Dimanche 14 mai 7 14 /05 /Mai 17:09

Quand une femme de 50 ans, lesbienne et frustrée, cesse de fantasmer sur sa jeune et jolie niéce, déterminée à passer aux actes... La confrontation est intense et lascive...

Il parait que la nuit porte conseil, mais c'est faux : je n'ai presque pas dormi, les images de ma niéce me faisant l'amour comme une folle revenant sans cesse dans mon esprit. Au matin, je suis dans un sale état, je me sens nauséeuse et j'ai l'impression de me détester. Comment ai-je pu laisser la situation dégénérer ainsi ? Je suis la tante de Juliette, et j'aurais du m'arrêter à temps avant de lui sauter dessus ainsi. Mais je ne l'ai pas fait. Parce que ce qu'elle m'a toujours plue. Et que j'en avais assez de me masturber en pensant à elle, à fantasmer, à me faire mal. Alors je suis passée à l'acte, la brusquant au début comme une chienne en chaleur qui ne se côntrôle plus, ce qui était le cas. Et finissant par la plier à mes désirs tellement mon excitation était contagieuse. Je ressens encore sa petite vulve enflammée qui coulait quand je la léchais, son odeur...
Je cherche à reprendre mes esprits, tentant vainement d'échapper à toutes ces images obsédantes. C'est l'été et ma niéce est en vacance, passant le plus clair de son temps chez ses amies ou chez nous. Je ne dois donc pas compter sur la fac et les cours pour échapper à son regard fuyant et coupable.
Je me lève et me dirige vers la salle de bain. La porte de la chambre de Juliette est fermée, généralement, cela signifie qu'elle dort encore. Tant mieux… Je prends une bonne douche pour oublier tous mes soucis, puis décide d'aller prendre un copieux petit-déjeuner, n'ayant pas dîné la veille. Mon amie est là -celle avec qui je vis depuis vingt-deux ans-  et en la voyant, je sens un poids dans ma poitrine : une autre femme m'a fait l'amour comme jamais, une fille de vingt ans plus jeune, de ma propre famille. Est-ce ignoble ? Je connais la réponse et je ne suis pas dans mon assiette. Inutile de souffrir davantage et se débattre dans une vaine morale...
Lorsque Juliette se lève, nous nous ignorons, aussi mal à l'aise l'une que l'autre. Pas une seule fois durant la journée, elle ne cherche à m'adresser la parole. À vrai dire, elle reste cloitrée dans sa chambre. Ressent-elle aussi de la culpabilité, ou de la peur ? Peut-être devrais-je aller voir si elle va bien… Mais je n'ose pas : la peur d'affronter la vérité. De la lâcheté... Comme je fus lâche d'user aussi d'un aphrodisiaque hyper puissant pour parvenir à mes fins. Il y'a trois jours, le patron du sex-shop m'avait prévenu sur les bienfaits de ce produit, un stimulant sexuel sous forme de liquide, spécialement conçu pour donner endurance, puissance et énergie, tout en augmentant la libido de façon incroyable. Avec ça, m'avait-il dit, votre petite amie va vous sauter dessus comme une affamée et vous dévorer toute crûe toute la nuit ! Sauf qu'il ignorait que j'avais de mauvaises intentions en droguant et excitant ma propre nièce, une jeune femme innocente et hétéro qui avait sans doute d'autres projets que coucher avec sa tante ! Et je l'utilisais le soir même, profitant de l'absence de ma amie qui, comme chaque jeudi, part en déplacement pour ses tournois
 de basket-ball. Je vidais littéralement tout le flacon dans son verre, avant de trinquer avec elle

Trop impatiente de passer à l'acte, je brûlais les étapes en montrant tout de suite un comportement audacieux et entreprenant, dévoilant mes intentions en me penchant sur elle avec des gestes beaucoup

trop caressants et directs.

- Tata, mais que fais-tu ? m'a t-elle demandé en jetant sur moi un regard stupéfait.

Trop tard, j'étais collée à elle, m'excitant de son odeur, la touchant partout où je pouvais, la déshabillant des mains et de la bouche, avec des gestes fébriles et impatients qui trahissaient un état incontrôlable. Jamais je n'ai eu une telle envie de faire l'amour. Une envie pressante. Furieuse. Animale.

Sourde à ses protestations, je la dénudais à moitié, les mains balladeuses et le corps tremblant. Ma respiration sifflante couvrait ses petits râles de surprise et ses soupirs indignés. J'étais hors de moi, une jument en rut qui obéit à ses pulsions primitives...

Lorsque je lui ai saisi les seins entre mes lèvres, les dévorant comme une goulue, passant de l'un à l'autre pour titiller les petits bouts qui se durcissaient sous ma langue, elle commencait à mollir, à faiblir,

à ne plus protester.

Effet de l'aphrodisiaque ou une réelle envie de se laisser faire ? Je ne savais pas et je m'en moquais littéralement. Tout ce que je savais, et qui m'excitait prodigieusement, c'était ce moment où elle s'abandonnait peu à peu, baissait la garde, abandonnait les armes, éperdue et frémissante comme une biche aux abois... Pour accélérer ma victoire, j'ai pris possession de sa bouche, me frottant à elle, cherchant sa langue, la trouvant, m'y nouant dans un ballet endiablé. Puis, chose incroyable, elle a répondu à mon baiser.

Timide. Hésitant. Maladroit. Son premier baiser lesbien qu'elle redoutait certainement, où elle n'osait pas se lâcher... Mais je suis une vraie experte dans l'art du baiser et je ne tolére pas la docilité. Je l'obligeais donc à me caresser les seins, accompagnant moi-même ses gestes, la sortant de sa torpeur, me collant à elle comme si nous ne faisions qu'une. Et tout en continuant de lui dévorer la bouche, aspirant son souffle et son énergie comme une vampire, la relançant de spirales infernales. Alors, tout en l'affolant de baisers langoureux et passionnés, j'arrivais à la déshabiller en même temps, ne restant jamais inactive, maintenant le désir à son apogée.

Son corps parfait apparait. De gros obus, fiers et pointant vers moi, rebondissent mollement sur sa poitrine. Son ventre et sa ligne mince la rendent encore plus désirable.

Ses jambes parfaites sous son collant dont je me suis débarrassée prestement, usant de la même dextérité pour me dévêtir en même temps.

J'avais ma proie sous contrôle et comptait bien lui offrir sa nuit la plus torride de toute son existence... L'initier à des amours lesbiens dont elle ne pourrait plus se passer...

A  SUIVRE...

UN AMOUR DE TANTE : Une attirance impossible entre Ingrid, étudiante studieuse et romantique, aussi sage que timide, et sa tante Julie, adepte du libertinage, qui ne résistera pas longtemps à la tentation de séduire et pervertir la propre fille de sa sœur. Possédée d’une passion aussi dévorante qu’interdite, elle va emporter Ingrid sur des chemins hors norme. http://divineinnocente.onlc.fr/32-Un-amour-de-Tante.html

 Tu aimes les femmes qui aiment se dévoiler sans tabou ? Elles t'attendent toutes ici :

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Par nicogarner - Publié dans : Un amour de Tante.
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