, même s’il a sans doute raison, Nadia est décidée à ne pas faire marche arrière. La machine est en route. Jamais elle n’a été si déterminée. Et prête à tout pour parvenir à ses fins, usant de mensonges et de manipulation dans la plus grande immoralité, ce qui allait à l’encontre de son éducation, comme venait si bien le dire David… Peu importe. C’était pour la bonne cause. Sauver son père d’un mariage désastreux et de la ruine. Ce dernier, veuf depuis huit ans, était tombé amoureux de Lucrèce Gallis, rencontré à un vernissage. Jusqu’ici, rien d’anormal… Sauf que son père était le plus éminent et richissime chirurgien esthétique de Paris, et surtout l’homme le plus convoité par toutes sortes de femmes vénales et croqueuses de dot. Un coup de foudre brutal et des projets d’avenir aussi soudain avaient vite éveillés les soupçons de Nadia, toujours aussi prompte à protéger son père et ses intérêts. Ainsi, sans connaître Lucrèce, elle avait fouillé son passé. Deux mariages et deux morts accidentelles des maris. Etrange coïncidences où la veuve éplorée avait à chaque fois hérité de grosses fortunes. De quoi se poser des questions mais pas suffisamment pour remettre en doute la moralité de Lucrèce. Surtout que les morts étaient à chaque fois naturelles, et classées sans suite par la police. Mais, pour Nadia, l’imagination s’était enflammée… Et s’il s’agissait de meurtres déguisés en accidents ? Et si Lucrèce était une mante religieuse qui se débarrassait sournoisement de ses maris milliardaires pour toucher le pactole ? Aussi, en fouinant un peu plus, Nadia avait eu vent du suicide raté d’une de ses meilleures amies, effacée ensuite de son cercle d’amis comme si son acte était suffisamment honteux pour mettre un terme définitif à une amitié vieille de douze ans. Intriguée, Nadia avait suivie la piste de cette mystérieuse amie, pour finalement la rencontrer. Et en rester abasourdie. L’amie en question avait tenté de mettre fin à ses jours par amour. Par amour pour Lucrèce, avec qui elle vivait une passion secrète et tumultueuse depuis six ans, à l’insu de tous. Ainsi, Lucrèce était lesbienne, ou bisexuelle, peu importe… Et une tueuse aussi vénale qu’implacable. Tous ses mariages étaient mensonges et duperies. Pour s’acquérir une partie de leur fortune. Et, de son vivant, Nadia empêcherait cette femme de nuire à son père, l’homme qu’elle chérissait le plus au monde. Devant le refus de l’amie à témoigner ou à comploter contre son ancienne amante, Nadia avait été seule pour faire entendre raison à son père. Un combat perdu d’avance… On ne peut lutter contre les affres d’un amour aveugle. Son père était envoûté, éperdument amoureux de Lucrèce, enchaîné corps et âme. Mais Nadia n’était pas du genre à baisser les bras. Elle sauverait son père contre son gré. Aussi l’idée de piéger Lucrèce était venue naturellement, servir appât, réveiller chez Lucrèce de vieux démons en la séduisant. Et, lorsqu’elle celle-ci ferait le faux pas, tout filmer. Lucrèce n’aurait plus alors le choix. Larguer les amarres en abandonnant ses projets de mariage si elle ne voulait pas que la vidéo la compromettant finisse entre les mains de l’homme sur lequel elle tissait sa toile. Un plan simple et efficace. Cela ne prouverait en rien les meurtres de ses anciens maris, mais dévoilerait au moins au grand jour sa malhonnêteté et tous ses mensonges. Suffisamment pour l’éloigner de son père. Et, qui sait, en la poussant dans ses derniers retranchements en usant de charme pour la rendre folle d’amour, elle réussirait peut-être à la pousser aux confidences, toujours avec la vidéo à l’appui. Un jeu très dangereux, elle en est consciente. S’enfoncer elle aussi dans le mensonge pour prendre cette femme à son propre piège. Franchir certaines barrières dont elle ignore tout.

 

- Ne t’inquiète pas, je resterai prudente. Je l’allume un peu, c’est tout, pour la pousser à la faute…

 

- Qui joue avec le feu… Enfin, j’espère qu’elle est moche, ce qui limite les risques.

 

- Les risques ?

 

- De t’y brûler !

 

- Aucun risque. Belle ou moche comme tu dis, c’est une femme et je n’ai jamais été attirée par les femmes.

 

- Et celle-ci, elle est comment ?

 

- Assez belle, je dois le reconnaître. Grande, sexy, très distinguée. Brune aux formes plantureuses. La classe de la tête aux pieds. Très coquette et narcissique aussi…

 

- Formidable ! Et cela ne t’inquiète pas ? Enfin, cela dévoile une autre facette de ta personnalité.

 

- Ah ? Laquelle ?

 

Le regard de David pétille de malice.

 

- Ce côté sombre de ta personnalité. Sulfureuse et manipulatrice…

 

Il préfère ironiser. Malgré tous ses efforts pour la dissuader de mettre son plan à exécution, et au nombre d’incessantes disputes, il a compris qu’elle ne changerait pas d’avis. C’était chez elle une vraie obsession, son combat, au point d’avoir pris un congé sans solde de deux mois – elle était secrétaire médicale – et s’être inventée une fausse identité, un faux curriculum vitae, pour se faire embaucher dans l’Agence Immobilière de cette Lucrèce Gallis. Cette détermination forcait le respect. Il avait alors compris que la douceur tranquille de Nadia était avant tout l’expression de sa force.

 

Alors, maintenant, autant prendre toute cette affaire à la légère…

 

- Luc, le petit déjeuner est servi ! Dépêches-toi, tu vas être en retard à l’école.

 

C’est Nadia qui vient de crier depuis le seuil de la cuisine.

 

De petits pas dévalent les marches en trombe avant le claquement d’une porte. Inquiète, elle se tourne vers son fiancé.

 

- Il a toujours ses maux d’estomac. Je vais reprendre un rendez-vous, ce n’est pas normal… Son traitement est inefficace.

 

Le téléphone qui sonne à ce moment l’oblige à sortir de la cuisine. David engloutit son café, se lève et remet le bol de chocolat chaud de leur fils dans le micro-onde. Trente secondes, pas plus… A cet instant, Nadia jaillit dans la cuisine, lui intimant d’un geste nerveux à éteindre le micro-onde qui fait trop de bruit. Intrigué, il s’exécute. Il comprend que quelque chose ne va pas. Sa fiancée semble agitée, le portable collé à l’oreille d’une main crispée.

 

- Oui, bien sûr, Madame… Je m’arrangerai pour me libérer… Aucun souci, je serai prête.

 

Puis elle reste sans voix avant de balbutier :

 

- Trois jours ? C’est… c’est long… Oui, bien sûr, je comprends…

 

Elle laisse planer un long silence avant de lâcher dans un soupir :

 

- D’accord. Vous pouvez compter sur moi.

 

Elle éteint son portable puis observe longuement son fiancé qui lui rend son regard, tout aussi perplexe.

 

- Le piège se referme, ça y’ est ! Elle a besoin de mes services pour un déplacement à Chartres, un gros contrat qu’elle veut être la seule à négocier, et qui nécessite apparemment deux à trois jours de présence sur place.

 

Il est aussi inquiet qu’elle est nerveuse et excitée… Oui, c’était cela, la situation semblait l’amuser, une dose de danger aussi excitante qu’inquiétante.

 

- Et bien, ta petite comédie a fait son effet, commente t-il avec dépit. Elle n’a pas tardé à trouver un prétexte bidon pour t’éloigner et se retrouver seule avec toi.

 

- Ne t’inquiète pas, je gère. Dans cette histoire, c’est moi qui tire les ficelles et qui mène la danse.

 

David ne dit rien. Sa fiancée est littéralement inconsciente, ayant la fâcheuse tendance à pécher par excès de confiance. Et il n’est vraiment pas certain qu’elle contrôle aussi bien la situation…

A  SUIVRE ICI... Ou Nadia, évidemment, ne va plus rien contrôler...12-300x166 

 

Par nicogarner - Publié dans : La Veuve Noire. - Communauté : Les femmes poilues
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Divines et Libertines.

Nouveau dossier 7 Images -

BLOG SEXE AMATEUR - HISTOIRES EROTIQUES.

Annuaires de Qualité :

 

 

BC1306DF-C8FF-A227-E476-618B76985A6B_thumb.jpg

7322DFB0-3C3D-BBA4-AD36-04974E6D8F6D_thumb.jpg

 

candaulisme

Le X Culte sur SexTv :

 

   

   

 

Derniers Commentaires

Enflammez votre Imagination :

PHOTOS ET HISTOIRES LIBERTINES :

photos 2012 9

PHOTOS ET AVENTURES LESBIENNES :

photos 2012 AutoCollage 7 Images 15

RECITS EROTIQUES :

sans-titre

Recherche

Teens Perverses.

 

description

description

description

 

Syndication

  • Flux RSS des articles

Live Show Hard

LIVE 18 ANS 2

 

emma_watson_sex.gif

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés