Mardi 14 novembre 2 14 /11 /Nov 06:13

 

Et, continuant de fouiller dans les armoires, je découvre alors avec stupeur un gode-ceinture que j'hésite à saisir tellement cela me remplie d'effroi. Un engin immonde et indécent qui me laisse perplexe. Ce genre de sex-toys dont je connais bien évidemment l'existence mais dont je n'aurai jamais osé graver dans mon esprit, dans le plus extravagant fantasme,  toutes ses méthodes d'utilisation. Un autre monde. Un autre univers dont j'ignore toutes les règles. Du bout des doigts, comme par peur d''être mordue ou infectée par ce truc, je le scrute avec dégoût et une curiosité presque malsaine, finissant par le remettre dans le tiroir.

 

-  Elle te va à ravir ma chérie !

Je sursaute violemment. Je ne l'ai pas entendue approcher, sa tête est presque posée sur mon épaule, et la sentir si proche me rend nerveuse. Je recule d'un pas sur le côté, me retournant pour lui faire face. Je m'efforce d'ignorer tout ce que dévoile la nuisette que je porte, mes longues jambes hâlées, la gorge nue et la naissance de mes seins généreux qui pointent agressivement sous le satin.

Elle me toise avec curiosité, l'air amusé.

Et moi je prends toute l'ampleur de ce que ma tenue peut avoir de provocant et d'aguicheur. Elle risque de se méprendre sur mes intentions. J'en suis mortifiée. Le rouge me monte aux joues. Tandis qu'elle m'observe avec un intérêt accru, les yeux brillants, comme guettant ma réaction. La situation est horriblement gênante. Je me trouve gauche, plantée stupidement comme un piquet en plein milieu de sa chambre.

Le fait de se savoir observée, exposée à son regard concupiscent, me trouble follement. Malgré la distance qui nous sépare, je peux sentir sur moi son regard brûlant, empreint d’un violent désir.

 Timidement, j'ose lever les yeux  à la recherche de son regard que je croise longuement : il est fiévreux et avide. 

D'un pas elle s'approche.

Je me fige. Repliée sur moi-même, avec cette désagréable impression que mon sang se vide de mon visage.

Elle s'approche plus près, à me toucher.

Je cesse de respirer, comme tétanisée, paralysée.

Avec toutefois un sursaut de révolte lorsqu'elle tend une main vers ma joue.

Bon sang ! A quoi je joue ? Je ne vais tout de même pas me laisser séduire par une femme et m'aventurer dans une relation extra-conjugale avec cette même femme !

Le visage livide, prise de remords, je recule à l'aveugle mais elle me saisit fermement par les épaules, sans cesser de me fixer du regard.

Elle est beaucoup plus grande que moi. Sa force est si énergique. Je me sens si petite, fragile, vulnérable, que je pousse malgré moi une plainte apeurée.

Titubante, je ne fais que reculer, mais elle m'accompagne. Tout cela me dépasse. J'en reste sans voix. Ivre de désir, elle réussit à me serrer contre elle et, avec la même fougue, elle se met à onduler fébrilement en nouant ses bras autour de mon visage. Aucune parole n'a été échangé depuis. Comme par peur de briser le charme. Une atmosphère lourde et électrique. Vibrante et érotique.

Le poids de son corps me maintient plaquée contre l'armoire. Une main relève le bas de la nuisette, alors que sa bouche cherche la mienne. Je fuis le contact en tournant la tête mais ses lèvres ne lâchent pas les miennes, me provoquant et me relançant avec application, me faisant goûter à la douceur des ses lèvres qui sont chaudes et fruitées, gonflées de désir. Un délicieux contact qui me rend toute molle. Vite, je cesse de me battre. Elle en profite pour forçer de sa langue le barrage de mes dents. Je crois que si elle avait proposé quoi que ce soit –que l’on se déshabille, s’allonge ou aille vers une autre pièce– j’aurais réussi à lui échapper. Mais au lieu de cela, elle a écarté mes cuisses d’un mouvement de genou et elle s’est emparée de moi. Sa main droite m’a agrippée comme une pince. Son baiser s'est fait plus vorace, bestial. Ce qui m'effraie et m'oblige à la repousser. Je dois échapper à son emprise. En voulant la fuir à reculons, je perds tout sens de l'orientation et bute sur le lit. Déséquilibrée, je pars en arrière, m'écroulant sur le lit, une aubaine pour Rachel qui pousse un petit rire victorieux en me coinçant sous elle.  Une telle frénésie se dégage dans son
empressement de me faire fléchir sous son corps soudainement actif et souple que je ne peux que protester par de petits gémissements, sans  montrer toutefois de véritable rébellion. Je suis trop abasourdie, terrassée par un foisonnement d’émotions qui me laisse sans force.

Rachel en profite pour me harceler de baisers affamés, sans lâcher prise. Elle m’étreint avec tant d’ardeur que la nuisette glisse et s’écarte, dévoilant mes seins. Cette découverte excite prodigieusement Rachel qui se dépêche de faire passer la tenue au-dessus de ma tête avec une facilité déconcertante. Et c'est ainsi que je me retrouve nue dans ses bras, frémissante de la tête aux pieds, perdue et apeurée. 

Elle pèse sur mes épaules et m'étend sur le lit, cherchant ma bouche tout en se frottant contre moi.

Ses doigts survolent ma peau avec une légèreté affolante, puis ses caresses se font plus précises, centrées sur mes mamelons. Je lâche un petit cri lorsqu’elle pince légèrement un bout sensible puis je gémis de surprise lorsqu’elle atténue la sensation en le léchant doucement. Sa main droite empaume mon sein gauche tandis que sa bouche se délecte de mon mamelon droit. C'est délicieux et insoutenable. Mes jambes sont agitées de mouvements incontrôlés, comme si je voulais échapper à cette délicieuse torture.

 

 

Je ne dis proteste plus. Silencieuse et docile. En sachant très bien que ma faiblesse passe pour un consentement tacite

 

Rachel aspire maintenant goulûment mon mamelon, sa langue jouant avec ma pointe granuleuse. Sa bouche déguste mon sein avec passion et dévotion. Je trouve dans ses gestes un mélange de sensualité et d’ardeur que seule une femme peut prodiguer à une autre femme, avec un art inné.
De petits cris s’échappent de ma bouche entrouverte, mais bientôt je ne peux plus retenir mon plaisir. Un plaisir diffus et intense qui me laisse au bord de l'orgasme, sans le libérer. J'en râle de frustration.

Enfin, sa main libère mon sein pour se glisser lentement entre mes cuisses. Malgré mon envie d'être soulagée de cette tension érotique qui me possède, un sursaut de révolte me sort de cette traître euphorie, comme si je m'éveillai d'un rêve érotique. Je prends peur. Effrayée d'atteindre le point de non-retour, celui où je vais me disloquer et me déchaîner dans des plaisirs jamais atteints. Libérant le démon de la luxure. Réveillant la bête.

J'emprisonne un instant sa main en la bloquant avec mes muscles, resserrant mes cuisses, mais elle m'ordonne de me laisser faire, d'une voix cassée et sifflante par l'excitation.

Rachel confie.

Jamais je ne me suis retrouvée dans un tel état, au bord de l’asphyxie, au bord de la folie. A son refus d'aller plus loin j'insiste :
– Pourquoi ? Pourquoi ? Laisse toi aller…
– Non, je ne peux pas, … c’est trop fort,  je… j'ai peur, je sens que je ne vais plus rien contrôler, bredouille-t-elle
– Ne contrôle rien, laisse toi dévaster par le plaisir, laisse toi guider par ta nature...

Je la contemple un moment, coincée sous moi, prisonnière de mes bras et mes jambes qui l'enserrent. Je la vois allongée sur ce grand lit de style et aux draps de soie mauve et blanc, les jambes entrouvertes, offerte, rose de honte et de plaisir, les seins oppressés et le ventre haletant, les tétons érigés, menton et bouche tremblantes, ses lèvres fines gonflées et gorgées d'un désir inassouvi, les cheveux en bataille. Une lueur sauvage et fascinante se reflète dans ses yeux clairs. La femme qu’elle j'y voie est grâce, volupté, tentation, au bord du précipice, se débattant encore dans sa morale alors que que les affres d'un plaisir violent émerge à la surface.

Je suis prête à tout pour la faire basculer du côté du péché.

Malgré ses faibles protestations, je fais glisser un doigt à l'orée de son sexe, découvrant avec stupeur une vallée lisse et brillante. Ma bouche relâche son téton. Les yeux fous de désir, je cherche à lire sa défaite dans son regard.

    — Je vais te rendre tellement heureuse ma chérie ! lui dis-je d'une voix rauque.

Elle crispe vainement ses doigts dans ma chevelure pour retenir ma tête qui s'enfonce vers son entrejambe. Mais c'est trop tard.

A SUIVRE.

http://divineinnocente.onlc.fr/75-Le-Reveil-de-la-Bete.html

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Par Nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : les jeunes exhibes
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