Lundi 1 janvier 1 01 /01 /Jan 06:09

    vlcsnap-49731-300x169Sa voix était étrangement rauque, et elle remarqua le voile de ses yeux troubles. D’instinct, elle croisa ses mains sur son sexe, prenant un air choqué.

04-199x300 dans Le Lagon du Vice.

- Ne vous gênez surtout pas ? Dehors, ou je me met à hurler !

Roulant des épaules, d’une démarche chaloupée, il vint vers elle. Christine en demeura sans voix. Ce comportement inhabituel avait de quoi la surprendre. Benoit était un dragueur invétéré mais il ne s’était jamais permis de lui faire la moindre avance. Juste des regards concupiscents, rien de plus… Et là, il lui fait clairement comprendre ses intentions, alors qu’elle se retrouve nue et impuissante devant lui. Jamais elle ne s’était sentie aussi vulnérable. . Il avança la main, lui effleura la poitrine avec douceur, glissant vite vers son bas-ventre. Elle l’arrêta à temps.

- Benoit, que fais-tu ? croassa-t-elle péniblement.

Sans répondre, il se colla à elle, pectoraux gonflés, muscles saillants. Il l’enlaça fougueusement, suspendu à son cou, lui griffant la nuque, vibrant de désir. Elle tressaillit comme si on l’avait piqué à vif, incapable de le repousser. Il y’avait en lui tant de force, de vigueur, que cela la laissait toute faible. Comme un oiseau effrayé qui se laisse prendre dans les griffes d’un matou affamé, et qui ne peut échapper à son emprise. Brusquement, elle se sentit si fragile, si désorientée, avec l’envie inavouable de se laisser guider, posséder.

Avec son mari, c’était elle qui menait le jeu.

Mais là, elle savait d’instinct que les rôles seraient inversés, qu’elle deviendrait le jouet docile des ardeurs masculines, et que cela ne devait pas être déplaisant de se laisser aller à des pulsions trop impétueuses pour y résister. Elle poussa un grognement éperdu lorsqu’il l’embrassa avec une frénésie animale. Elle essaya de ne pas répondre à son baiser, tournant la tête, mais il ne lui laissa aucun répit, repartant ardemment à l’attaque. Sans force, elle n’eut pas le courage de lui résister une seconde fois. Leurs langues se trouvèrent hâtivement, voraces, affamées.

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Il la serra davantage, frottant son bassin et sa poitrine contre lui, remontant un genou entre ses cuisses. Ivres de désir, ils tanguèrent dans la cabine, emportés par une frénésie aveugle qui les emporta sur les marches qui menaient au salon. Avec une force incroyable, il la porta dans ses bras comme s’il s’agissait d’un plume, Elle se sentit emportée par un tourbillon si tumultueux qu’elle se laissa grisée, enlaçant la nuque noueuse, se blottissant dans ses bras comme une petite fille perdue. Elle se sentait si fragile, si docile… Sans cesser de la porter, leur bouche se meurtrissait dans la même ardeur.

Elle voulut poser une question mais des lèvres gourmandes l’en empêchèrent. Bientôt, elle n’eut plus du tout envie de parler. Lorsqu’elle rouvrit la bouche, ce fût uniquement pour haleter comme un poisson que l’on sort de l’eau.

La posant sur un fauteuil, Benoit enlaçait sa partenaire avec une fougue croissante, lui communicant son envie d’elle. Il s’excitait à l’odeur de sa peau, se coulait sur elle, comme s’il voulait que leur chairs se confondent, qu’elles ne fassent qu’une. En descendant, il lui écartait les jambes avec ses genoux tandis qu’elle commençait à coller son pubis contre sa cuisse d’un souple mouvement du bassin.

Il glissa le long de son corps, suçant ses seins avec un appétit goulu,

vlcsnap-418681-300x169et l’une de ses mains caressait la courbe des hanches, se faufilait entre la douceur satinée des cuisses. Sadique, il immobilisa un instant sa main avant de reprendre la caresse là où il l’avait laissé. Ses doigts parcouraient toute la longueur de la fente intime, avant de s’attarder sur le clitoris qu’il percevait très sensible à ses attouchements.

Les jambes écartées au maximum, le corps agité de mouvements encore plus spasmodiques, Christine ne faisait que pousser des gémissements extasiés. Mais Benoit en voulait plus, un abandon total et aveugle. Il voulait que Christine lui donne tout, se livre corps et âme, sans retenue. Ce qu’elle n’avait jamais osé avec son mari.

- Je veux ton sexe maintenant ! Je veux le lécher ! Dis-moi que t’en as envie !

- Oui, oui…

- Ton mari ne le faisait jamais, hein ? Dis-moi la vérité maintenant.

- Il le fait très rarement…

- Et tu veux que je le fasse ? Mieux que lui… Dis-le moi…

- Oui, oui, je t’en prie, fais-le… murmura Christine sourdement.

- Plus fort, crie-le haut et fort, lâche-toi pour une fois !

Il la poussait à s’extérioriser, à être un animal guidé par ses pulsions les plus primitives. Christine était dans un tel état de surexcitation qu’elle en perdait toute dignité et toute pudeur. Elle supplia en criant :

- Oui, oui, lèche-moi le sexe, je t’en prie !

Benoit n’y tint plus.

vlcsnap-42524-300x169Il plongea littéralement sur son bas-ventre, colla sa bouche sur son sexe, s’attaqua sérieusement au sensible bourgeon qui se gonflait à la commissure de la féminité éclose. Christine, avec un râle surpris, enfonçait sauvagement ses ongles dans les épaules de son partenaire qui commençait aussi à gémir, emporté par cette même frénésie qu’il éveillait dans ce splendide corps féminin. Il collait sa bouche sur le clitoris qu’il aspirait en le titillant de la langue, un clitoris d’une longueur et grosseur surprenantes.

Il le délaissa assez vite, préférant glisser sa langue dans le sillon humide, aussi loin que possible, allant et venant, s’acharnant impitoyablement. Christine criait. Elle n’existait plus que par cette chose vivante qui se frayait partout un chemin, explorait, tournoyait et vrillait, la sondant à lui en arracher l’âme.

Jamais elle n’avait connue de sensation si agréable, elle se laissait emporter, comme aspirée par une tornade dévastatrice qui bouleversait ses sens comme jamais. Un instant, elle eut la force de se redresser, pour voir. Elle trouva qu’il n’y avait rien de plus beau que cet homme viril, étendu entre ses jambes, fesses levées, la tête enfoncée dans la fourche de ses cuisses, en train d’explorer amoureusement son sexe comme personne ne l’avait fait, avec un tel appétit qu’il semblait vouloir la dévorer vivante.

Avec un râle d’abandon, elle se laissa retomber sur le canapé. Tétanisée par les brûlantes crispations qui incendiaient son bas-ventre, sa croupe accentuait les profonds mouvements de houle qui l’agitaient. Elle perdit le contrôle, criant, suppliant, divaguant, tétanisée par un tel foisonnement de sensations si délicieuses, si intenses, qu’elles en devenaient presque insoutenables.

Impitoyable, Benoit accéléra la pression de sa bouche et la vibration de sa langue. Il empoigna à pleines mains les fesses de Christine, y enfonça ses doigts, plaquant davantage le bas-ventre contre sa bouche vorace. Traits tendus, lèvres entrouvertes sur une plainte autant sensuelle qu’enfantine, Christine finit par se laisser aller. Ses doigts se crispaient dans la chevelure et elle accompagnait les mouvements de la tête pendant que ses hanches ondulaient.

Elle fut comme frappée par mille flèches brûlantes qui semblèrent la transpercer, et ce fut enfin l’explosion fulgurante, un orgasme fabuleux, extraordinairement puissant qui l’ébranla toute entière. Elle fut incapable de contenir les spasmes qui partaient de son bas-ventre, et continua de se vider sur la bouche gourmande qui, ayant perçue les contractions annonciatrices de l’orgasme, avait redoublé d’attention pour laper jusqu’à la dernière goutte le calice capiteux dont elle se désaltérait avidement.

Christine avait l’impression d’être bue jusqu’au cœur. Avec des gémissements de bonheur, elle s’accrochait de plus belle à Benoit en le serrant contre son ventre, comme si elle voulait le garder enfoncer au plus intime de son être pour toujours, bien au-delà des derniers sursauts qui la faisaient encore trembler.

vlcsnap-42213-300x169Eperdue de reconnaissance, elle l’obligea ensuite à se redresser et lui enfonça dans la bouche une langue frétillante, excitée de retrouver sur ses lèvres la saveur de sa propre liqueur intime.    

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Tout en l’embrassant, elle le caressait par-dessus le jean, pressant ses doigts sur la virilité dressée avec un art consommé, le torturant sans pitié. Il n’y tint plus, se déshabillant fébrilement. Comme si elle n’attendait que ça, elle s’empara avec empressement du sexe mâle qui s’allongea encore plus entre ses doigts. Il se tendit en vibrant à sa rencontre, l’embrassant avec une telle sauvagerie qu’il la mordit. Les yeux fous, suffocante, elle se redressa, lui offrant ses seins qui, petits et aigus, se dressaient comme des dards insolents. Benoit les prit à pleines mains, surpris encore par leur douceur, ravi de sentir les bouts réagir à ses caresses.

Elle se déplaça, lui échappant comme une anguille en glissant sur lui, puis il cria encore lorsque, penchée sur son bas-ventre, elle l’effleura de ses lèvres, glissant la pointe de sa langue sur ses poils, à quelques millimètres du pénis.

Il se cambra violemment, le sexe durci à lui faire mal. Elle ne répondit pas à ses attentes, jouant avec ses nerfs. Il réussit à se contorsionner, lui collant son sexe contre le visage, la suppliant de passer aux choses sérieuses. Elle ne pût refuser l’invitation, autant au supplice d’éviter ce sexe tout chaud et frémissant qui la narguait impitoyablement.

vlcsnap-437141-300x169D’un coup, elle le prit à pleine bouche, l’avalant presque entièrement d’une aspiration goulue, si voracement qu’il hoqueta de plaisir et de soulagement. Elle le ressortit de sa bouche pour le happer encore plus profondément, allant et venant à une cadence accélérée, l’affolant de temps à autre d’habiles glissades de la langue pour faciliter la prochaine fellation. Elle se prenait au jeu, excitée comme jamais de la longueur de ce sexe qui semblait vivant, grossissant encore et encore. Alors qu’il la caressait en même temps, elle réussit à se tortiller pour lui échapper. Elle voulait rester seule maitresse du jeu. Pour l’instant…

Se sentant absorbé tout entier, il grogna de plaisir, se tordit en tout sens, pris de tremblements convulsifs à l’approche d’une éjaculation imminente. Elle le sentit au bord de l’orgasme et s’arrêta à temps, bien décidée à faire durer le plaisir, pour son plaisir.

Elle remonta sur lui pour se déplacer au-dessus, se frottant fébrilement contre son sexe. Il ne fallut aucun effort pour qu’il s’enfonça en elle d’un puissant coup de reins. Elle hurla, la tête penchée en arrière. Il lui saisit les fesses pour lui imposer son rythme, la percutant de fougueux déhanchements qui s’accélérèrent. Elle se souleva d’un coup de reins, retomba, s’empalant à fond, l’obligeant à modérer ses ardeurs pour lui donner sa cadence, plus lente et appuyée.

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Vaincu, il se laissa guider. Elle oscilla sur lui, souple comme une liane, et chaque ondulation lui arrachait un long soupir animal. Bientôt, ses mouvements se firent plus impétueux, elle se cambra avec un frémissement incontrôlé, tendue et crispée, marmonnant des » oh oui ! » dans un râle extasié. Soudés l’un à l’autre, ils s’étreignirent rageusement dans un rythme désordonné, emportés par la même frénésie sexuelle. Ils renversèrent la table basse, roulèrent sur le canapé, mêlant leur corps, leurs cris et leur gémissement. Avec un tel désordre que les corps s’emboitaient l’un dans l’autre dans les acrobaties les plus improbables, se perdant dans toutes sortes de positions incongrues.

vlcsnap-49731-300x169Avec un plaisir sans cesse renouvelé. Dans leur délire, aucun d’eux n’aperçut une porte s’entrouvrir légèrement, et encore moins Jean-Louis Vernier qui, un sourire ironique derrière son camescope numérique, filmait leurs ébats amoureux.

Avec la satisfaction de mettre enfin un terme définitif à un mariage désastreux. En jetant Benoit dans les bras de sa filles, il n’avait fait que précipiter l’inévitable.

Sans remord, il était fier de constater que son plan s’était déroulé à la perfection. Et que la somme promise à son ami était largement méritée…

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Par nicogarner - Publié dans : Histoires Erotiques. - Communauté : petites culottes pour grosses chattes
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