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Vendredi 6 octobre 5 06 /10 /Oct 10:01

La Veuve lubrique.

Lucrèce est une splendide veuve de 40 ans. De la frustration au désir sexuel, en proie à des fantasmes inavoués, elle va jeter son dévolu sur une jeune femme innocente et l'emporter dans une spirale de volupté effrénée.

Entre femmes

Debout prés de la fenêtre de sa chambre située dans l’aile nord du château, Lucrèce brosse ses longs cheveux blonds avec lenteur, d’un air pensif. Elle contemple en même temps le paysage sec et aride, sans relief, avec des vignes qui s’étendent à perte de vue, bordées ici et là par de petits murets de pierre délimitant les plantations.

Soudain, son regard se fige lorsque la sensation revient.

Cela recommence… L’impression d’une autre présence, d’être épiée, surveillée… Comme si des yeux intenses traversaient les murs et se fixaient sur elle. Elle frissonne, serre instinctivement les pans de sa robe sous laquelle elle est entièrement nue. Tout à l’heure, sous la douche, elle a ressenti cette même sensation étrange, et une douce chaleur lui a noué le ventre, un frisson voluptueux qui lui a donné la chair de poule.

Ce qu’il y’ a de plus incroyable dans cette impression de ne pas être seule, c’est qu’elle ne ressent aucune peur, aucune crainte, mais un trouble indéfinissable.

Comme si l’air était chargé d’électricité, une atmosphère sensuelle qui vous prend et vous enveloppe dans un voile de mystère et d’érotisme latent. Evidemment, elle ne croit pas aux fantômes ou autres événements surnaturels, mais il faut dire que le décor s’y prête : un domaine viticole immense et isolé, un château cathare perdu au milieu des vignes, une impression de luxe et d’opulence qui transpire dans la décoration intérieure, à la fois gothique, feutrée et intime.

Et il n’y a pas que cela.

Ici, le personnel est exclusivement féminin, et comme trié sur le volet : toutes sont jeunes, jolies, et terriblement sexy. Ce qui n’est pas pour lui déplaire… Tout cela complète une atmosphère de sensualité, de liberté et d’audace. L'endroit idéal pour se reposer, recharger les batteries. Et explorer de nouvelles expériences...

Pour changer des hommes, sa principale source de revenus aprés plusieurs amants riches et influents qui l'entretenaient grassement. Echange de bons procédés... Sans oublier la fortune léguée par feu son mari... Paix à son âme.

Et, en attendant de trouver un autre pigeon à plumer, un futur mariage aussi fructueux que rentable, elle a besoin de se changer les idées et profiter d'un pactole bien mérité.

Elle en est là de ces pensées étrangement agréables lorsque quelqu’un frappe à la porte.

- Entrez.

Elle se retourne en même temps, suivant des yeux la servante qui entre avec un plateau qu’elle dépose aussitôt sur une table basse en chêne massif, prés du lit. La servante se redresse et l’observe à son tour.

- C’est bien ce que vous aviez demandé, Madame. Un verre de jus d’orange, café, croissant sans beurre et fruits secs…

A vrai dire, Lucrèce n’a pas jeté un regard sur le plateau, bien trop occupée à déshabiller la jolie domestique du regard. Elle s’appelle Florence, une adorable jeune femme aux cheveux coupés courts, aux yeux noisette qui arbore toujours un sourire chaleureux et coquin, presque ironique, comme si la vie lui réservait toujours des surprises. Elle est belle, une beauté fraîche et piquante, avec un doux visage ovale qui rayonne de gaieté, et un corps splendide, tout en courbes harmonieuses, fines et graciles, des formes d’adolescente presque… C'est la fille des gérants de l'hôtel, un emploi partiel qu'elle occupe en-dehors de ses études. La plus jolie des employées... Lucrèce sent ses seins se durcir et tendre le tissu de sa robe. C’est d’une voix rauque qu’elle répond :

- Très bien, c’est parfait.

Elle s’approche d’elle, en prenant l’air le plus naturel du monde. Florence la laisse venir à elle sans réagir, un petit sourire amusé sur les lèvres. Tout de fois, lorsque la femme tend le bras pour lui toucher la joue, elle a un petit mouvement de recul.

- N’aie pas peur, je veux juste t’arranger les cheveux.

En effet, Lucrèce lui remet en arrière des mèches rebelles qui ne cessent de retomber sur son joli front. Florence continue de se laisser faire lorsque, maintenant, la femme continue de passer les mains dans ses cheveux, comme cherchant à la recoiffer, ce genre de petit geste innocent et affectueux qu’une femme peut avoir pour une autre femme. Mais, ensuite, la caresse à fleur de peau sur sa nuque semble bien moins innocente. Du bout des doigts, elle contourne son cou et effleure sa gorge, son menton, puis le visage, et enfin sa bouche où la caresse se fait plus précise.

- Comme tu es belle… s’extasie Lucrèce.

Le genre de phrase qu’une femme adore entendre. Et cette douceur, cette sensualité… Tout cela l’envoûte, l’électrise. Elle entrouvre ses lèvres lorsque Lucrèce y introduit un doigt, allant et venant dans sa bouche avec une obscénité mêlée de volupté. D’instinct, elle bouge la langue et suce le doigt avec une gourmandise qu’elle ne s’était jamais connue. Lucrèce gémit, tremble lorsque Florence sursaute à son tour.

Le désir qu’elle perçoit dans les fascinants yeux gris lui donne le vertige. Florence voit s’entrouvrir ses belles lèvres pulpeuses et respire ce mélange d’odeurs qui monte de cette splendide femme , gel douche, shampooing et parfum épicé qui la grisent davantage. Elle ferme les yeux lorsque la bouche humide se presse contre la sienne, et se sent mollir lorsque la langue se joint au doigt pour parcourir l’intérieur de sa bouche avec une agilité déconcertante. Une langue vorace, souple et agile, qui glisse sur ses lèvres...

Entre femmesJamais personne ne lui avait produit un tel effet si vite… Son petit ami ne lui faisait jamais ce genre de gestes... Florence se demande avec extase si la suite va se révéler aussi éblouissante, mais ce qui se passe ensuite ne lui donne aucune envie de réfléchir. Lucrèce vient de la jeter sur le lit, se collant aussitôt à elle. Elle reprend possession de sa bouche, ne lui laissant aucun répit, comme par peur qu’elle retrouve ses esprits.

Justement, Florence retrouve un instant sa lucidité. Elle vient de se rappeler qu'elle a un petit ami, qu'elle est hétérosexuelle, avec des projets d'avenir et des rêves de fonder une famille... Mais là, avec cette femme, c’est mal parti… Cette veuve est le diable incarné, la tentation dans toute sa splendeur. Troublante, provocante, sophistiquée et narcissique. Et bien plus âgée, la quarantaine épanouie.

De toute façon, c’est trop tard. Avec une surprenante dextérité, Lucrèce l’a déshabillée en un tour de main, et c’est nue elle aussi qu’elle se frotte maintenant contre elle en ahanant. Entre femmes

Florence lui renvoie ses bonds, noue ses jambes autour des fesses féminines, la pressant davantage contre elle pour que leur sexe soit en contact étroit. Déjà, son vagin est trempé, lubrifié comme jamais il ne l’a été, alors que Lucrèce ne l’a pas encore caressée. C’est fou, elle n’en peut plus, cette femme a le don d’enflammer ses sens et d’éveiller des pulsions sauvages avec un art inné qu’elle n’a jamais rencontré chez aucune autre personne.

Entre femmes

Leurs mains se touchent et se croisent, partant à découverte de leur corps impatients. Leur excitation mutuelle les fait râler et trembler, leurs bouches continuent de haleter l’une contre l’autre alors que les langues se nouent et se dénouent avec une fièvre croissante.

Entre femmes

Lucrèce est la première à glisser sa main entre les cuisses de son amante. Florence les écarte, son extase monte alors que deux doigts la pénètrent facilement, glissant et s’enfonçant dans son vagin tandis que le pouce s’insinue dans sa vallée intime, glissant tout le long, accentuant son excitation avant de masser son clitoris qui devient dur comme un bouton de rose. C’en est trop. L’orgasme est si rapide et violent qu’elle crie de surprise et de bonheur. Elle se casse en deux, jouit aussitôt une deuxième fois avec une intensité plus forte que la première, tout simplement parce que Lucrèce a introduit en elle un troisième doigt qui a décuplé ses sensations.

Eblouie, elle se laisse retomber sur le lit avec un soupir d’aise.

Haletante, le feu aux joues, Lucrèce la contemple avec un sourire satisfait. Elle brûle d'un désir inassouvi, divinement belle, farouche, sauvage, avant de se jeter dans les bras de Florence. Celle-ci l’accueille avec un soupir d’abandon. Elle frémit délicieusement lorsque le corps nu et chaud de sa partenaire se colle impérieusement contre le sien, se frottant avec une sensualité incroyable tout contre sa chair enflammée. Lucrèce lui embrasse fiévreusement le visage de baisers humides et fougueux.

- Ta bouche, je veux ta bouche ! ordonne t-elle d’une voix méconnaissable.

Florence, avec un petit soupir enfantin, entrouvre ses lèvres.

Entre femmes

La bouche exigeante de Lucrèce en prend aussitôt possession. Elles ne sa lassent pas de rester longuement ainsi, nues et haletantes, emportées par une frénésie si intense qu’elles transpirent vite, luisantes et glissantes comme des anguilles.

Lucrèce la bascule sur elle, s’étend bras et jambes écartée avec une fébrilité impudique. Ses attentes sont légitimes. Elle a donné du plaisir. Maintenant elle veut en recevoir. Ses yeux fous, ses cheveux en bataille, son magnifique corps luisant de transpiration, tout indique une excitation incontrôlable qui quémande un apaisement urgent.

Florence, tout en ayant envie de satisfaire ses désirs, hésite un instant. Jusque là, elle a transgressé certains interdits mais pourrait éviter l’irréparable en arrêtant tout maintenant. Il n’est pas trop tard pour faire marche arrière.

Son regard s’attarde sur le long corps élancé de Lucrèce, ses mouvements sinueux, la houle qui l’agite, son ventre qui monte et descend, sa main qui glisse entre les jambes, frôlant le sexe mouillé et ouvert. Non, ce serait inhumain de la laisser dans un tel état. Et elle en meure d'envie aussi, des nouvelles pulsions bien trop intenses pour y résister. La curiosité et le fruit défendu sont les plus irrésistibles aphrodisiaques...

C’est avec autant d’impatience qu’elle se penche donc vers son amie, s’agenouillant entre ses cuisses. Elle lui dévore les seins, des seins qu’elle pourrait lécher des heures tant ils sont beaux, gros et fermes. Elle ne s’en lasse pas, les picorant avidement, tandis que sa main droite glisse sur le ventre et s’insinue entre les cuisses. D’abord, elle pose sa main à plat sur le triangle secret, jouant avec les poils pubiens. Geignant de frustration, les bras posés sur son dos, Lucrèce est incapable de contenir les spasmes qui partent de son bas-ventre pour l’ébranler impitoyablement, au bord de l’orgasme mais ne pouvant se libérer car la caresse n’est pas assez précise. En proie au délire, elle se frotte violemment contre les doigts sur lesquels elle a tant envie de se laisser fondre. Florence a pitié d’elle, et satisfait à sa demande. Ses doigts parcourent enfin la fente humide, brûlante comme de la braise, avant de se laisser aspirer par ses intimes moiteurs. Lucrèce pousse des petits cris extasiés, agitant convulsivement les reins et écartant davantage les cuisses avec une souplesse étonnante, pour mieux s’ouvrir au va-et-vient de la main active. Le ventre en feu, elle s’offre toute entière en se tordant comme une limace prise de folie, alors qu’elle sent un orgasme incroyable monter en elle, grossir et s’amplifier avec une densité extraordinaire. Lorsque Florence mêle la bouche à ses petits jeux lubriques, Lucrèce ne peut plus se retenir.

Elle est anéantie par une jouissance jamais atteinte,

en proie à un tel délire qu'elle n'a même pas conscience, dans le feu de l'action, de se positionner tête-bêche avec sa partenaire, se jetant entre ses cuisses pour un 69 endiablé.

Malgré son inexpérience, Florence répond à ses attentes. Elle y met une incroyable fougue, une volonté qui force le respect, plaquant son pubis sur le visage de Lucrèce et cherchant le sien en tordant le cou.

Lucrèce pousse un cri quand la pointe de la langue se faufile en elle.

De nouveau, elle se sent fondre, et satisfait à la demande de son amie en lui dévorant à son tour ses parties intimes. Contre toute attente, c’est Lucrèce qui hurle d’abord sa jouissance, ce qu’elle pensait impossible après tant d’orgasmes.

A ses cris, les transports de Florence redoublent.

Il semble qu’un feu intérieur la tourmente et la pousse à la rage, la faisant ressembler à un animal sauvage qui se laisse aller à ses pulsions les plus primitives.

Maintenant, alors que tout semble opposer ces deux femmes issues d’un milieu si différent, elles sont unies par le même désir, les mêmes envies. La chair et le sexe ont le pouvoir extraordinaire de réconcilier les êtres, leur prouver qu’ils sont identiques.

Surtout pour deux personnes du même sexe, si indissociables et complémentaires, une logique qui paraît à Lucrèce incontestable alors que sa partenaire abandonne toute retenue, ballottée par un tourbillon de sensualité effrénée.

Elles continuent de faire l’amour avec cette même ardeur presque animale, deux personnes qui se découvrent mutuellement dans une nouvelle sexualité et se consument dans la même frénésie.

Un mélange de tendresse et de débauche qui finit par les laisser épuisées, endormies l’une contre l’autre. Quelques minutes s’écoulent avant que la magie ne s’estompe peu à peu.

La sensation de se sentir observée réveille Florence. Lucrèce est penchée sur elle et l’observe attentivement. Elle sourit, ses yeux noirs brillent dans la pénombre, les rendant encore plus énigmatiques. Florence se blottit tendrement dans ses bras.

- Lucrèce, tu sais, c’est la première fois que je fais l’amour avec une telle fougue… Tu m’as fait faire des folies ! Et il fallait que ce soit avec une femme !

- Tu ne le regrettes pas ?

- Jamais je ne le regretterai. Je me suis sentie si vivante, si heureuse… Je ne pensais pas que de telles émotions pouvaient exister, c’était merveilleux.

Flattée, Lucrèce a un sourire éblouissant, mais c’est malgré tout avec une certaine gravité qu’elle répond :

- Je l'ignorais aussi. Il y'a longtemps que j'avais envie de réaliser ce fantasme, coucher avec une autre femme, mais je ne pensais pas m'orienter sur un chemin aussi agréable et dangereux.

Florence tourne vers elle un visage ému.

- Agréable et dangereux ? Je peux prendre cela pour un compliment ?

- Si on veut... Mais cela n'était pas prévu dans mes plans. Et j'ai d'autres projets...

Tout en allumant une cigarette, ses traits se figent dans un masque soucieux. Elle n’ose pas la regarder dans les yeux en ajoutant cruellement :

- Des projets où tu n'as pas ta place...

Florence la fixe droit dans les yeux, avec colère et tristesse. Elle lui prend brutalement la cigarette des mains et en tire une bouffée énervée. Sa voix est chargée d’amertume lorsqu’elle lui répond :

- Alors je n'étais qu'une parenthése enchantée que l'on referme aussitôt ? Un simple passe-temps ?

- Non, je ne regrette rien, et si c’était à refaire je le referais sans la moindre hésitation car c’est pour moi quelque chose de nouveau et de très fort… C’est beaucoup plus qu’une pulsion passagère ou un caprice du moment. C’est pour ça que j’aimerais bien que l'on reste ensemble, pour l’instant… Le temps de mes vacances. Ne m’en demande pas plus, vivre au jour le jour sans se poser de questions, voilà ce que j'attends de toi.

Le visage de Florence s'illumine d'une joie puérile :

- Alors rien n'est fini ? On pourra se revoir ?

- Exact. C’est pour ça que j’aimerais bien que l'on reste ensemble, pour l’instant… Et sans se prendre la tête. Ne m’en demande pas plus...

- J'ai un espoir alors ?

Et un fait incroyable, imprévisible, se produit alors, prenant Lucrèce au dépourvu. Florence ferme les yeux et des larmes se mettent à ruisseler sur ses joues. Puis, aussi brusquement, elle se retourne et enfouit son visage dans l’oreiller pour sangloter bruyamment. Emue, Lucrèce a d’instinct un geste pour caresser les cheveux qui forment une lumineuse cascade sur l’oreiller blanc. Florence se ressaisit lentement, douloureusement. Les yeux secs, lèvres serrées, elle s’excuse d’une voix tendue :

- Pardon, Lucrèce, je ne sais pas trop où j’en suis… Tu m'as envoûtée... Je viens de réaliser que j’aime faire l’amour avec toi, une femme, que je suis sans doute amoureuse de toi, alors tu comprendras que ça fait beaucoup. Tout ça n’est pas facile à gérer, tout se bouscule dans ma tête !

Pour ne plus lui montrer ses larmes qui ruissellent, Florence se blottit de nouveau contre elle, la serrant contre elle de toutes ses forces, tremblante d’émotion, avec l’envie de ne plus jamais la lâcher.

FIN.

Vous retrouverez Lucrèce dans l'histoire intitulée " La Veuve Noire ". Ou une jeune et ravissante femme, Nadia, épouse et mére irréprochables, va basculer ses habitudes en cherchant à piéger Lucrèce. Un jeu dangereux qui va se retourner contre elle, dans une confrontation explosive et incendiaire...

Naïve et inconsciente, Nadia va s'offrir comme appât pour démasquer Lucrèce. Seule et vulnérable, engluée dans une situation délicate, elle doit faire face aux assauts lascifs d'une femme déchaînée...

qui, malgré ses réticences, va déployer des trésors d'audace et de sensualité pour corrompre sa belle proie...

Cette aventure ici : http://divineinnocente.onlc.fr/

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Mercredi 27 septembre 3 27 /09 /Sep 12:39

  

   Un homme condamné à la prison pour un meurtre qu'il n'a pas commis. Et voilà comment sa femme Estelle, professeur des écoles, femme rangée et sans histoire, épouse comblée et mère de famille, se retrouve plongée au cœur d’un gigantesque complot international, recrutée pour une mission à haut risque : séduire une femme et s'immiscer dans sa vie privée pour récupérer une clé USB qui pourra innocenter son mari. Un jeu dangereux où la belle innocente va se jeter dans la gueule du loup, être la proie d’une lesbienne mature et perverse, déterminée à briser ses défenses pour l’initier aux étreintes les plus brûlantes entre femmes.

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Mercredi 27 septembre 3 27 /09 /Sep 12:24

s48940UNE PROIE INNOCENTE 2 : Séduire une femme ? Estelle n'est pas prête à ce genre d'expériences. Et rester en équilibre sur la corde raide n'est pas chose facile alors que Agathe, déterminée, use de tout son pouvoir de persuasion pour la plier à ses envies… Mensonge, manipulation et séduction dans une tension étouffante qui ne cesse de  grimper au fur et à mesure que l'hétéro ingénue faiblit et se laisse peu à peu aller, troublée par le désir fougueux de sa partenaire…  Pour, finalement, dépassée par les événements, être sacrifiée à la libido exubérante et volcanique d'une femme dominatrice qui va vite la plier à tous ses caprices les plus excessifs.

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Samedi 23 septembre 6 23 /09 /Sep 20:31

lea

L'initiation libertine d'une femme mariée qui va s'enflammer pour de nouvelles expériences, prête à s'aventurer avec l'homme de sa vie dans le libertinage... Mais sa rencontre avec Julie, libertine de 20 ans son aînée, va littéralement bouleverser ses orientations sexuelles, un déclic aussi libérateur que fatal. 

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Sandrine. Gentille, douce et attentionnée, tantôt elle démontre un caractère sage et docile mais, lorsque la passion l’emporte, elle peut se révéler sexy et espiègle.

  

Pourtant, il y’ a toujours une certaine retenue en elle, comme s’il lui manquait un brin de folie et d’audace. Elle en est consciente et en connaît les raisons.

Écoutez son histoire.

Sandrine avoue : " Après plusieurs années ensemble tous les couples cherchent de nouvelles sources d’excitation pour éviter la routine et la monotonie. Avec l’idée que l’amour du conjoint nous est acquis, on néglige souvent de se soucier de son apparence comme on avait l’habitude de le faire au début de la relation. Depuis que j’ai osé l’échangisme, nous avons changé notre perspective et nous faisons, mon mari et moi, de plus grands efforts pour se plaire mutuellement. Mais cela a été un long travail sur nous-même, basé sur la confiance, le dialogue et notre amour l’un pour l’autre. Cela n’est pas venu du jour au lendemain.
Les désirs sexuels s’estompent aussi avec le temps, la preuve est que la plus grande cause de divorce est l’infidélité. Boulot-dodo, le stress, les enfants qui accaparent toute notre énergie, nous délaissions sans le vouloir notre intimité. Et, au lit, je n’étais pas ce qu’on peut appeler une bombe sexuelle. Peu d’étincelle au fond du ventre, pas de grand frisson, le désir ne m’emportait pas très loin alors que je sentais qu’il suffisait de peu pour avoir le déclic libérateur. Bien sûr, il m’arrivait d’aimer ça quand on le faisait, mais c’est lui surtout qui était le plus demandeur, cela venait rarement de moi-même.

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Il prenait toujours les devants, arrivant tout de même, à force de patience, à m’emporter là où il le voulait, sur le chemin voluptueux du plaisir.

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Évidemment, du plaisir, j’en avais mais, sans que je puisse l’expliquer, il me manquait quelque chose. Je ne sais pas quoi, le petit truc en plus pour que j’apprenne enfin à me lâcher. Ma libido s’est améliorée quand j’ai trouvé le petit piment qui me faisait défaut : le fantasme, et plus particulièrement une envie d’aller voir ailleurs. Je ne sais pas pourquoi, et je m’en suis rendue compte tout bêtement en tombant un jour par hasard sur une revue porno que des collègues de boulot avaient laissés traîner sur un bureau. Je l’ai feuilletée à la va-vite, passant sur les pénétrations hommes et femmes qui me faisaient beaucoup d’effet et stoppant nette sur des photos de lesbiennes qui s’embrassaient et se caressaient avec une intensité incroyable.

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Là, c’est comme si on m’avait donné un coup de poing en plein ventre, j’ai trouvé cela hyper érotique et hyper excitant. Le soir, c’est moi qui suis allée trouver Marc car j’avais réellement envie de faire l’amour, avec une fougue et un appétit qui nous a surpris tous les deux. Avec mon mari, on se dit tout, et je lui en ai donc tout raconté. Il a rien dit, mais la semaine d’après il a loué une cassette d’un film x lesbien, et cela m’a fait le même effet incroyable, comme si j’étais une autre. Marc, lui, était heureux et comblé, et cela est devenu un jeu entre nous, un aphrodisiaque qui était notre petit jardin secret pour pimenter notre vie sexuelle lorsqu’elle retombait dans la monotonie. Cela a duré sept ans. Mais, avec les années qui passent, ma vie sexuelle qui s’affirmait, ces petits jeux innocents ne me suffisaient plus, j’avais de plus en plus envie de tenter l’expérience avec une fille, cela me troublait et m’effrayait en même temps : la certitude d’adorer ça, et la peur aussi de trop aimer ça justement… Inconsciemment, j’avais d’autres réactions au lit, cherchant davantage les préludes, les préliminaires et la sensualité qui, avec Marc, ne répondaient pas vraiment à mes attentes. Il me caressait avec des mains d’homme, et c’étaient un corps et des mains de femmes que mon corps exigeait. Contre cela, il ne pouvait rien faire. "

http://divineinnocente.onlc.fr/71-Une-revelation-fatale.html

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Samedi 23 septembre 6 23 /09 /Sep 20:31

Maud la capture ainsi entre elle et la bibliothèque, verrouillant la prise en posant ses mains de chaque côté de sa tête. Et assurant le baiser qu'elle lui prodigue, vorace et insistant, réussissant à forcer la barrière de ses dents, cherchant sa langue, la trouvant, s'y enroulant, s'y lovant, dans un bruit de succions humides et de salive mélangée.

A cet instant, comme par magie, Cassandra semble perdre toute énergie et tout esprit de combativité. Comme si son corps ne lui obéissait plus. Toute morale envolée. Sans aucune conscience alors que sa langue se met aussi à bouger, tournoyer, emportée dans une danse obscène et tenace avec sa partenaire, goûtant pour la première fois à un baiser  entre femmes qui la bouleverse et l'émoustille comme jamais.

Quelque chose dans son corps s’est emballé. Un tambour sourd commence à s’y faire entendre auquel répond en écho une respiration profonde, irrégulière, haletante, s’accélérant à mesure que la femme poursuit ses entreprises de conquête.

Le bruit de leurs dents qui s'entrechoquent semble la sortir un moment de sa torpeur. Asphyxiée, le feu au joues, elle se libère, mais ses jambes ont du mal à la soutenir. Étourdie, elle tombe sur le lit, prenant conscience trop tard de la situation périlleuse dans laquelle elle se met. Facilitant les tentatives et s'offrant aux attaques incessantes de sa partenaire.

Celle-ci, avec un petit cri de victoire, se laisse tomber sur elle.

Elle recommence à la harceler de baisers sur le front, le visage, dévorant tout sur son passage, ses paupières fermées, son nez, son menton qu’elle mordille
sauvagement, s'approchant sournoisement de la bouche.

Un baiser que Cassandra lui refuse, par crainte de s'y abandonner encore et perdre le contrôle. Mais Maud ne lui en tient pas rigueur. Certaine de sa victoire et se régalant de cette incertitude qui, loin de la freiner, ne fait que l'émoustiller davantage. Ses mains virevoltent avec une dextérité déconcertante, glissant sur son ventre nu. Avant que sa bouche se mêle au jeu, rampant que sur la chair fraîche, se grisant de sa douceur et sa pureté.

 

De nouveau, Cassandra se retrouve sans force. Elle est effrayée. Non pas par les assauts déchaînés de Maud, mais par les effets que toutes ses attaques déclenchent chez elle. Une sourde faiblesse dont elle a honte. Éperdue, elle
cesse de résister. Puis, sans savoir comment, entrouvre ses lèvres pour sortir une langue timide.

Une invitation que saisit Maud avec impatience.

Leurs bouches se soudent brusquement l’une contre l’autre, s’ouvrant pour un baiser fougueux.

Avides de se connaître, leurs lèvres se pressent impatiemment, se butinant avec une ardeur frénétique. Tandis qu’elles ne cessent de s’embrasser, elle passe la main sur ses fesses. Maud frémit de tout son être à cette caresse plus précise et se met à fouiller sa bouche d’une langue encore plus vorace. Le contact de cette peau qui vibre impatiemment la rend folle. Éperdue de volupté, Cassandra se met à ronronner comme une chatte en chaleur, torturée par un désir fugace qui charrie sous sa peau des ondes chaudes, lascives, descendant vers son bas-ventre et réclamant un assouvissement urgent. Le t-shirt est complètement ouvert, rabattu sur ses épaules, et Maud en écarte davantage les pans pour caresser le dos cambré, remontant le long de la colonne vertébrale jusqu’à la nuque.

Cassandra se sent perdue mais ne fais plus rien pour lutter. Une digue s’est rompue en elle, libérant un torrent de sauvagerie enfouie, un besoin presque animal de prendre et d’être prise. Elle abandonne le contrôle de sa personne au flot des sensations tumultueuses qui l’envahissent et se sent arrachée à l’étreinte de sa belle-sœur pour mieux coller ses lèvres contre les siennes, laisser leurs langues danser à l’unisson l’une sur l’autre, ses seins délicieusement pressés sur la forte poitrine de son amante.

Cassandra a du mal à respirer, et s’écarte volontairement, facilitant le passage des mains qui glissent entre les deux corps, sur sa poitrine. Les mains rencontrent d’abord la pointe durcie d’un sein, que Maud fait gonfler
impitoyablement, faisant vite subir le même sort au fragile dard qui se dresse au bout de l’autre sein. Elle baisse aussitôt la tête pour saisir entre ses dents un sein qui, petit et insolent, se durcit de désir.

Brancher Cassandra sur une prise électrique n’aurait pas eu un effet aussi spectaculaire. Elle s’enflamme littéralement, haletante, tremblante de la tête aux pieds. Sa frénésie a quelque chose d’effrayant, un choc qui rompt la
magie. Soudainement, Cassandra reprend contact avec la réalité. Cette dernière seconde, en fermant les yeux, l’image de son frère s’est imposée soudainement à son esprit, et elle sait qu’elle ne la quittera plus, obsédante, tenace, lourde de culpabilité. C’est violemment qu’elle repousse Maud par les épaules.
Celle-ci ne comprend plus. Le regard trouble de ses beaux yeux écartés ressemblent à une supplique.

Cassandra s’excuse.

-  Maud, je ne peux pas… J’ai perdu la tête, pardonne moi, il faut qu’on arrête tout avant… avant de ne plus pouvoir faire marche arrière.

A  SUIVRE... Maud repart à l'attaque, brisant peu à peu les défenses de sa belle-sœur pour l'amener au point de non-retour... Une confrontation hot et intense entre une femme de raison, prude et hétéro, et une autre aussi délurée que volcanique...

A vous de partager cet instant unique...

http://divineinnocente.onlc.fr/25-Pulsions-sauvages.html

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Par Nicogarner - Publié dans : Romans-Photos érotiques. - Communauté : melany_travesti_soumise
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