Mardi 7 novembre 2 07 /11 /Nov 19:20

895imagesCETTE LONGUE SAGA EST A LIRE COMME UN VRAI SCENARIO DE FILM X. UNE ACTION EN TEMPS REEL…

 

Paysage de carte postale.

 Une plage de sable fin nichée au bord d’un profond lagon. A l’arrière plan, une montagne escarpée au sommet vallonné, d’un vert luxuriant. Une jeune femme, étendue sur le sable, se relève péniblement. Elle semble perdue, regarde tout autour d’elle d’un air apeuré. Brune, gracile, c’est une superbe femme de vingt cinq ans environ. Elle tente de marcher, titube, puis murmure avec incompréhension :

-  Mon Dieu, qu’est-ce qui m’arrive ?

Ses esprits reviennent, ce qui la met dans un état d’abattement total. Elle fait deux pas en avant lorsqu’un bruit de moteur se rapproche. Livide, elle se retourne. Un petit hors-bord fend la mer d’huile à une vitesse moyenne, contournant les motu qui se dressent au milieu de lagon. Un homme tient les commandes, un européen, en short blanc et chemise à fleurs. Il a un chapeau de brousse sur la tête et, dessous, de larges lunettes de soleil qui lui mangent la moitié du visage. Il manœuvre le bateau d’une seule main et, de l’autre, tient un gros cigare. Derrière lui se trouve un autre homme en slip de bain. Aussi gras qu’imposant, sa peau est brûlée par de méchants coups de soleil, ce qui ne l’empêche pas de rester torse nu. Tous deux longent la côte et l’observent avec attention, comme cherchant quelqu’un ou quelque chose. La femme, d’un coup, se laisse tomber sur le sable, puis se met à avancer à quatre pattes, sur les genoux et les coudes. Une position qui met en valeur sa splendide silhouette. Les fesses hautes, cambrée à la perfection, avec des petits seins agressifs qui pointent sous le maillot, elle est divinement appétissante. Elle va atteindre l’ombre d’un cocotier lorsqu’un cri fuse derrière elle. L’un des hommes l’a repéré. Le pilote enclenche à fond la manette d’accélération. Le moteur rugit, poussé à plein régime. Le bateau s’arrête prés la plage alors qu’un homme bondit déjà par dessus bord. La jeune femme crie et se relève dans un bond maladroit, comme si elle n’avait pas repris le contrôle de tout son corps. La poursuite sous le cocotiers et palmiers ne durent pas longtemps. Elle heurte en plein course l’homme au chapeau de brousse qui jaillit d’un buisson. Le choc est violent, elle retombe sur les fesses. L’homme ricane victorieusement, la toisant avec mépris. Il se penche pour la soulever sans mal, la reposant sur ses pieds. Puis, à peine est-elle debout, il la gifle à trois reprises, lui tenant les poignets d’une seule poigne tandis que l’autre main libre la frappe avec une brutalité inouïe. Elle hurle mais il la baillonne aussitôt. Il lui crache au visage :

-  Alors, ma jolie, on joue les fugueuses ! On peut dire que tu nous a donné du fil à retordre !

Secoué de tremblements, la jeune femme lève sur lui un regard apeuré.

-  Pitié, je ne dirai rien. Bien sûr que tu ne parleras pas ! Son complice, le gros homme rougeaud, apparaît, hors d’haleine. Il s’appuie à un arbre, soufflant comme un phoque.

-  La garce, elle nous a fait courir !

La jeune femme se met à pleurer.

-  Je vous en supplie, je n’ai rien vu ! Je ne parlerai pas… L’homme au chapeau prend un ton menaçant :

-  Ecoute-moi bien, ma petite. On sait très bien ce que tu as vu. Mon collègue et moi-même avons assommé ce fouineur parce qu’il était prêt à découvrir le pot aux roses, et à tout dévoiler ! Et ça, tu vois, il en était hors de question ! Qu’il soit ou pas le fondateur de cet hôtel ne changeait rien au problème, il en savait trop pour rester en vie ! C’est pour cette raison qu’on l’a embarqué inanimé sur notre rafiot et qu’on l’a jeté au large, derrière la barrière de corail, là où personne ne le retrouvera avant bien longtemps, si on le retrouve… Et si cela arrive, tout le monde pensera à un accident, car on a pris soin de laisser son bateau dériver dans le secteur. Voilà un plan parfait, sauf que tu as eu le malheur d’être là au mauvais endroit et au mauvais moment, et cela on ne peut pas se le permettre… Tu comprends j’espère ?

-  Pitié, ne me tuez pas ! Je ne dirai rien, je vous le jure !

-  Evidemment qu’on ne te tuera pas ! Deux disparitions en même temps, cela va attirer les soupçons, surtout que tu travailles dans le même hôtel. On va donc te relâcher. Mais on a avant une petite surprise à te montrer, un petit secret qui restera entre nous…Et qui te clouera définitivement le bec. Tu vois, ma jolie, on aime bien garder un œil sur tous ceux qui travaillent dans l’hôtel, question de mieux les garder sous contrôle au cas où… Tout le monde a ses petites faiblesses et ses petites préférences, et dans le monde du libertinage il nous est très facile de constituer un dossier sur tout le personnel et tous les clients qui s’adonnent librement à leurs excès… Mais toi, tu étais un vrai problème. Fidèle, bosseuse, mystérieuse et inaccessible, tu étais différente, étrangère à ce monde dans lequel tu évolues pourtant… Bref, on commençait à laisser tomber l’affaire, et à se dire aussi que tu ne constituais pas de réel danger pour tenter de te corrompre, jusqu’au jour où le miracle s’est enfin produit. Tu te souviens de ta collègue de boulot, la jolie et gentille Lucie… Tu sais, cette lesbienne de quarante ans qui pourrait être ta mère, une vraie tornade blonde au tempérament de feu… Dans le respect des mœurs libertins, elle n’a jamais tentée de t’entraîner dans son lit, alors qu’elle devait en rêver nuits et jours depuis que tu bosses avec elle comme serveuse. Et là, ô miracle, voilà que tu lui tombes du ciel, et pour atterrir droit dans son lit, en pyjama, un cadeau du Dieu des Libertins en personne ! La jeune femme écarquille les yeux de stupeur.

- Je ne vous crois pas… Je n’aime pas les femmes ! Je suis hétéro… D’ailleurs, je suis fiancée et…

Il la coupe sans ménagement.

-  Je sais, je sais… Mais cela va être difficile à faire croire après la nuit de folie que tu as passé avec la tendre et douce Lucie. Vos ébats sont torrides, particulièrement acrobatiques pour une soit-disant hétéro…

-  Vous êtes un monstre ! Si j’ai fait réellement cette chose horrible dont vous m’accusez, c’est que l’on m’a droguée ! C’est ignoble !

-  Bien essayée ta pirouette, mais tu sais très bien que personne ne t’a drogué. Pas besoin, tu étais consentante et consciente de tes actes. Et ceux qui verront les photos n’auront aucun doute…

-  Des… des photos ?

-  Evidemment. Comme je te l’ai dit auparavant, nous aimons garder le pouvoir sur tous ceux qui gravitent autour de l’hôtel. Pour les réduire au silence si jamais ils nous causent des ennuis. Des cas comme toi. Maintenant, grâce à ces photos, nous avons les moyens de te faire chanter, c’est aussi simple que ça… Le prix à payer pour ton silence. Si tu parles, on diffuse les photos sur les emails de tous tes contacts et tes pages Facebook. Simple mais efficace.

 La jeune femme est abasourdie. Elle secoue la tête avec incrédulité.

-  Je ne vous croie pas… Vous n’oserez pas…

-  Tu veux prendre le risque ? Et à ce que je constate, terminé tes airs de petite vierge effarouchée qui nie en bloc ! La mémoire t’est revenue ?

Evidemment qu’elle se souvient. Son seul dérapage dans toute sa vie. Son visage se fige au fur et à mesure que la scène revient à la surface. Avec de plus en plus de précisions, les détails se mettent à défiler comme dans un film.

Retour au passé, trois mois auparavant.

 Elle prend quelques jours de vacances dans l’hôtel même où elle travaille, avec son amie Lucie. Une semaine de rêve, dans le luxe et l’opulence, la fantaisie et l’audace, où elle se permet des tenues osées qu’elle n’a jamais portées.

 

177 002 Tout autour d’elle, les clients s’adonnent sans complexe au libertinage le plus débridé, une effervescence contagieuse… Elle cède à l’atmosphère fiévreuse, riant, dansant et buvant comme une folle. Puis elle se retrouve dans la chambre de Lucie, un peu gauche et penaude de s’être un peu trop lâchée. Un embarras qui s’accentue quand Lucie, en sous-vêtement, lui offre un bouquet de fleurs,

560.vignette dévoilant peu à peu ses véritable intentions en se montrant de plus en plus caressante et empressée. Etourdie, grisée par l’alcool et la sensualité ambiante, elle cède à la curiosité, se laisse faire… Lorsque les baisers se font trop ardents, elle hésite…

278 Alors Lucie se montre patiente, tendre, attentionnée, faisant monter le désir avec un art consommé. Elle la déshabille habilement, s’arrangeant pour la déconcentrer par des baisers fiévreux et des attouchements subtils, l’amenant sur un chemin de plus en plus dangereux.

 

010Contre toute attente, elle se laisse emporter. Oui, elle se souvient très bien. A la perfection.

Son abandon qui la rend toute molle…

Sa docilité et sa curiosité à se laisser faire…

 

619Son corps qui la trahit… Les baisers langoureux, inteminables… et les caresses qui parcourent tout son corps avec une sensualité infinie, la rendant toute chose, brûlante de désir…

La soumission avec laquelle elle se laisse guider, telle une poupée sans volonté… Puis, surtout, la succession d’orgasmes qui, au lieu de la rassasier, déclenchent d’autres envies…

895 Au point d’en oublier toute retenue, prenant ensuite l’initiative des opérations, bondissant sur sa partenaire comme une chatte déchaînée… Un plaisir comme elle n’en a jamais connu, pour la nuit la plus longue et la plus brûlante de toute sa vie… Une expérience si divine et des souvenirs si délicieux qu’elle se demande même, un court instant, si elle pourrait s’en passer, et que l'alcool n’était sans doute pas le seul responsable de l’état incandescent dans lequel elle s’était livrée aux plaisirs de Lesbos.

815 Honteuse d’avoir de telles pensées, elle baisse la tête, abattue par les remords. Devinant qu’elle a saisi le message, il la lâche. Il assène le coup fatal en sortant de sa poche quelques photos qu’il lui brandit devant le nez. Dessus, on aperçoit les deux femmes dans des étreintes lascives qui ne laissent aucun doute sur leur envie l’une de l’autre.

676.vignetteLa jeune femme ne dit pas un mot. Le teint cireux, elle baisse les yeux, laissant filtrer des larmes qui glissent sur ses joues. Lentement, les épaules lourdes, elle s’éloigne et disparaît dans la végétation luxuriante. Il lui crie alors une dernière fois :

-  On se reverra, ma chérie ! Et ne change rien à tes habitudes ! Silence absolu, et on saura te contacter si on a besoin de toi. Dorénavant, tu nous appartiens corps et âme ! Alors à très bientôt ! Les deux hommes échangent un regard entendu en ricanant doucement. La sonnerie d’un portable oblige l’homme au chapeau à sortir vivement son téléphone. Il répond d’un ton jovial.

-  Oui, patronne, c’est fait. Elle ne parlera pas, vous pouvez me croire… On rentre tout de suite… Un faible signe à son acolyte et tous deux regagnent leur bateau qui, faisant rugir ses moteurs, part à vitesse réduite en direction du large chenal qui traverse la barrière de corail, dans une mer translucide, aux couleurs dégradées, passant du vert au bleu… La mer la plus belle qui soit, celle de l’Océan Pacifique, dans l’archipel des îles Sous-le-Vent.

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Par nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : Les récits érotiques
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