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Un stage professionnel oblige Isabelle à quitter sa famille pour se rendre à Lyon, partageant une chambre d’hôtel avec Selena. Celle-ci va vite chercher à l’attirer sur les chemins tortueux d’une liaison interdite. Prête à tout pour l'initier aux délices lesbiens... Mais Isabelle, femme mariée et mère de famille, n'est pas une conquête si facile... Pourtant, entraînée malgré elle dans une suite d'expériences sexuelles de plus en plus extrêmes, elle se découvrira des aptitudes inimaginables pour les amours entre femmes....
" Issue d’une famille bourgeoise, j’ai vécu dans un contexte rigide et étouffant qui me marqua à jamais. J’ai passé de longues années à souffrir du dédain de mes parents car je ne répondais pas à leurs attentes.
Pour eux, la réussite était un devoir sacré et mes deux sœurs excellaient dans leurs études. Je fus donc l’enfant rejeté par tous, subissant les moqueries et les reproches, une humiliation qui a hanté toute ma jeunesse. Pour me protéger, je m’enfermais dans la solitude et l’indifférence, fermant les yeux sur tout désir d’amour et de tendresse. Puisque ma famille était incapable de m’aimer pour moi-même, je finis par m’en aller sitôt ma majorité atteinte, tournant le dos à mes racines, pleine de rancœur et de fêlure qui ne cicatrisèrent jamais.
Je m’installais en Seine Maritime où je gardais des souvenirs heureux de vacances. Les cris des mouettes, les parfums iodés et les falaises ciselées de Dieppe formaient un décor parfait pour mon goût des plaisirs simples, l'amour de la nature, et mon enthousiasme à toute épreuve. Je survivais de petits boulots tout en continuant mes études par correspondance dans le secrétariat. Une vie aussi rude que terne qui finit par briser tous mes rêves de bonheur. Je fermais les yeux sur tout espoir, essayant de me divertir avec deux ou trois liaisons avec des hommes qui aboutirent bien évidemment sur des échecs cuisants.
Je m’étais tellement repliée sur moi-même, hermétique à tout sentiment, que je devins incapable d’aimer et de m’ouvrir aux autres. Puis je rencontrais Jacques, un homme de dix ans mon aîné, un homme solide, fiable, travailleur et généreux, qui fît tomber à force de patience quelques-unes de mes défenses.
J’avais enfin rencontré une personne qui croyait en moi et qui était prêt à construire quelque chose de sérieux. C’est donc lui que je choisis pour être
l’homme de toute une vie et le père de mes enfants. M'abandonnant et me livrant sans retenue, malgré mes peurs d'être vulnérable.... Être sensible et
aimante c'est aussi être plus facilement exposée aux blessures et aux mauvais coups... Mais il y' a bien un moment où il faut se laisser aller et faire confiance.
Après la naissance de notre fils, nous avons quitté la Bretagne pour nous installer dans la région natale de mon mari, dans les Landes. Hélas, ce fût une erreur. Nous nous sommes enterrés dans une ville de province trop morne et ennuyeuse, endormis entre lacs et pins qui sentaient vite la monotonie.
Malgré tout, je me suis efforcée de croire que j’étais heureuse en ménage, une femme sans histoire, fidèle et attachée à sa famille, sérieuse et
conventionnelle, se contentant de peu, acceptant la médiocrité du quotidien comme beaucoup de femmes qui subissent leur destin avec fatalité. Gardant espoir sur des jours meilleurs, avec cette utopie qui n'appartient qu'aux âmes pures, capables de continuer a rêver malgré leurs déceptions. La vie serait bien triste sans les rêves n'est-ce
pas ? Cet état d’esprit était compatible avec mon look un peu fleur-bleue et fille de la campagne à la beauté naturelle et spontanée
qui se contente de plaisirs simples.
Donnant cette impression d’être une beauté puérile et naïve, à la fraîcheur candide. Un peu froide et distante, enfermée dans son monde idéal de
"bisounours".
" De la glace qui ne demande qu’à fondre ! " raillait mon mari, fou amoureux de moi, m'incitant à me faire un tatouage - que je fis le plus discrètement possible sur les hanches - espérant que cela briserait un peu mon côté trop réservé et conventionnel, et réussissant à prendre quelques photos sexy où je me sentais malgré tout mal à l’aise.
Je parle volontairement à l’imparfait car tel était mon état d’esprit à cette époque, à un moment où je l’acceptais car je ne connaissais rien d’autre. Jusqu’au jour où j’ai rencontré Selena qui a bouleversé ma vie trop tranquille… Employée comme secrétaire médical dans un cabinet ophtalmologique, j’ai dû quitter ma petite ville de province pour suive un stage informatique à Lyon, loin des miens et ce pour une durée d’un mois.
Au début, j’étais effrayée et désorientée de perdre ainsi mes marques et me retrouver seule dans une grande ville inconnue, mais ce malaise s’estompa assez vite par une impression de liberté et d’audace comme je n’en avais jamais connue. Je rencontrais d’autres collègues qui venaient de chaque coin de la France, avec leur particularité, leur culture, leur caractère et expérience personnelle, et c’était si enrichissant de fréquenter d’autres gens de ma province profonde.
C’est ainsi que je fis connaissance de Selena qui devint ma compagne de chambre dans le modeste hôtel où nous passions toutes nos nuits. A peine plus âgée et plus grande que moi, elle était du genre femme fatale et libérée, une superbe brune au cheveux longs, genre extravertie et dévergondée, celle qui attire tous les regards et qui n’a pas froid aux yeux.
Elle avait ce tempérament espiègle et rieur, volubile et exubérant, qui la rendait fascinante, celle que l’on remarque tout de suite dans n’importe quelle circonstance.
J’étais tout son contraire, timide et réservée, petite brune au visage enfantin et innocent, aussi jolie que discrète… Mais malgré notre différence le courant passa tout de suite, elle me prit sous son aile comme une grande sœur le ferait, avec bienveillance et un instinct protecteur qui, d’emblée, me toucha énormément. Sa présence à mes côtés était un véritable festival de gaieté et de malice en tout genre, un vrai clown qui riait de tout et accumulait les pitreries et bêtises comme une éternelle effrontée. C’est sans état d’âme qu’elle m’aspirait dans son sillage, une tornade survoltée et insouciante qui, au lieu de réviser les cours et approfondir nos connaissances informatiques, m’entraînait dans les bars, pubs et discothèques, pour de folles nuits blanches.
Et, le pire que tout, c’est que j’adorais cela, retrouvant une jeunesse dont je n’avais pas profité, et l’occasion m’était enfin donnée de rattraper le temps perdu. Nous nous régalions, sur les pistes de danse, d’allumer et provoquer tous les mâles présents. Selena, avec ses allures lascives et son corps insolent de beauté, rendait fou de désir les hommes qui tentaient bien évidemment leur chance…
Mais sans succès.
Je compris vite qu’elle se riait d’eux avec un dédain manifeste parce qu’elle les détestait réellement, et pour cause : Selena n’aimait que les femmes.
Elle me l’avoua le plus simplement du monde le sixième jour, ce que j’aurais dû d’ailleurs comprendre à sa façon de me dévorer des yeux et ses manières tactiles et câlines de me coller à chaque occasion. Mais je prenais tout cela pour de la simple amitié, et j’ai toujours été si naïve… Cette constatation, au lieu de m’écœurer ou m’inquiéter, attisa au contraire ma curiosité et ne la rendit que plus fascinante et mystérieuse. Une lesbienne ! C’était la première fois que j’en fréquentais une, et c’était si éloignée des clichés que je m’en faisais. Mais, si je fus intriguée au début, partager ma chambre avec elle fut une réelle torture.
Elle ne cessait de m’aguicher, me séduire, se promenant en nuisette ou tenue sexy dans la chambre avec une impudeur qui, au lieu d’être vulgaire ou déplaisante, était au contraire d’un érotisme subjectif et raffiné.
C'était une véritable torture car je me surprenais à l'admirer malgré moi en silence, le plus discrètement possible, presque honteuse de ressentir un sentiment de culpabilité avec cet indéfinissable trouble que je ne m'expliquais pas et me mettait terriblement mal à l'aise. Et elle, comme consciente de mon état, prenait un malin plaisir à repousser les limites de l'indécence en allant toujours plus loin dans la nudité.
En plus, dans les conversations, elle me vantait les qualités des homosexuelles qui savent être si douces et expertes, si patientes et si compréhensives, une expérience divine et magique pour les hétéros qui se laissaient tenter, et elle était si persuasive et habile pour enflammer mon imagination que j’en fus vite convaincue et horriblement troublée…
Elle prit un malin plaisir à jouer avec mes nerfs la deuxième semaine et je réussis à tenir bon quelques jours. Mais je résistais pour mieux lui céder, ce que je compris un jour où, à la fin d’un cours plus épuisant que les autres, je voulus tout de même réviser dans la chambre, installée studieusement sur une chaise.
Je n’eus même pas le temps de m’atteler au travail que Selena, vêtue d’une robe moulante qui dévoilait à la perfection son insolente poitrine, se montra de nature joueuse et espiègle, pour ne pas dire câline et provocante. Elle se montrait très caressante, me tournant autour comme une louve affamée, à l’affût, me frôlant de gestes insidieux qui ne cessaient de me déstabiliser.
Elle effleura même mes tétons pointus sous mon tee-shirt dans une caresse lente et mesurée, et plongea son regard dans le mien avec insolence, puis, elle entrouvrit la bouche en laissant s’échapper un soupir d’excitation à peine audible. Lorsque devant cette expression orgasmique feinte, je me sentis malgré moi troublée et me mis à rougir, Selena m'adressa un sourire coquin.
- Dis, pour une fois dans ta vie, tu ne veux pas faire quelque chose de fou, d'interdit et de déraisonnable ? me demanda-t-elle d’une voix mielleuse en m'obligeant à lever la tête pour que je la regarde en face.
- Attends… Je n’ai jamais fait ça avec une fille et je ne suis pas prête pour cela... Jamais ! Tu m'entends ? Aucune envie et aucune disposition pour les amours entre femmes, je suis hétéro, mariée...
http://divineinnocente.onlc.fr/
Les manigances dépravées d’une secte mystérieuse oblige une femme sans histoire,
mère de famille irréprochable, à enquêter dans ce sombre milieu.
Sa meilleure amie s’étant suicidée, mais ne croyant pas aux conclusions de la police, Carole embauche un détective privé tandis qu’elle infiltre la secte comme nouvelle adepte.
Tous deux unissent donc leurs forces pour démasquer le Dr Callister et sa complice, Christina, adjointe de direction, une bisexuelle déjantée et excentrique qui tente d’avoir des relations sexuelles avec toutes les jolies membres. Jetant assez vite son dévolu sur Carole, celle-ci ne cesse de la repousser.
Un jour férié, alors que le personnel est réduit, Carole en profite pour laisser entrer le détective privé. Ce dernier fouille les bureaux à la recherche de preuves. Et Carole monte la garde devant la porte, armée du révolver que le détective lui a confié entretemps. Mais l’arrivée inattendue de Christina vient tout gâcher. Affolée, Carole improvise un mensonge éhonté, des bruits qu’elle a entendus et la crainte de cambrioleurs, justifiant l’arme qu’elle possède par sa paranoïa des voleurs suite à une tentative de viol à son domicile. Une histoire peu crédible que Christina a du mal à avaler… Alors, pour l’éloigner des bureaux, Carole tente de la séduire maladroitement, cherchant par tous les moyens à effacer ses soupçons.
Un baiser lent et appliqué qu’elle s’efforce de provoquer. Mais Christina n’est pas femme à se contenter d’un simple flirt.
Alors Carole fait semblant d’être naïve et nerveuse, alternant cris de surprise et gémissement de plaisir lorsqu’elle subit les assauts d’une femme déchainée, se retrouvant malgré elle en fâcheuse posture, étendue et coincée dans les escaliers.
Devant coûte que coûte libérer l’entrée de la porte où le détective risque de surgir d’un moment à l’autre, elle continue de feindre l’incertitude, ce qui excite de plus en plus Christina, l’incitant à perdre la tête et oublier ses soupçons. Enfin, celle-ci, hors d’elle, l’entraîne dans sa chambre et, survoltée, ardente, la domine totalement pour la guider vers des étreintes volcaniques entre femmes…
Carole, possédée à son tour par des envies inavouables, n’est plus de taille à résister. Ses réticences fondent comme neige au soleil, et elle perd littéralement le contrôle lorsque Christina sort un godemichet et lui procure des orgasmes successifs, l’enivrant de sensations nouvelles…
Si vous aimez ce genre d’histoire – une femme mariée qui se laisse corrompre par une lesbienne volcanique, je vous conseille de lire aussi « La secte des Affamées « où une splendide femme abandonne sa famille pour une mission à haut risque, infiltrant une secte pour retrouver sa sœur, et subissant l’odieux chantage d’une adepte des plaisirs saphiques…
Un thriller lesbien hot et pervers.
Quand les sens enfiévrés prennent le dessus sur la morale…
Intense et inoubliable !!!
Ecrit avec Nicky Gloria ici : http://divineinnocente.onlc.fr/
Vengeance lesbienne ou la revanche d’une femme trahie…
http://divineinnocente.onlc.fr/20-Ennemie-Intime.html
UN VRAI SITE DE RENCONTRE DE QUALITE :
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