Dimanche 14 mai 7 14 /05 /Mai 17:11

Quand une femme de 50 ans cesse de fantasmer sur sa jeune et jolie nèce pour passer à l'acte, la confrontation est intense et lascive...

Juliette prit les initiatives en enjambant ma tête. Elle n'en peut plus, haletante et transpirante, le feu au corps. J’avais son sexe presque contre ma bouche et je réalisais à cet instant que, si nous allions toutes les deux plus loin, nous brisions tous les interdits. Deux femmes ensemble. Une jeune nièce et sa vieille tante. Plus de tabou et de morale si je franchissais cette frontière. Tant pis. J'étais trop excitée pour faire marche-arriére. Alors je me mis à lècher son abricot.

Il était délicieux, juteux à souhait, lubrifié d’une mouille dont je raffolais et qui me remplissait la bouche. Et elle ne cessait de couler la coquine, une vraie fontaine intarissable, comme les digues d'un barrage qui cédaient, lui autorisant les plaisirs les plus extrêmes. Avec une femme. Sa tante.

Ce fût le déclic. Le mal était fait. Elle me ramena sur elle et m'embrassa avec une fougue incroyable, sans plus aucune retenue. Avec la passion et l'abandon de celle qui se sait perdue et reconnait sa défaite.

 

Elle m'a attrapée par les hanches, et nous avons commençé à bouger ensemble. Nos gémissements de plaisir résonnaient bruyamment dans le salon. Je ressensais des sensations que je n'avais plus ressentie avec mon amie depuis bien longtemps : l'excitation nouvelle, la jeunesse de ma partenaire, la fougue de cette dernière, le fruit défendu… J'avais l'impression de revivre sexuellement une seconde vie !
Juliette s'agitait sur moi avec la souplesse de la jeunesse et sautillait sur mon sexe, mes seins, cherchant le contact le plus étroit, comme si nos chairs pouvaient se mêler, s'embraser et se fondre dans le même moule. C'était délicieux et intolérable.

Moi, je suivais ses mouvements avant de la faire pivoter comme une crêpe, la positionnant tête-bêche. Et nous nous sommes perdus et damnés dans le 69 le plus torride de toute ma vie de lesbienne, l'expérience la plus fabuleuse et excessive, où nous n'arrivions plus à nous lasser l'une de l'autre...

Je fis l'amour comme une démente, je fis l'amour comme si ce n'était pas ma niéce. Ce n'était plus la fille de ma soeur, mais une femme, avec laquelle je voulais passer du bon temps, du très bon temps ! Je n'étais plus moi-même : je l'aimais avec joie et fougue, lui mangeais régulièrement ses fesses, sa raie, lui dévorais son vagin trempé et posais en même temps un doigt sur l'autre trou, plus petit, l'anus, où je m'enfoncais sans mal.

 Ma niéce se mit alors à crier, hurler de plaisir, et elle me supplait de la défoncer plus rapidement, plus profondément. Je ne me fis pas prier, léchant tout ce que ma bouche pouvait occuper et caressant avec mes doigts ce que je ne pouvais pas laper. Elle eut plusieurs orgasmes d'une violence inouie, se lâchant par de longs jets de cyprine qui m'inondérent vite le visage. Et, sans cesser de jouir, me rendait la pareille, comme une éléve surdouée qui se régale de ses aptitudes.

Au point de prendre des initiatives qui m'enchantaient, variant les positions et m'emportant dans des plaisirs inédits, bien plus nombreux et intenses que ce que je connaissais jusqu'alors avec mon amie officielle.

Alors, hors de souffle, ayant du mal à suivre la cadence qu'elle m'imposait, il me fallait un excitant moi aussi. Pour tenir le rythme... Et je finis donc son verre, où l'aphrodisiaque fit son effet, redoublant mon énergie.

Aprés deux heures de sexe effréne, la tension retomba et c'est alors que je pris conscience de l'ampleur des dégâts et des conséquences de nos actes. Je m'étais alors excusée de l'avoir abusée, d'avoir trahie sa confiance... J'étais perdue et je me sentais si coupable. Bon sang, je venais de corrompre ma niéce, la détourner du droit chemin, la perturber à tout jamais, juste pour assouvir une bête sauvage qui se trouvait en moi. Alors maintenant, je pleure sans pouvoir m'arrêter... De tristesse ? De honte ? De remords ? Oui, tout cela en même temps. Mais Juliette m'entend au travers de la porte. Elle m'ouvre, me forçe à rentrer, et se jette alors dans mes bras, m'avouant son amour, son désespoir, me livre ses joies et ses tourments. Qu'elle a honte aussi, mais ne cesse de repenser à nos ébats torrides et me répéte en bafouillant qu'elle ne s'est jamais sentie aussi femme, aussi libérée, aussi épanouie....

Les larmes qui ruissellent sur mon visage deviennent plus abondantes. Intarissables. Mais elle n'ont plus le même goût car ce sont des larmes de joie et de bonheur...

FIN.

UN AMOUR DE TANTE : Une attirance impossible entre Ingrid, étudiante studieuse et romantique, aussi sage que timide, et sa tante Julie, adepte du libertinage, qui ne résistera pas longtemps à la tentation de séduire et pervertir la propre fille de sa sœur. Possédée d’une passion aussi dévorante qu’interdite, elle va emporter Ingrid sur des chemins hors norme. http://divineinnocente.onlc.fr/32-Un-amour-de-Tante.html       

 

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Par nicogarner - Publié dans : Un amour de Tante. - Communauté : Plaisir des Yeux
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